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La régulation émotionnelle : le superpouvoir des managers modernes

Gérer une équipe ne se résume pas à organiser des tâches, fixer des objectifs ou superviser des projets. C’est aussi, et surtout, gérer des émotions. Les siennes… et celles des autres. Dans un monde professionnel en constante évolution, où les défis et les pressions sont omniprésents, la régulation émotionnelle devient une compétence essentielle pour les managers. En effet, cette capacité à rester aligné, même dans les moments de tension, est un véritable superpouvoir pour ceux qui aspirent à inspirer confiance et à maintenir leur équipe motivée. Mais qu’est-ce que la régulation émotionnelle, et comment les managers peuvent-ils développer cette compétence pour devenir des leaders inspirants ? La régulation émotionnelle : de quoi parle-t-on ? La régulation émotionnelle désigne la capacité à gérer ses propres émotions et à comprendre celles des autres. Il ne s’agit pas de réprimer ses sentiments, mais plutôt de les reconnaître, de les accepter et de les canaliser de manière constructive. Pour un manager, cela signifie rester calme et lucide face à des situations stressantes, tout en étant capable de soutenir et de guider son équipe avec empathie. Cette compétence est particulièrement cruciale dans des contextes professionnels complexes, où les tensions peuvent rapidement dégénérer. Un manager qui maîtrise la régulation émotionnelle est mieux armé pour prendre des décisions éclairées, résoudre les conflits et maintenir un climat de travail positif. Pourquoi la régulation émotionnelle est-elle un superpouvoir pour les managers ? Comment développer la régulation émotionnelle ? Un manager qui maîtrise ses émotions est un leader qui inspire La régulation émotionnelle n’est pas seulement une compétence utile ; c’est une véritable force pour les managers. En apprenant à gérer leurs émotions et à comprendre celles des autres, ils peuvent créer un environnement de travail harmonieux et productif. Ils deviennent des leaders inspirants, capables de guider leur équipe à travers les défis et les changements avec confiance et empathie. Alors, prêt à développer votre superpouvoir ? GestionStress #Management #Leadership #RégulationÉmotionnelle #SoftSkills #Empathie #Motivation #Coach Mariam Inna #Wilikijo

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Le stress en milieu professionnel

Le stress au travail est un sujet de préoccupation majeur dans le monde professionnel actuel. Il s’agit d’une réaction normale face à des exigences élevées, mais lorsqu’il devient chronique, il peut avoir des répercussions graves sur la santé des employés et sur la performance de l’entreprise. Comprendre les causes, les effets et les solutions au stress au travail est essentiel pour créer un environnement de travail sain. Les causes du stress Au travail, elles peuvent être variées. Des charges de travail excessives, des délais serrés, le manque de contrôle sur ses tâches, des relations difficiles avec des collègues ou des supérieurs, et même l’insécurité de l’emploi sont autant de facteurs qui peuvent contribuer à un niveau de stress élevé. Dans un monde où l’exigence de performance est accrue, il est crucial de reconnaître ces éléments afin de mieux les gérer. Les conséquences du stress au travail les conséquences ne se limitent pas seulement à la santé mentale. Les employés stressés peuvent souffrir de fatigue, de troubles du sommeil, d’anxiété et de dépression. Physiquement, le stress peut également entraîner des problèmes tels que des maux de tête, des douleurs musculaires et des maladies cardiovasculaires. De plus, un environnement de travail stressant peut nuire à la productivité, entraîner un taux d’absentéisme plus élevé et affecter la satisfaction au travail, ce qui peut avoir un impact direct sur la performance globale de l’entreprise. La gestion du Stress Pour bien gérer le stress au travail, il est important que les entreprises adoptent une approche proactive. Cela peut inclure la mise en place de programmes de gestion du stress, la promotion d’un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, ainsi que la création d’un environnement de travail positif. Encourager une communication ouverte et honnête, offrir des ressources pour le bien-être mental et physique, et favoriser des activités de team-building peuvent également contribuer à réduire le stress. Les employés ont également un rôle à jouer dans la gestion de leur propre stress. Prendre le temps de se détendre, pratiquer des techniques de relaxation comme la méditation ou le yoga, et s’assurer de prendre des pauses régulières sont des moyens efficaces de gérer le stress au quotidien. De plus, établir des priorités et apprendre à dire non lorsque la charge de travail devient trop lourde peut aider à maintenir un équilibre sain. Le stress au travail est un défi que beaucoup d’entre nous rencontrent. En reconnaissant les causes et les effets du stress, et en mettant en œuvre des solutions à la fois au niveau individuel et organisationnel, il est possible de créer un environnement de travail plus sain et plus productif. La clé réside dans la sensibilisation, la communication et la volonté de prendre des mesures pour améliorer le bien-être au travail. WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali

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La pire erreur que les chercheurs d’emploi commettent, c’est de se présenter « comme un simple chercheur d’emploi ».

