Nom de l’auteur/autrice :Wilikijo

Titre Innov Sec1

Incroyable mais vrai

L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme. Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place. Elles recouvrent des réalités très différentes : dirigeants de PME ou de TPE, administrateur de grandes entreprises, fondateurs de start-ups, artisan, agriculteur, profession libérale3… Cela peut aussi concerner des formes d’organisation sans but lucratif, par exemple dans l’entrepreneuriat social. Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place. Elles recouvrent des réalités très différentes : dirigeants de PME ou de TPE, administrateur de grandes entreprises, fondateurs de start-ups, artisan, agriculteur, profession libérale3… Cela peut aussi concerner des formes d’organisation sans but lucratif, par exemple dans l’entrepreneuriat social. L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.

Titre Innov Sec1

Un géni malien

L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme. Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place. Elles recouvrent des réalités très différentes : dirigeants de PME ou de TPE, administrateur de grandes entreprises, fondateurs de start-ups, artisan, agriculteur, profession libérale3… Cela peut aussi concerner des formes d’organisation sans but lucratif, par exemple dans l’entrepreneuriat social. Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place. Elles recouvrent des réalités très différentes : dirigeants de PME ou de TPE, administrateur de grandes entreprises, fondateurs de start-ups, artisan, agriculteur, profession libérale3… Cela peut aussi concerner des formes d’organisation sans but lucratif, par exemple dans l’entrepreneuriat social. L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.

Titre Innov Sec1

Afrique

L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme. Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place. Elles recouvrent des réalités très différentes : dirigeants de PME ou de TPE, administrateur de grandes entreprises, fondateurs de start-ups, artisan, agriculteur, profession libérale3… Cela peut aussi concerner des formes d’organisation sans but lucratif, par exemple dans l’entrepreneuriat social. Les formes d’entrepreneuriat varient selon le type d’organisation qui est mis en place. Elles recouvrent des réalités très différentes : dirigeants de PME ou de TPE, administrateur de grandes entreprises, fondateurs de start-ups, artisan, agriculteur, profession libérale3… Cela peut aussi concerner des formes d’organisation sans but lucratif, par exemple dans l’entrepreneuriat social. L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.L’entrepreneuriat, désigne le fait de mener une activité dont on est soi-même l’initiateur, comme le montre son sens étymologique. Le dictionnaire indique des synonymes comme commencer, tenter, s’engager au verbe entreprendre. Trois verbes d’action qui définissent parfaitement le sens véhiculé par ce terme.

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L’habitude qui ruine notre bonheur selon un professeur d’Harvard

Le bonheur est au coeur de nos préoccupations. Bonne nouvelle, ce conseil n’inclut ni d’investir dans un livre de développement personnel, ni dans une séance de psy. On vous dit tout. Et si, dans votre quête effrénée du bonheur, vous passiez à côté de l’essentiel en cherchant sans cesse à vous distraire ? Arthur C. Brooks, professeur à la Harvard Kennedy School et spécialiste du bonheur, nous livre une vérité surprenante : l’habitude qui sabote notre joie de vivre, c’est notre addiction à l’instantané, notamment via nos écrans. « Le bonheur, ce n’est pas un état d’esprit, c’est une direction », nous rappelle Brooks. En réalité, être heureux ne signifie pas vivre une sensation de plaisir constant. Le bonheur, selon lui, est un chemin — un mouvement vers une vie plus riche et pleine de sens. Pour emprunter cette voie, il nous faut d’abord déconstruire une habitude bien ancrée : notre fuite incessante dans la distraction. Accueillir le vide Que ce soit en jetant un œil furtif sur notre téléphone, en scrollant sur les réseaux sociaux, ou en dévorant une série, nous cherchons tous à remplir chaque instant de vide. Mais Brooks n’a aucun doute : ces distractions, numériques ou autres (suractivité professionnelle, excès de travail, alcool, drogues…), sont les vrais obstacles à notre bonheur. Notre cerveau fuit l’ennui comme la peste, mais cet ennui est en réalité la clé d’une réflexion profonde et d’une vie plus consciente. « Si vous ne vous ennuyez jamais, vous n’accédez pas aux parties de votre cerveau qui vous aident à trouver des réponses », précise Brooks. Alors, pourquoi ne pas oser l’inconfort mental et les moments de silence, même si cela semble dérangeant ? C’est dans ces instants de vide, où l’on se sent un peu perdu, que l’introspection véritable peut naître. Loin des distractions, c’est là qu’on peut enfin se poser les vraies questions : Qu’est-ce qui donne du sens à ma vie ? Pourquoi suis-je là ? À quoi suis-je prêt à consacrer mon temps et mon énergie ? Un inconfort mental nécessaire Loin d’être négatif, l’inconfort mental peut être un véritable allié. Brooks nous rappelle que dans la vie, tout ce qui est difficile, qui fait mal (comme lors d’un entraînement intensif à la salle de sport), est en réalité un signe de progrès. De la même manière, les moments de malaise émotionnel ou spirituel ne sont pas des signes de faiblesse, mais des étapes essentielles pour avancer. Alors, la prochaine fois que vous aurez un moment de répit, déconnectez-vous. Osez l’inconfort. Asseyez-vous dans ce silence un peu déstabilisant et commencez à poser les questions qui vous effraient. Vous serez étonné des réponses que cela pourrait vous apporter. Car si le bonheur n’est pas une destination finale, il commence à se dessiner dès que l’on cesse de fuir et que l’on se met à réfléchir.

