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MIMI ÉPICES : Quand le Savoir-Faire Local Donne du Goût à l’Entrepreneuriat Malien

Dans un Mali en pleine transformation, où les habitudes alimentaires évoluent et la demande pour des produits de qualité explose, une entreprise se démarque avec audace et détermination : MIMI ÉPICES. Derrière cette marque prometteuse, une femme visionnaire : Madame BAGAYOGO Aminata TRAORÉ. À travers son engagement et son parcours inspirant, elle incarne cette nouvelle génération d’entrepreneurs qui osent rêver grand et bâtir localement. De la Finance à l’Agroalimentaire : Le Pari Audacieux d’Aminata Titulaire d’une licence en Économie et Ingénierie Financière de la FSEG de Bamako, Aminata laisse parler sa passion profonde pour l’agroalimentaire, qui finit par prendre le dessus. Formée, outillée et déterminée, elle se lance dans la transformation des épices et condiments en poudre, un secteur à fort potentiel mais encore peu structuré. Ainsi naît MIMI ÉPICES, une entreprise malienne qui allie savoir-faire artisanal, hygiène moderne et exigence de qualité. Une Vision Claire : Répondre à la Demande Croissante des Consommateurs Urbains Aujourd’hui, les ménages urbains, les restaurants, les supermarchés et les marchés locaux sont de plus en plus friands de produits locaux, pratiques, bien emballés et prêts à l’emploi. MIMI ÉPICES s’inscrit pleinement dans cette dynamique, en offrant une alternative locale, saine et qualitative face aux produits importés. L’entreprise mise sur : Un Projet Structuré et Une Croissance Maîtrisée Depuis sa formalisation en 2023 auprès de l’API Mali, MIMI ÉPICES ne cesse de franchir des étapes :• Partenariats techniques et financiers (notamment avec Force PME PMI)• Structuration d’une chaîne de production efficace et scalable• Développement d’une clientèle fidèle et enthousiaste Faire Face à la Concurrence Avec Force et Innovation Dans un marché concurrentiel, MIMI ÉPICES tire son épingle du jeu grâce à : Bien Plus Qu’une Marque : Un Modèle d’Inspiration MIMI ÉPICES, c’est aussi le symbole d’un entrepreneuriat féminin engagé, qui valorise les ressources locales et crée de la valeur sur place. Aminata TRAORÉ, à travers sa vision et son travail acharné, démontre que l’agroalimentaire malien a un potentiel immense — à condition d’y croire, de se former, et d’investir dans la qualité. Soutenez l’Ambition Locale, Goûtez au Savoir-Faire Malien Choisir MIMI ÉPICES, c’est encourager une entrepreneure malienne, soutenir la production locale et savourer des épices 100% naturelles, transformées avec soin à Yirimadio, Bamako. Pour en savoir plus sur les produits ou discuter de partenariats, n’hésitez pas à contacter Madame BAGAYOGO Aminata TRAORÉ ! Contact : +223 73 82 82 14Localisation : Yirimadjo, Bamako #EntrepreneuriatFéminin #MadeInMali #Agroalimentaire #Innovation #MimiÉpices #Apimali #dépassementdesoi, #Sirasurun #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Awa Togo : De la petite vendeuse de Mopti (Sévaré) à fondatrice d’une usine semi-industrielle d’huile locale