Changer de posture : Vous n’êtes pas un simple chercheur d’emploi, vous offrez un service de valeur ! Dans un monde professionnel de plus en plus compétitif, les chercheurs d’emploi ont souvent tendance à se présenter comme des candidats en quête désespérée d’une opportunité. Cette posture, bien que compréhensible, peut nuire à leur confiance et à leur capacité à se démarquer. La vérité, c’est que vous n’êtes pas simplement à la recherche d’un emploi – vous offrez un service précieux au monde. Cet article explore pourquoi il est essentiel de changer de posture et comment vous pouvez transformer votre recherche d’emploi en une offre de valeur unique. La mentalité du « chercheur d’emploi » : Un piège à éviter Beaucoup de chercheurs d’emploi commettent l’erreur de se présenter comme des candidats en quête d’une opportunité, plutôt que comme des professionnels offrant une expertise et des compétences uniques. Cette mentalité peut vous faire paraître moins confiant et moins attractif aux yeux des employeurs potentiels. En réalité, vous n’êtes pas un simple demandeur d’emploi – vous êtes une ressource inestimable, un partenaire potentiel pour les entreprises qui ont besoin de vos talents. Vous offrez un service de valeur Chaque chercheur d’emploi apporte avec lui ou elle un ensemble unique de compétences, d’expériences et de talents. Vous êtes bien plus qu’un CV ou une liste de qualifications. Vous êtes une personne avec des passions, des intérêts et des compétences qui peuvent être transformés en une opportunité professionnelle significative. Au lieu de vous demander « Quel emploi puis-je trouver ? », posez-vous plutôt la question : « Quel service puis-je offrir ? » Identifier vos talents uniques Pour changer de posture, commencez par identifier ce qui vous rend unique. Quelles sont vos compétences les plus fortes ? Quelles expériences avez-vous accumulées au fil des années ? Quelles sont vos passions et comment peuvent-elles être appliquées dans un contexte professionnel ? En comprenant vos atouts, vous pourrez mieux communiquer votre valeur aux employeurs potentiels. Transformer votre recherche d’emploi en une offre de service Une fois que vous avez identifié vos talents uniques, il est temps de les mettre en avant. Voici quelques étapes pour y parvenir : L’importance de la confiance en soi La confiance en soi joue un rôle crucial dans cette transformation. En croyant en votre valeur, vous serez en mesure de communiquer cette conviction aux autres. Cela se reflétera dans vos entretiens, vos réseaux professionnels et même dans votre CV. Rappelez-vous que vous n’êtes pas simplement à la recherche d’un emploi – vous offrez un service précieux. L’accompagnement professionnel : Un atout pour réussir Pour certains, ce changement de posture peut sembler difficile à accomplir seul. C’est là qu’un accompagnement professionnel peut faire toute la différence. En travaillant avec un coach professionnel, vous pouvez identifier vos forces, affiner votre récit professionnel et développer une stratégie de recherche d’emploi qui met en avant votre valeur unique. Conclusion : Vous êtes une ressource inestimable Il est temps de changer de posture. Vous n’êtes pas un simple chercheur d’emploi – vous êtes une ressource inestimable, un professionnel offrant un service de valeur au monde. En identifiant vos talents uniques, en adoptant une posture de partenaire et en croyant en votre valeur, vous pouvez transformer votre recherche d’emploi en une opportunité de carrière épanouissante. Alors, quel service offrez-vous ? Quels sont vos talents uniques et comment pouvez-vous les mettre au service des autres ? Ensemble, nous pouvons découvrir le service que vous offrez et vous aider à atteindre de nouveaux sommets dans votre carrière. Merci pour votre soutien continu, et je suis impatiente de travailler avec chacun d’entre vous pour réaliser vos objectifs professionnels ! -‐‐-‐——-‐——-‐—Coach Mouna CoachProfessionnelle #RechercheDemploi #OffrezVotreService #ChangerDePerspective #Wilikijo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali

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L’IA inquiète 89 % des travailleurs américains quant à leur sécurité d’emploi