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Agriculture technologiques au Mali : enjeux, défis et opportunités

L’agriculture occupe une place prépondérante dans l’économie malienne. Elle mobilise environ 80 % de la population et contribue à hauteur de 33 % du PIB. Cependant, ce secteur reste largement extensif, se limitant à une agriculture de subsistance. Celle-ci repose sur des outils traditionnels, notamment la traction animale et la force physique humaine. De plus, l’utilisation inefficace et anarchique des pesticides, ainsi que des méthodes d’irrigation rudimentaires, souvent peu exploitées, freinent considérablement son développement.  Avec plus de 43 millions d’hectares de Surface Agricole Utile (SAU), le Mali dispose d’un potentiel considérable. Cependant, pour exploiter pleinement ces ressources, il est indispensable d’engager une restructuration profonde du tissu économique et social, en investissant massivement dans les nouvelles technologies agricoles. Pour moderniser ce secteur vital, une véritable révolution verte à la malienne est nécessaire. Cela passe par l’introduction d’outils technologiques modernes tels que : La mécanisation : l’utilisation de machines performantes et adaptées aux spécificités des terres cultivées pour réduire le temps de travail et améliorer les rendements. L’irrigation localisée : Comme la micro-irrigation, pour une gestion optimisée des ressources en eau. L’agriculture de précision : basée sur l’analyse des données issues des capteurs installés sur les parcelles, afin d’ajuster les apports en nutriments en fonction des besoins réels des plantes, limitant ainsi le gaspillage et les perturbations écologiques. Les biotechnologies : la sélection et l’amélioration génétique des plantes contribuent à développer des variétés plus résistantes aux maladies, aux ravageurs ou aux conditions climatiques extrêmes, améliorant ainsi la productivité et la qualité des produits obtenus. La technologie agricole La technologie agricole, aussi appelée agtech, englobe une vaste gamme de disciplines et d’outils qui contribuent à améliorer la production agricole. La technologie inclut les véhicules, la robotique, les ordinateurs, les satellites, les drones, les appareils mobiles et les logiciels. L’usage de l’analyse des big data et de l’intelligence artificielle (IA) dans l’agriculture avancée illustre également comment le secteur agricole adopte les avancées technologiques. Avantages de la technologie dans l’agriculture L’intégration de technologies agricoles intelligentes offre de nombreux avantages pour l’ensemble des acteurs de la chaîne agroalimentaire. Grâce à l’automatisation et à l’optimisation des activités agricoles, les agriculteurs et les propriétaires fonciers peuvent économiser du temps et des efforts tout en augmentant leur productivité. Voici quelques exemples des bénéfices apportés par les avancées technologiques dans l’agriculture : Réduction des coûts de production : utilisation réduite d’eau, d’engrais, de pesticides et d’autres intrants, permettant de préserver une part plus importante des bénéfices pour les agriculteurs. Impact environnemental réduit : limitation du ruissellement des produits chimiques dans les cours d’eau, favorisant une agriculture durable. Augmentation des rendements : amélioration de la productivité tout en réduisant la dépendance à la main-d’œuvre. Meilleure communication et coordination : utilisation d’applications, d’appareils mobiles et de ressources en ligne pour connecter les agriculteurs, les agronomes et autres professionnels du secteur. Accès facilité aux services financiers : assurances agricoles, données commerciales et solutions technologiques à portée de main. Atténuation des risques agricoles : systèmes de surveillance permettant de prévenir les dommages causés par les parasites, les catastrophes naturelles ou les intempéries. Amélioration de la qualité des produits : renforcement des contrôles de qualité et augmentation des revenus. Détection précoce des carences nutritives : recommandations précises sur le type et la quantité d’engrais nécessaires. Anticipation des problèmes de production : visualisation des tendances grâce à l’analyse des données agricoles actuelles et historiques, permettant d’estimer les rendements, de mieux préparer les budgets et de faire face aux situations d’urgence. By Amadou SANOGO