Si l’IA a amélioré de nombreux aspects de notre vie quotidienne moderne, sa présence croissante dans les secteurs professionnels a suscité des craintes quant à l’impact à long terme de l’automatisation sur l’emploi humain. « La sécurité de l’emploi n’est plus une préoccupation abstraite », déclare Keith Spencer, expert en carrière, dans un rapport 2025 AI Disruption Report de Resume Now, qui contient des prévisions alarmantes sur l’avenir du travail. La fracture des compétences : 43 % des travailleurs connaissent quelqu’un qui a perdu son emploi à cause de l’IA Plus de 1 000 travailleurs américains interrogés en janvier 2025 ont révélé une reconnaissance généralisée de l’impact de l’IA sur les suppressions d’emplois, 43 % d’entre eux connaissant personnellement une personne supprimée par l’IA et 89 % exprimant des inquiétudes quant à leur propre stabilité d’emploi. La croissance de l’IA influencera chaque secteur de différentes manières, certains étant appelés à faire face à des défis majeurs, voire à s’effondrer.  Les inquiétudes grandissent quant à l’émergence rapide d’une main-d’œuvre à deux vitesses, l’IA créant bientôt un fossé entre ceux qui peuvent adapter leurs talents au-delà de l’automatisation et ceux qui ne le peuvent pas. Dans l’enquête, 47 % des personnes interrogées ont indiqué craindre l’aggravation de ce fossé, tandis que 37 % ont exprimé des doutes quant à la capacité des programmes de reconversion professionnelle basés sur l’IA à combler efficacement cet écart. Parmi les principales préoccupations soulevées par les travailleurs dans l’étude figurent l’accès limité aux ressources de l’IA, la déshumanisation du travail et une dépendance excessive à l’IA qui menace la pensée critique .  L’IA s’immisce de plus en plus dans les environnements professionnels et les personnes les plus touchées doivent prendre une décision cruciale : accepter de s’intégrer à cette technologie ou se tourner vers un autre secteur. Ce changement de cap ne signifie pas se lancer tête baissée dans un secteur non touché par l’IA, en espérant qu’il restera à l’abri pour toujours. Il est probable que l’IA y parviendra également. Les écoles et les universités élargissent désormais leur offre de cours et de formations liés à l’IA , dans le but non seulement d’empêcher les abus, mais aussi de doter la prochaine génération des compétences nécessaires à un monde professionnel où l’IA jouera un rôle clé dans tous les domaines. Les travailleurs à bas salaires sont 14 fois plus susceptibles de changer de carrière prochainement Selon un rapport McKinsey de 2023 , les travailleurs occupant des emplois à bas salaire sont jusqu’à 14 fois plus susceptibles de devoir changer de profession que ceux occupant des postes à salaire plus élevé, la plupart d’entre eux ayant besoin de compétences supplémentaires pour réussir leur transition. Le rapport prévient également que l’IA générative pourrait avoir un impact significatif sur les travailleurs à bas salaire, en particulier dans la restauration et le service client, ce qui entraînerait de sombres perspectives d’emploi pour ce groupe. Cette époque nous pousse tous à repenser le cœur de notre travail et sa valeur. Nombreux sont ceux qui seront en quête d’informations ou qui exigeront de nos employeurs une transparence sur leurs prochaines étapes et notre rôle au sein de ces derniers. L’incertitude quant à votre stabilité future ne prépare pas exactement le terrain pour une vie quotidienne saine. Demander des réponses est parfaitement acceptable, car cela démontre que vous vous souciez de votre évolution professionnelle autant que de l’avenir de l’entreprise. Demandez des informations pour déterminer si votre emploi est à l’épreuve du temps à l’ère de l’IA Selon Resume Now, 63 % des salariés craignent que l’IA ne crée des préjugés lors des recrutements et des promotions, et 54 % estiment que leurs patrons sont « plutôt transparents » quant à leurs ambitions futures en matière d’adoption de l’IA. Les professionnels testent déjà leurs compétences en IA en prévision de cette évolution : 55 % des répondants effectuent des recherches indépendantes sur les compétences liées à l’IA et 42 % s’inscrivent à des cours ou programmes de formation axés sur l’IA. Même si le chemin à parcourir peut paraître sombre, l’IA pourrait bien être la clé de nouvelles perspectives. Cette nouvelle ère technologique va sans aucun doute créer de nombreux nouveaux emplois, le Forum économique mondial prévoyant une augmentation nette d’environ 78 millionsd’emplois d’ici 2030. Cependant, la plupart d’entre eux occuperont des postes de supervision spécialisés, exigeant des qualifications qui vont bien au-delà des compétences classiques. Il est essentiel de comprendre au moins les bases du fonctionnement de l’IA et de la manière de l’exploiter, et cela constitue la base du succès.  Adopter l’IA vous donne un avantage concurrentiel « La moitié des employeurs prévoient de réorienter leur activité en réponse à l’IA, deux tiers prévoient d’embaucher des talents dotés de compétences spécifiques en IA, tandis que 41 % prévoient de réduire leurs effectifs là où l’IA peut automatiser des tâches », a révélé le rapport Future of Jobs du WEF le mois dernier. « Ceux qui s’adapteront à l’utilisation de l’IA, plutôt que de nier sa présence, auront l’avantage dans les années à venir. L’expertise liée à la technologie, la résolution créative de problèmes et le dévouement à l’apprentissage seront plus cruciaux que jamais », ont-ils ajouté. Que l’IA ait déjà trouvé sa place dans votre travail ou qu’elle reste un territoire inconnu, son influence croissante dans tous les secteurs est indéniable. La technologie promet de rationaliser les opérations et d’améliorer la productivité , mais elle entraînera également des suppressions d’emplois massives et la disparition de secteurs entiers. Ce qui résultera de cette transformation sera un marché du travail remodelé, avec une attention particulière portée aux nouveaux rôles spécialisés et à la recherche de ce qui reste. Maximiser vos points forts et apprendre à vous harmoniser avec l’IA peut vous permettre d’être en phase avec les avancées futures et de ne pas être laissé pour compte.  Photo de photoschmidt/Shutterstock By succes #Wilikijo

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Comment élaborer une stratégie marketing qui ne dépend pas des médias sociaux