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Le « Try January » : le challenge à tester au mois de janvier pour sortir de sa zone de confort

Connaissez-vous le Try January ? Cette initiative propose de dynamiser son quotidien en essayant de nouvelles activités, en apprenant une nouvelle compétence… Et tout ça sans se mettre la pression et sans avoir peur de l’échec. Le mois de janvier est souvent perçu comme un moment de renouveau, une occasion de prendre des résolutions et de repartir sur de bonnes bases. Cependant, nombreux sont ceux qui, après quelques jours, abandonnent leurs bonnes intentions. Pour ne plus se retrouver dans cette situation d’échec. Cet initiative incite à tester de nouvelles expériences, de manière ludique et sans pression, pour mieux se connaître et entamer l’année de façon plus positive. C’est quoi le Try january ? Le Try January encourage chacun à essayer quelque chose de nouveau chaque jour pendant tout le mois de janvier. L’objectif ? Sortir de sa zone de confort et oser des expériences différentes, qu’elles soient petites ou grandes, sans avoir à s’engager sur le long terme. Contrairement aux résolutions habituelles, qui peuvent être perçues comme des contraintes et des obligations, le Try January se veut un mois de découvertes et de curiosité. Chaque jour, on se donne l’opportunité d’explorer des activités inédites : tester un nouveau sport, découvrir une cuisine inconnue, démarrer un projet créatif, ou simplement adopter une nouvelle routine bien-être. Il ne s’agit pas forcément d’entreprendre des changements radicaux, mais plutôt de cultiver l’esprit d’ouverture et de nouveauté, et de se donner la permission d’essayer sans craindre l’échec. Pourquoi préférer le Try January aux bonnes résolutions ? Les résolutions du Nouvel An sont souvent synonymes de pression. On s’engage à changer des habitudes ancrées, parfois irréalistes, ce qui peut engendrer frustration et découragement. Par exemple, la décision d’arrêter de fumer ou de courir un semi-marathon, alors que nous ne sommes pas très sportifs, peut vite devenir une source de stress, et la pression liée à ces objectifs peut entraîner une rupture rapide des bonnes résolutions. En revanche, le Try January propose de se concentrer sur le processus, la découverte et l’expérimentation, plutôt que sur un résultat strict. Tester quelque chose de nouveau, même si on échoue, reste une réussite. Cela permet de transformer le mois de janvier en une aventure personnelle, où l’on apprend sans juger, et où chaque tentative est une étape franchie. Le Try January permet également de garder une certaine flexibilité. Loin de s’enfermer dans des objectifs rigides, on se permet de revenir sur certaines expériences ou de les adapter en fonction de ses goûts et de ses découvertes. Si un essai ne fonctionne pas, on relativise et on se dit que rien n’est grave. On a toujours l’opportunité de réajuster le tir et de tenter autre chose. Les bénéfices du Try January Participer au Try January peut présenter de nombreux avantages. D’abord, il permet de sortir de la monotonie quotidienne en introduisant de la nouveauté. Chaque petit changement dans notre routine peut apporter un nouveau souffle, et chaque expérience est une occasion d’apprendre et d’en apprendre plus sur soi. Explorer de nouvelles activités nous donne l’occasion de découvrir des talents cachés, faire de nouvelles rencontres et ouvrir des horizons insoupçonnés. De plus, essayer de réussir sans se mettre la pression permet d’adopter une mentalité plus positive et plus légère. Cela nous incite à apprécier le processus plutôt que de se concentrer uniquement sur le résultat. Cette approche peut également diminuer le stress, nous aider à relativiser et à adopter une attitude plus sereine au quotidien. Quelques idées pour se lancer dans le Try January Tester un sport que l’on n’a jamais pratiqué Cuisiner de nouvelles saveurs Introduire de nouvelles habitudes dans sa routine quotidienne Passer moins de temps devant son ecran Apprendre une nouvelle compétence (langue, instrument de musique, activité manuelle/créative…) Prendre davantage soin de soi Ne manquez plus aucune actualité lifestyle sur WILIKIJO!