L’avenir de TikTok aux États-Unis reste incertain , alors que le président Trump a décidé de prolonger le délai de vente de ByteDance. Un accord sera-t-il trouvé à temps ? Le géant social chinois tiendra-t-il le coup ? L’avenir de l’application aux États-Unis est incertain. Mais ce n’est pas le seul problème de TikTok : l’Australie a récemment relevé à 16 ans l’âge minimum pour utiliser les réseaux sociaux. Ces changements ont sonné l’alarme pour les entreprises qui s’appuient uniquement sur les médias sociaux pour générer des ventes. Si une plateforme sociale tombe en panne, toute entreprise qui dépend fortement de cette plateforme en fait de même. Avec la réalité changeante des médias sociaux, développer une stratégie marketing qui ne repose pas sur les médias sociaux est l’option la plus sûre. Le risque du marketing exclusivement socialDillon Hill, fondateur de l’agence de marketing et de création de compte Cosmoforge , a vu venir le moment il y a dix ans. Son parcours dans le marketing a commencé par une crise personnelle. « L’un de mes meilleurs amis d’enfance a reçu un diagnostic de cancer en phase terminale et j’ai abandonné mes études… Nous avons monté une série documentaire… Ironiquement, elle est devenue très virale sur les réseaux sociaux », dit-il. Le documentaire a rencontré un énorme succès, a attiré l’attention de la presse et a donné lieu à une campagne de don de moelle osseuse sur les réseaux sociaux. « Nous avons même battu le record du monde de la plus grande campagne de don de moelle osseuse », ajoute-t-il. Mais réitérer ce succès n’a pas été si facile. « Nous nous sommes dit : « Hé, nous avons beaucoup d’attention. Essayons d’aider d’autres personnes atteintes du cancer », explique Hill. « Cela n’a pas vraiment fonctionné. » La deuxième campagne n’a pas eu le même élan que l’enthousiasme initial. Cette expérience a permis à Hill de tirer une leçon précieuse. « Les réseaux sociaux sont une bête très capricieuse. Ce n’est pas un outil sur lequel on peut bâtir une entreprise… car les tendances changent [et] les attentes des gens évoluent. » Si les réseaux sociaux peuvent être une bonne stratégie pour atteindre des prospects gratuitement, ce n’est pas le modèle qui convient à toutes les entreprises. Briser votre dépendance aux médias sociauxLa plupart des clients de Hill ne dépendent pas des médias sociaux, et son agence non plus. « Nos clients sont dans une situation où si quelqu’un soumet un formulaire [pour se renseigner sur leurs services ou acheter leurs produits] sur leur site Web… cela leur vaut généralement environ 500 $. Leur public cible n’est généralement pas composé de personnes prêtes à acheter ou à s’engager sur les médias sociaux », dit-il. Les clients de Hill sont des professionnels de l’entretien des pelouses, des nettoyeurs haute pression ou des entreprises de commerce électronique qui vendent des produits hautement spécialisés comme des couvertures d’abris pour camping-cars. « Nous leur recommandons donc très souvent de ne pas utiliser les médias sociaux, certainement pas de manière organique, mais très probablement aussi de ne pas utiliser les médias sociaux payants. » Le délai nécessaire pour convertir l’attention des médias sociaux en revenus pose un autre défi. « Si vous obtenez une certaine notoriété, disons que vous gérez une page Facebook comme le ferait une entreprise normale », explique Hill, le retour sur investissement n’est pas immédiat. « Quelqu’un… qui découvre votre entreprise par hasard peut ne pas en tirer profit avant six mois ou un an. » Ce retard de conversion crée des problèmes de mesure. « Il est très difficile d’attribuer vos efforts aux revenus dans ce cas. » Canaux marketing à forte valeur ajoutée à prendre en compteAu lieu de se fier uniquement aux médias sociaux, il existe d’autres pistes à explorer. La publicité au paiement par clic (PPC) offre un accès immédiat aux clients intéressés. « L’intention est là », explique Hill. « Vous pouvez généralement vous adresser directement aux personnes qui recherchent un service. » Si vous avez déjà vu une publicité sponsorisée en haut de Google, il s’agit d’une publicité PPC. Cette approche peut accélérer considérablement le cycle de vente. « Nous connaissons leur intention dès le départ », explique Hill, car les publicités PPC peuvent être extrêmement ciblées sur un public spécifique prêt à acheter ou envisageant sérieusement un investissement. « C’est beaucoup plus facile à capturer. » Les clients de Hill dépensent généralement environ 15 000 $ par mois pour un mélange de publicité PPC et Meta, dit-il, la majorité de ce budget étant consacrée aux publicités PPC. Le marketing par e-mail est un autre canal fiable. Hill souligne son importance même lors de l’utilisation des plateformes sociales : « Même si nous faisons quelque chose sur les réseaux sociaux, l’idée est… d’obtenir leur adresse e-mail, car c’est vraiment là que la croissance va se produire. » Contrairement aux réseaux sociaux, où un algorithme peut déclasser une vidéo ou un compte peut être fermé, la liste d’e-mails d’une entreprise leur appartient pendant toute la vie de l’entreprise. Si vous êtes une petite entreprise qui n’a pas la possibilité de diffuser des publicités payantes, alors diriger vos abonnés sur les réseaux sociaux vers votre newsletter est un excellent moyen de tirer le meilleur parti du trafic gratuit. Hill recommande ce pivot stratégique pour les entreprises fortement investies dans les médias sociaux. « Si votre allocation budgétaire sur les médias sociaux est à 100 % axée sur l’idée de générer des revenus, pivotez… au fil du temps », dit-il. Transition vers une stratégie différenteLa transition doit être progressive. « Au cours des six prochains mois, [votre stratégie sociale ne doit plus être axée à 100 % sur la génération de revenus. » Hill recommande plutôt de consacrer 75 % de ses efforts sociaux aux abonnements à la newsletter ou à toute autre donnée first party, le reste étant axé sur les ventes. Les données first party appartiennent directement à une entreprise, ce qui signifie qu’elles ne peuvent

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Élaborer votre plan de développement personnel : un guide pour réussir