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Adieu aux retards au travail avec une solution efficace et révolutionnaire « e-face »!

Ewaati, une start-up malienne innovante, se consacre à l’intégration des technologies d’intelligence artificielle et de robotique pour résoudre des problèmes contemporains dans le monde du travail. L’un de leurs objectifs principaux est de mettre fin aux retards au travail, un défi courant qui impacte la productivité des entreprises. Pour cela, Ewaati a développé un système avancé de pointage dénommé e-face. Ce système utilise des technologies de reconnaissance faciale pour enregistrer automatiquement les heures d’arrivée et de départ des employés. Grâce à cette solution, les entreprises peuvent suivre en temps réel la ponctualité de leurs équipes, ce qui permet non seulement de réduire les retards, mais aussi d’améliorer la gestion des ressources humaines. En intégrant cette technologie, Ewaati offre aux entreprises une méthode fiable et efficace pour encourager la discipline et la responsabilité parmi les employés. De plus, ce système facilite le rapport de présence, réduisant ainsi le temps consacré à la gestion administrative. En fin de compte, la solution d’Ewaati contribue à créer un environnement de travail plus productif et harmonieux, en permettant aux entreprises de se concentrer sur leur croissance et leur développement.  

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Le secret pour atteindre le bonheur ultime avec la méthode HEAL

Et si pour être heureux, il existait une recette miracle ? D’après des scientifiques, le bonheur s’apprend, il faudrait simplement parvenir à s’y entraîner pour y accéder grâce à la méthode HEAL. Le bonheur n’est pas dû au hasard, cette notion encore très abstraite du bien-être est en réalité accessible à tout le monde, il suffirait simplement de savoir comment l’atteindre. Selon une étude relayée par le Psychology Today, des chercheurs ont compris ce qu’était réellement le bonheur et surtout comment y parvenir. Ils ont alors mis en place une méthode pour s’entraîner à être heureux, la méthode HEAL. Celle-ci part du principe que le positif amène le positif. Dès lors, il serait tout à fait possible d’être heureux en activant nos sentiments d’engagement dans une expérience positive. En bref, plutôt que de ruminer sur les choses qui ne vont pas, on entretient des pensées positives pour finalement créer ce que les chercheurs appellent une « spirale ascendante dans laquelle les bons moments s’accumulent ». La méthode HEAL, qui signifie « soigner » en anglais repose sur quatre étapes clés : Vivez une expérience positive Que ce soit en buvant votre tasse de café le matin, en allant faire votre sport ou en vous faisant masser, vivez chaque expérience de façon positive. L’évocation d’un souvenir qui vous rend heureux fonctionne aussi : remémorez-vous un beau voyage, votre fête de mariage ou quoique ce soit, tant que cela vous fait du bien. Faites-la durer le plus longtemps possible dans votre esprit Nourrissez-vous de ce souvenir positif ou de ce moment et revivez-les intérieurement. Prenez le temps de ressentir ce que vous procure cette expérience positive et concentrez-vous sur vos émotions. Intériorisez L’idée est que cette expérience et les émotions positives que vous avez ressenties fassent partie intégrante de votre « moi intérieur ». Analysez l’expérience, réfléchissez à ce que vous pouvez en retirer. Transformer les événements négatifs en positifs Dès que vous avez tendance à déprimer, faites l’exercice pour chasser vos idées noires. Si vous êtes stressés, angoissés ou fatigués, identifiez les pensées positives et les habitudes qui vous font du bien tout en éloignant les comportements nuisibles pour votre moral. By So soir

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Cinq stratégies à adopter pour devenir ultra productif en 2025

Envie d’arrêter de procrastiner pour finir votre liste de tâches beaucoup plus tôt ? Voici cinq techniques qui ne mentent pas. On vous le concède, la productivité est devenue une véritable injonction à l’heure où les modèles économiques valorisent toujours plus d’efficacité et de rentabilité. L’ère du capitalisme néolibéral, renforcée par les technologies, impose une constante pression à être toujours plus productif. Un phénomène qui a mené à une normalisation du surmenage, et au développement d’une idée selon laquelle la valeur d’une personne est mesurée par sa capacité à produire. Quant à la question du bien-être, on repassera. La meilleure solution pour enfin venir à bout de sa to-do liste reste donc de poser ses limites à son employeur. Ce qui n’empêche pas de vouloir être productif dans son boulot. Cela vise à atteindre ses objectifs plus rapidement, de libérer du temps pour d’autres activités, mais aussi d’accroître son sentiment d’accomplissement. Cela renforce non seulement la confiance en soi, mais favorise aussi la progression professionnelle et contribue à un meilleur équilibre entre vie pro et perso. Voici cinq moyens d’y arriver : 1. Créer un rituel de mise en route Le matin, vous bondissez du lit comme un ressort et vous vous installez aussitôt derrière votre ordinateur pour ne pas perdre une minute. Et si vous mettiez votre réveil un quart d’heure plus tôt et que vous vous recentriez avant de commencer à travailler ? Il peut s’agir de se concocter une boisson chaude, de pratiquer quelques exercices de respiration profonde, ou d’écouter de la musique motivante. Une routine matinale bien structurée favorise une transition en douceur vers la productivité, en vous aidant à rester calme et concentré tout au long de la journée. 2. Préparer sa journée la veille Pour aller directement à l’essentiel, organisez votre journée la veille. Ce simple geste ne prend que cinq minutes à peine. Pourtant, il faut des miracles niveau organisation. On rédige une to-do list de ses priorités et de ses tâches afin de s’éviter un stress inutile le matin et de développer une vision claire de ce qui nous attend. On évite également le temps d’adaptation inutile en tout début de journée, alors que notre cerveau est tout frais, et on se lance immédiatement. Planifier en amont réduit en outre l’anxiété. 3. Connaître son chronotype Votre chronotype désigne votre propension naturelle à être plus actif à certains moments de la journée. Certains sont du matin, d’autres sont plutôt des noctambules. Connaître votre chronotype permet d’ajuster votre emploi du temps pour travailler aux moments où vous êtes le plus productif. Par exemple, si vous êtes un «lève-tôt», vous serez probablement plus concentré et créatif le matin. En revanche, les «soirées» auront plus d’énergie et d’efficacité en fin de journée. En alignant vos tâches les plus exigeantes avec vos pics d’énergie, vous optimisez votre performance et réduisez la fatigue. 4. Mettre en place des sessions de “deep work” Cette méthode est utilisée par Bill Gates himself. Le «deep work» suggère de mettre de côté toute distraction pour entrer dans un état de concentration et de productivité extrême. On ignore sa boîte mail, on coupe ses réseaux sociaux et on s’isole de son environnement extérieur. La seule chose qui compte est le travail à traiter. On emploie ensuite la technique du « time blocking » qui consiste à diviser son temps en créneaux précis que l’on assigne chacun à une tâche bien spécifique. De cette façon, on reprend le contrôle de son temps. Cal Newport, qui est un peu l’inventeur de la méthode, recommande des sessions de travail intensives et sans interruptions sur des périodes de trois à quatre heures maximum. Entre chaque session, vous méritez une belle pause pour reprendre vos esprits, et ainsi de suite. 5. Couper les notifications On estime qu’un employé perd en moyenne 1h30 de concentration chaque jour à cause des notifications. Parmi les distractions numériques courantes, on citera les mails intempestifs et les notifications d’Instagram, Whatsapp, Facebook et TikTok… Toutes ces micro-interruptions qui semblent a priori anodines augmenteraient en réalité de 27% le temps d’exécution d’une activité en cours. On estime qu’un employé met en moyenne plus d’une minute pour reprendre son travail après avoir consulté ses mails. Une augmentation de la charge de travail qui induit du stress, de la frustration, et une sensation de perte de contrôle. Mettez donc votre téléphone en mode avion ou activez le mode « ne pas déranger ». Si vous avez des appels importants à passer, supprimez au moins toutes les notifications venant des réseaux sociaux. Ainsi, vous aurez le sentiment de reprendre le contrôle de votre journée. By So soir