TABLE DES MATIÈRES Vous avez acheté un agenda, souscrit à un gestionnaire de tâches et rencontré un coach de vie. Pourtant, vous n’avez pas l’impression d’avoir fait de progrès. Comment pouvez-vous avancer d’une manière qui vous permette de concevoir votre vie comme vous le souhaitez ? C’est là qu’un plan de développement personnel (PDP) entre en jeu. Un PDP n’est pas seulement un outil, c’est une stratégie personnalisée pour atteindre des objectifs. En clarifiant vos ambitions et en les décomposant en étapes concrètes, vous pouvez transformer vos aspirations en réalité. Si vous souhaitez améliorer votre carrière ou en démarrer une nouvelle, un PDP peut vous aider. Il peut également vous aider à acquérir une nouvelle compétence ou à trouver un équilibre dans votre vie bien remplie. Un PDP vous apporte la clarté et la concentration dont vous avez besoin pour rester sur la bonne voie. Ce guide vous expliquera ce qu’est un PDP, vous aidera à en découvrir les avantages et vous fournira des étapes concrètes pour en créer un. À la fin, vous aurez tout ce dont vous avez besoin pour concevoir un plan qui vous permettra de réussir sur le long terme. Qu’est-ce qu’un plan de développement personnel ? Dans le monde en évolution rapide d’aujourd’hui, la croissance personnelle et professionnelle semble souvent être une bataille difficile. Trouver un équilibre entre l’avancement professionnel, l’amélioration personnelle et les exigences quotidiennes de la vie peut vous laisser sans but et dépassé. Le marché mondial du développement personnel a été estimé à environ 43,77 milliards de dollars en 2022 et devrait atteindre 67,02 milliards de dollars d’ici 2030. Il est clair que le monde s’intéresse à l’amélioration personnelle. Mais nous ne savons pas toujours par où commencer. C’est là qu’un plan de développement personnel peut être bénéfique.  Un plan de développement personnel est un cadre structuré qui vous aide à atteindre vos objectifs à court et à long terme. Il combine l’introspection, la définition d’objectifs et l’action stratégique pour vous aider à vous développer personnellement et professionnellement. Considérez-le comme une feuille de route détaillée pour atteindre vos aspirations. Contrairement aux listes de tâches, aux résolutions ou aux programmes d’amélioration personnelle en général, un PDP est spécifique, mesurable et adapté à votre situation particulière. Il vous permet d’évaluer votre état actuel, de définir les résultats souhaités et de planifier des mesures concrètes. Pourquoi un PDP est-il utile ? Un PDP vous aide à concevoir votre vie, en prenant le contrôle de votre parcours grâce à une vie intentionnelle. Au lieu de passer d’un objectif à l’autre sans direction, pensez à vos valeurs plus larges et à vos objectifs à long terme.  La création d’un plan de développement personnel offre de nombreux avantages , notamment : Le suivi des progrès vers les objectifs est un élément essentiel qui comble le fossé entre la définition des objectifs et leur réalisation . Le suivi améliore les performances lorsqu’il est associé à des commentaires et à des stratégies.  Éléments clés d’un plan de développement personnel Comprendre les principaux éléments d’un PDP vous aidera à commencer à créer le vôtre. Si votre PDP comprend ces éléments, vous pouvez vous assurer que votre plan est complet et réalisable : Vision : votre objectif principal ou vos aspirations à long terme Pour créer un énoncé de vision ou définir votre vision, il peut être utile de réfléchir à vos valeurs, d’imaginer votre avenir idéal et de rédiger un énoncé de vision. Voici quelques questions que vous pouvez vous poser pour trouver votre vision : Après avoir réfléchi à ces questions, vous pouvez commencer à élaborer une déclaration de vision concise et inspirante qui représente vos aspirations. Par exemple : « Je m’efforce d’être un leader d’opinion en matière de conception durable, en influençant des changements positifs tout en maintenant une vie personnelle équilibrée et épanouissante. » Bien que le développement personnel soit différent des objectifs de croissance et de développement professionnels, les deux peuvent se compléter.  Objectifs : résultats spécifiques que vous souhaitez atteindre Pour atteindre ses objectifs, il faut de la clarté, de la persévérance et une stratégie solide. Commencez par fixer des objectifs clairs. Plutôt que des aspirations vagues, définissez des objectifs précis et réalisables. Cela peut impliquer de décomposer les objectifs plus vastes en étapes plus petites et plus faciles à gérer. Utilisez le modèle d’analyse SMART pour vous aider à définir vos objectifs. Dans le contexte des objectifs, SMART signifie spécifique, mesurable, atteignable, pertinent et limité dans le temps. Au lieu de dire « Je veux me remettre en forme », vous pouvez être plus précis. Vous pourriez dire : « Je veux perdre 5 kg en trois mois. Je prévois de faire de l’exercice quatre fois par semaine. » Étapes d’action : les tâches nécessaires pour atteindre vos objectifs  Votre vision et vos objectifs doivent être suivis d’actions pour les concrétiser. Par exemple, si vous souhaitez obtenir une certification professionnelle, vous devez prendre certaines mesures pour l’obtenir. Tout d’abord, recherchez les certifications disponibles. Ensuite, inscrivez-vous à un cours qui correspond à vos besoins. Ensuite, étudiez deux heures par jour. Enfin, passez l’examen avant la date limite. En fixant ces étapes, vous pouvez célébrer vos progrès, ce qui vous motivera davantage à atteindre votre objectif global.  Ressources : outils, personnes et systèmes de soutien pour vous aider dans votre parcours Pour identifier ces ressources, dressez la liste de ce qui pourrait vous aider à atteindre vos objectifs. Il peut s’agir de mentors, de collègues, d’amis, d’applications, de livres, de groupes de réseautage, etc. Tirez également parti de la technologie et demandez de l’aide lorsque vous en avez besoin. Chronologie : échéances et points de contrôle pour suivre les progrès Une chronologie ajoute de la structure et de la responsabilité à votre PDP. Pour créer une chronologie efficace, définissez vos dates de début et de fin, définissez des points de contrôle et utilisez des outils visuels. ( Les diagrammes de Gantt , les feuilles de calcul ou les applications de gestion des tâches comme Asana peuvent être utiles). Évaluation : des examens réguliers pour mesurer le succès et procéder à des ajustements Prenez

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La conception de M. Moussa DOUMBIA sur le système francophone et bambara.