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10 ASTUCES DE VENTE DE PRODUITS COSMÉTIQUES

Vous vous demandez comment vendre plus et mieux vos produits cosmétiques, et comment les autres marques parviennent à surpasser les vôtres ? Quels sont leurs secrets et techniques de vente qui leur permettent de vendre deux, cinq, voire dix fois plus ? Dans ce texte, nous allons découvrir les dix qualités des meilleurs vendeurs et comment vous pouvez, vous aussi, développer ces qualités pour les mettre à profit dans votre propre business. La première qualité repose sur le « moteur » intérieur des commerciaux, qui est l’ambition. Cette ambition mélange le désir de réussite économique et d’épanouissement personnel. Pour un vendeur de savons corporels, cela signifie viser non seulement des ventes élevées mais aussi une reconnaissance de la qualité de vos produits. 2. AIMER INTERAGIR AVEC LES AUTRES! Un bon vendeur aime rencontrer les gens et établir des relations de confiance. En Afrique, où la convivialité et le contact humain sont essentiels, cette qualité est cruciale. Pour vendre vos savons corporels, soyez présent lors des conférences ou rassemblements locaux et engagez des discussions sincères avec vos clients potentiels. 3. PERSÉVÉRANCE! La persévérance est la clé pour transformer un « non » initial en « oui ». Ne vous découragez pas face aux refus et continuez à présenter les avantages uniques de vos savons, comme leurs ingrédients naturels ou leurs bienfaits pour la peau. 4.SOYEZ CENTRÉ SUR L’AUTRE!! Être à l’écoute de vos clients permet de comprendre leurs besoins. Lorsque vous vendez des savons corporels, demandez à vos clients ce qu’ils recherchent spécifiquement : une peau plus douce, un parfum particulier, ou des propriétés médicinales ? 5. POSEZ LES BONNES QUESTIONS Poser des questions pertinentes vous aide à découvrir les besoins explicites et implicites de vos clients. Par exemple, demandez-leur quelles sont leurs préoccupations en matière de soins de la peau pour leur proposer le savon le plus adapté. 6. RAPIDITÉ Soyez réactif et prompt à répondre aux demandes de vos clients!! Si un client vous demande une information sur un savon, répondez rapidement pour démontrer votre professionnalisme. 7. PERTINENCE DU PRODUIT Proposez des solutions adaptées dès le départ. En connaissant bien vos produits, vous pouvez orienter vos clients vers le savon qui répondra précisément à leurs besoins. 8. ORGANISATION Gérez bien votre temps et vos ressources. Pour un vendeur de savons corporels, cela signifie avoir un stock bien géré et un planning de présence sur les marchés et foires bien établi. 9.FORMEZ VOUS EN PERMANENCE!! Perfectionnez vos compétences de vente chaque jour. Pratiquez vos arguments de vente, participez à des ateliers et continuez à apprendre sur les nouvelles tendances de la cosmétique. 10. TRAVAILLEZ EN ÉQUIPE Utilisez les ressources disponibles autour de vous. Collaborez avec d’autres vendeurs, demandez des avis à vos clients fidèles et utilisez les retours pour améliorer vos produits. En appliquant ces dix qualités, vous pouvez transformer votre manière de vendre et voir vos ventes de savons corporels augmenter significativement. By Dr Claudel NOUBISSIE

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