Différence entre le système Francophone et Bambara dans le monde professionnel. Sommaire1- Protocole2- Validation3- Exécution4- Temps 1- Protocole : Dans l’administration ou le monde des affaires, le fonctionnement français est beaucoup plus basé sur les documentations administratives / lettres de recommandations, attestations, CV , entre autres, le système bambara est assez pragmatique et repose sur la compétence 2- Validation : La logique bambara enseigne le sillage de l’homme qu’il faut à la place qu’il faut, en respectant les principes inclusifs et libéraux, la francophonie met l’accent sur qui t’a envoyé pour passer à la validation. 3- Exécution : Après le protocole et validation, le bambara mettra tout à disposition pour permettre à la personne désignée de mener à bien l’activité concernée, en attendant le post évaluation, le français reviendra sur la vérification du protocole et validation pour contextualiser le projet avant de valider ou pas de manière définitive. 4- Le temps: Le respect temps reparti est capital pour le bambara, il le montre déjà pendant les 2 premières étapes en venant 15 minutes avant l’heure ou de prévenir 45 minutes à l’avance s’il y’a un cas de force majeure, s’assure de la bonne exécution dans le délai, le système francophone africain mettra en avant les relations sociales comme barrière aux conséquences en cas de retard du temps d’exécution du projet planifier. S’il arrive que les anglophones se reconnaissent en système bambara, tant mieux, ils l’auront appris ici . Chez nous au Mali, les cultures autochtones sont pures et flexibles, mettant en valeur le potentiel de chacun pour le bien de tous, ainsi donc, un conseil de fin aux Bambaras souhaitant exceller dans le monde des affaires , apprenez l’Anglais. By Moussa DOUMBIA, un jeune entrepreneur déterminé à faire évoluer l’écosystème entrepreneurial malien par le partage de ses connaissances. M. DOUMBIA est le PDG de la société BUGUNI, une société agroalimentaire spécialisée dans la production de jus à base de produits locaux… WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Le plus grand défi auquel vous serez confronté en tant que leader

Une fois que vous vous êtes fixé un objectif en tant que dirigeant, qu’il s’agisse de créer votre propre entreprise, de dynamiser votre organisation ou de diriger votre petite équipe, le défi consiste à trouver les bonnes personnes pour vous aider à atteindre cet objectif. Rassembler une équipe performante n’est pas seulement utile, c’est nécessaire. Pour vous guider dans cette tâche ardue de choisir les bonnes personnes, voici une liste de contrôle en quatre parties. 1. Vérifiez leurs antécédents ou leur historique. C’est peut-être l’étape la plus évidente, mais elle est d’une importance vitale. Recherchez les informations disponibles concernant les qualifications de la personne pour occuper le poste. 2. Vérifiez leur niveau d’intérêt. Une fois que vous avez pris connaissance des qualifications du candidat, évaluez son intérêt réel. Les gens peuvent parfois faire semblant d’être intéressés, mais si vous êtes un dirigeant depuis un certain temps, vous saurez juger si quelqu’un fait simplement semblant. Organisez une conversation en face à face et essayez d’évaluer sa sincérité du mieux que vous pouvez. Vous ne ferez pas mouche à chaque fois, mais vous pouvez devenir assez doué pour repérer un intérêt réel. Les prospects les plus intéressés sont souvent les bons. Souhaitez-vous découvrir les secrets qui ont fait le succès de certaines des personnes les plus influentes du monde ? Ne manquez pas votre dernière opportunité d’obtenir la formation Jim Rohn qui a aidé des milliers de personnes à surmonter leurs difficultés et à trouver un succès à vie ! Cliquez ici pour obtenir cette formation dès aujourd’hui ! 3. Vérifiez leurs réponses. Une réponse en dit long sur  l’intégrité, le caractère et les compétences d’une personne . Soyez attentif aux réponses telles que : « Vous voulez que j’arrive si tôt ? » « Vous voulez que je reste si tard ? » « La pause ne dure que 10 minutes ? » « Je devrai travailler deux soirs par semaine et le samedi ? » Ces indices ne peuvent être ignorés. Ils  révèlent son caractère  et révèlent souvent à quel point il ou elle est prêt(e) à travailler dur. Nos attitudes reflètent notre moi intérieur. Même si nous parvenons à tromper les autres pendant un certain temps, notre véritable moi finit par émerger. 4. Vérifiez les résultats. Comment pouvons-nous autrement juger efficacement les performances d’un individu ? Le juge final doit être les résultats, et il existe deux types de résultats à rechercher. Le premier type est l’activité professionnelle, et il est simple d’en assurer le suivi. Au sein d’une organisation commerciale, vous pouvez demander à un nouveau vendeur de faire 10 appels au cours de sa première semaine. S’il commence à raconter une histoire ou à inventer des excuses pour ses mauvais résultats lorsque vous faites le suivi de ses progrès, c’est un signe certain. Si son manque d’activité persiste, vous vous rendrez vite compte qu’il n’est peut-être pas capable de faire partie de votre équipe. Le deuxième domaine que vous devez surveiller est la productivité. Le test ultime d’une équipe de qualité est la mesure des progrès réalisés dans un délai raisonnable. Soyez franc avec votre équipe quant à ce que vous attendez d’elle. Ne laissez pas les surprises arriver plus tard. Lorsque vous suivez cette liste de contrôle en quatre parties, votre instinct joue un rôle majeur et il s’améliorera à chaque fois que vous suivrez le processus. N’oubliez pas que la constitution d’une équipe performante sera l’une de vos tâches les plus difficiles en tant que leader. La bonne nouvelle est que cela vous apportera de nombreuses récompenses pendant longtemps. By Jim Rohn WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali

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6 traits essentiels d’un bon caractère

Voici ce que je considère comme les bases d’un bon caractère. Si vous en oubliez un, vous découvrirez un maillon faible de votre caractère, qui pourrait bien être la cause de la perte de votre leadership. 1. Intégrité L’intégrité est un bon mot-clé qui ressemble au caractère mais qui nous offre une façon différente de voir les idées de caractère. La racine d’intégrité signifie « entier » ou « indivisible », et c’est une excellente façon de nous aider à comprendre ce qu’est l’intégrité – une vie indivisible. Par exemple, vous n’agissez pas d’une manière dans une situation et d’une autre dans une autre. Votre vie est intègre et entière. Vivre de cette façon renforcera la confiance de vos disciples. Une autre utilisation du mot intégrité qui nous éclaire est lorsqu’il est utilisé en rapport avec une structure physique. On dit qu’un mur ou un bâtiment solide et sans fissures est intègre. On pourrait en dire autant des grands dirigeants. 2. Honnêteté On dit souvent que l’honnêteté est la meilleure politique, mais j’ajouterais que l’honnêteté est la seule politique pour les grands dirigeants. Pensez-y. Pourquoi les gens cachent-ils la vérité ? En général, pour quelques raisons fondamentales : ils ont peur des conséquences ou ils essaient de cacher quelque chose. Dans les deux cas, un manque d’honnêteté a pour conséquence de détruire la confiance de ceux qui vous suivent. Même si vous leur dites la vérité mais qu’ils savent que vous avez menti à d’autres, cela détruira la confiance que vous aviez envers eux. Ils se mettent à penser : « S’il leur ment, est-ce qu’il me mentira ? » Je n’ai jamais compris ce que les gens espèrent accomplir en étant malhonnêtes. Les gens finissent par se rendre compte que vous n’êtes pas honnête dans vos relations, et c’est pour cela que vous êtes connu. Votre réputation est pourtant ce sur quoi repose votre leadership. Lorsque nous sommes honnêtes et que nous vivons de manière transparente devant nos adeptes, ils sont capables de nous voir tels que nous sommes et de prendre des décisions judicieuses à suivre. 3. Loyauté Les personnes de bonne moralité sont des personnes loyales. Elles ont une attitude de « persévérance » envers les autres. Quiconque connaît la nature humaine sait que les gens échouent. Ce n’est qu’une question de temps, quel que soit le talent de quelqu’un. Une personne de bonne moralité reste avec ses amis même dans les moments difficiles. N’importe qui peut être ami avec les autres quand les temps sont bons. Les personnes de bonne moralité restent avec leurs amis quand elles en ont le plus besoin. Voici comment cela fait de vous un bon leader : les gens veulent suivre un leader qui les poussera au-delà de leur niveau actuel, mais qui leur permettra également d’essayer – et d’échouer. Lorsque nous sommes loyaux envers nos suiveurs, ils nous seront loyaux et feront tout leur possible pour réussir en notre nom et au nom de l’organisation. Peu de choses renforcent autant le lien entre leader et suiveur que la loyauté d’un leader envers un suiveur dans le besoin. 4. Le sacrifice de soi Lee Iacocca est devenu une légende lorsqu’il a déclaré qu’il ramènerait Chrysler au bord de la faillite et qu’il ne toucherait qu’un dollar par an de salaire. C’était un exemple classique d’un dirigeant qui se sacrifie pour ses partisans. Cela a également montré sa compréhension et son empathie envers le travailleur moyen. En conséquence, les travailleurs de Chrysler l’ont récompensé en lui offrant un nombre incroyable de fans alors qu’ils faisaient de Chrysler l’un des plus grands constructeurs automobiles du monde. Pourquoi le sacrifice de soi engendre-t-il des adeptes ? Les adeptes n’ont rien contre le fait de travailler dur. Ils ne voient même pas d’inconvénient à ce qu’un leader gagne plus d’argent ou récolte des bénéfices grâce à son travail. Ce qui dérange les adeptes, en revanche, c’est que le leader les utilise à des fins personnelles. Les personnes de bonne moralité n’utilisent pas les autres, point final. Ainsi, lorsqu’un leader fait preuve de sacrifice pour son gain personnel, il dit à ses adeptes qu’ils sont prêts à le soutenir – et les adeptes le récompensent presque universellement. Une personne de bonne moralité montre qu’elle peut renoncer à son gain personnel pour le bien de tous. 5. Responsabilité Les personnes de bonne moralité ne craignent pas de devoir rendre des comptes. En fait, elles l’acceptent volontiers. Il s’agit de permettre aux autres d’avoir leur mot à dire dans votre vie, de vous parler franchement de votre vie et de votre conduite. La vérité brutale est que nous avons des angles morts et que nous avons besoin que d’autres personnes soient proches de nous pour pouvoir avancer sur la voie du succès. Le besoin de rendre des comptes ne prouve pas un manque de caractère. Il prouve plutôt la présence de caractère. GK Chesterton a dit : « Le péché originel est la seule philosophie validée empiriquement par 3 500 ans d’histoire humaine. » La personne de bonne moralité le sait et invite les autres à parler dans sa vie. Les suiveurs se lassent des dirigeants qui ne veulent pas se soucier de rendre des comptes. Ils ne se soucient pas des dirigeants qui font des erreurs, mais ils se soucient de ceux qui n’assument pas la responsabilité de leurs erreurs en rendant des comptes. Lorsque nous acceptons d’être tenus responsables, nos suiveurs savent que nous prenons au sérieux notre propre gestion et que nous ferons donc du bon travail pour diriger le reste de l’organisation. 6. Maîtrise de soi La capacité à prendre des décisions – de bonnes décisions – sur ce que nous ferons ou non de nos actions est au cœur de ce que nous deviendrons en ce qui concerne notre caractère. Il y aura de nombreuses possibilités de participer à des choses qui ne sont pas morales. Tout le monde a des tentations, mais une personne de bon caractère sait faire preuve de

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Comment vous tuez votre productivité

Pensez à votre journée actuelle. Qu’est-ce qui est fait et qui doit être fait, et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Vous vous retrouvez à la fin d’une longue journée sans avoir terminé vos tâches les plus importantes ? Vous repoussez toujours plus loin vos objectifs à long terme ? Le légendaire philosophe des affaires Jim Rohn a dit : « Si vous ne produisez pas, vous ne serez pas heureux. » La productivité est essentielle à notre estime de soi, à notre réussite et à notre espoir. Sans elle, nous sombrons progressivement dans un état de frustration, de désespoir et de regret. Si la productivité est si importante pour le succès, il est temps de considérer que même si vous travaillez probablement dur et faites de votre mieux, c’est vous qui tuez votre productivité. Personne d’autre que vous n’est responsable de votre productivité. C’est vous qui devez sortir du lit chaque jour et décider comment passer votre temps. Bien sûr, il y a des faits de la vie qui échappent à votre contrôle, mais dans la plupart des cas, si la journée ne se déroule pas comme vous le souhaitez, vous êtes le seul à pouvoir faire quelque chose pour changer cela. Habitudes Tout d’abord, soyons clairs : vous n’êtes pas seul. La plupart des gens travaillent d’une manière qui sabote leurs meilleurs efforts. Vous avez probablement passé des années à vous attaquer à des projets et à travailler avec des clients, vous avez donc des modèles de comportement bien rodés. Ces habitudes sont pourtant à l’origine de la raison pour laquelle vous tuez votre productivité au lieu de la stimuler. Ces mêmes habitudes sont la raison pour laquelle vous vous sentez vaincu lorsque vous envisagez vos objectifs à long terme. C’est pourquoi vous vous sentez frustré lorsqu’un autre jour s’est écoulé sans progrès réel vers vos plus grands rêves. Et pourquoi vous travaillez, travaillez et travaillez encore, pour vous retrouver aujourd’hui au même endroit qu’il y a un an. Deuxièmement, soyons réalistes : la situation va empirer si vous ne faites pas quelque chose de différent. Des journées supplémentaires d’efforts infructueux ne vous aideront pas à vivre la vie de vos rêves. Passer une année à tourner en rond ou même à reculer est déjà assez difficile. Mais continuer à être de plus en plus frustré, à prendre du retard et à perdre du terrain fera baisser encore plus votre productivité. Une personne qui a l’impression de ne pas viser un objectif réaliste est une personne sans motivation. Et une personne sans motivation est une personne qui n’est pas productive. Nous devons donc examiner ce qu’est la productivité et comment vos choix peuvent avoir un impact considérable sur votre niveau de productivité presque immédiatement. Qu’est-ce que la productivité réellement ? Jim Rohn a dit : « L’activité mène à la productivité. » Cela signifie que votre activité n’est que le point de départ, c’est l’élément essentiel de la création de la productivité. C’est l’exigence minimale, pourrait-on dire. Sans activité, la productivité ne peut exister. Mais produire quelque chose qui en vaille la peine demande plus que de l’activité. Nous pouvons tous trouver quelque chose pour nous occuper pendant la journée. Vous passez peut-être trop de temps à répondre à des e-mails, à parcourir les réseaux sociaux ou à éteindre tous les petits incendies qui surviennent au cours d’une semaine de travail. Aucun des travaux fastidieux que nous pouvons trouver pour nous occuper n’est productif, à moins qu’ils ne fassent partie d’une stratégie plus vaste. La productivité nécessite des compétences, une stratégie et des efforts ciblés. Si vous travaillez avec ces trois éléments essentiels ensemble, de manière cohérente, vous optimisez votre productivité. C’est comme une recette pour créer exactement ce que vous voulez créer et le faire avec excellence. Alors posez-vous la question : « Est-ce que je travaille avec compétence, stratégie et effort concentré de manière constante ? » Si votre réponse est non, évaluez les domaines dans lesquels vous avez le plus besoin d’aide et commencez à trouver de nouvelles façons de faire des affaires. Compétence Sans un certain niveau de compétence dans votre secteur, vous n’irez pas bien loin. La plupart des gens ont l’un des deux problèmes suivants dans ce domaine : Si vous avez cessé de chercher activement de nouvelles façons de faire ou de voir les choses, il est temps de faire un peu d’introspection. Il y a de fortes chances que vous soyez sujet à l’illusion selon laquelle vous n’avez besoin de l’aide de personne d’autre pour progresser dans votre domaine. Mais soyons réalistes. Oui, vos années d’expérience et de travail acharné vous ont certainement donné un excellent niveau de compétence, mais les personnes qui cessent d’apprendre, de grandir et de suivre les progrès finissent par être laissées pour compte. Et trop souvent, elles sont les dernières à le savoir. La stagnation est tout aussi préjudiciable à votre réussite que le manque de productivité. Ne croyez pas que vous n’avez plus rien à apprendre. Même les plus grands maîtres ont des mentors. Trouvez un mentor qui possède les connaissances approfondies dont vous avez besoin pour vous guider vers une plus grande maîtrise. Apprendre est essentiel à notre croissance continue, mais apprendre sans mettre en pratique ce que vous apprenez est inutile. Arrêtez de stocker les connaissances que vous absorbez et commencez à les expérimenter ; écoutez votre guide intérieur sur ce qui correspond à votre situation et mettez en pratique ce que vous avez appris. Il est important de trouver une source de croissance qui vous aide également à mettre en pratique vos nouvelles connaissances et de prendre le temps de vous entraîner régulièrement afin de créer de nouvelles habitudes. Stratégie Si vous possédez les bonnes compétences, l’étape suivante consiste à développer la bonne stratégie. « Le succès repose sur 20 % de compétences et 80 % de stratégie », a déclaré Rohn. « Vous savez peut-être lire, mais plus important encore, quel est votre plan de lecture ? » Une

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