Originaire de la région de Mopti, plus précisément du cercle de Koro, Awa Togo incarne l’image de la jeune femme malienne déterminée, audacieuse et profondément attachée à ses racines. Depuis sa tendre enfance, elle rêvait d’indépendance. Elle se lançait déjà dans de petits commerces, gagnant 25 ou 50 francs en vendant çà et là — une manière pour elle de bâtir, à petits pas, son propre chemin. Une jeunesse marquée par l’effort et l’initiative Après l’obtention de son CEP, Awa rejoint son grand frère à Sévaré pour poursuivre ses études. Là-bas, elle relance son esprit entrepreneurial en s’associant à sa belle-sœur pour produire et vendre de l’huile d’arachide. Malgré les faibles marges après les coûts de production, elles persévèrent, refusant de se laisser décourager. C’est avec cette même détermination qu’elle obtient son baccalauréat. Le déclic universitaire à Bamako Installée à Bamako pour ses études supérieures en gestion de projet et management, Awa fait une rencontre déterminante : une professeure passionnée d’entrepreneuriat, dont les conseils l’inspireront profondément. Cette dernière lui enseigne que pour réussir, il faut bâtir son entreprise autour d’un projet qui nous passionne réellement. Awa retiendra cette leçon précieusement. Naissance de l’entreprise Dida C’est ainsi que naît Dida en 2021, une entreprise dédiée à la production d’huiles locales. Le nom « Dida » est une belle fusion des prénoms de ses parents, en langue dogon – un hommage aux origines et aux valeurs familiales. Démarrant avec une simple production de 20 litres, Awa ne se décourage pas. Son courage, sa rigueur et sa vision lui permettent de faire grandir l’entreprise. Aujourd’hui, elle possède une usine semi-industrielle implantée à Sirakoro Meguetana, avec une capacité de production conséquente. Une vision locale, un impact national Chez Dida, tout est fait à partir de matières premières locales. Awa valorise non seulement la consommation locale, mais aussi les savoir-faire traditionnels maliens. Elle a su se démarquer par la qualité constante de ses produits et un service client efficace et réactif. L’usine propose aujourd’hui :• De l’huile d’arachide en formats de 1 litre, 5 litres et 20 litres ;• De la pâte d’arachide ;• Des épices et marinades locales (kankankan, mougou), disponibles en différents formats. Une ambition continentale Entourée d’une équipe jeune, dynamique et engagée, Awa vise encore plus haut. D’ici cinq ans, elle projette d’atteindre une production de centaines de milliers de litres, avec l’ambition de conquérir les marchés internationaux et de fournir l’Afrique en huile de qualité. Contact entreprise E-mail : dida.21ml@gmail.comTéléphone : +223 72 59 99 91 Apimali #dépassementdesoi, #Dida #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Une usine ou argent-bougou? Complexe agro-industriel « Seydou Diogo Awa (SDA) », problème de branding…

La sortie du footballeur entrepreneur malien Seydou Keïta met en évidence les défis communs de l’écosystème local, voici mes analyses sur 3 points : 1- Le Branding : l’image du footballeur Seydou Seydou Keïta derrière ce projet, pouvait aider certes à faciliter certains aspects gouvernementaux, la question est de savoir jusqu’où? L’identité de marque autour de la fortune du footballeur, qui aspire, selon ses dires, à une mission de patriotique économique, chose noble, mais coûteuse pour le contexte actuel malien. Un proverbe dit ceci : ´´ C’est le projet qui fait l’argent et non le contraire ´´. Cela s’explique par le comportement des parties prenantes qui mettent l’entreprise dans une calebasse de gain facile où l’argent ne va guère manquer (waribatiè) , chose qui ne promet point d’installer un climat de croissance d’entreprise. Dès le départ, j’aurais préféré qu’il choisisse un praticien hors pair au devant de la scène, stratégie qui pouvait renverser cette tendance imaginaire dans la tête des parties concernées pour aller à l’essentiel. Dans la tête du footballeur, ce détail n’est point clair, il s’agit d’un business d’abord, qui doit être mis en avant le reste, le patriotisme vient après, et l’un ne gêne pas l’autre. 2- Finance : Investissement de plus de 14 milliards de FCFA pour des équipements sophistiqués découlant de six unités de production intégrées, d’une capacité de 30 000 litres par jour. Nous comprenons que l’argent est une ressource utile pour l’entreprise, mais pas que, plusieurs autres facteurs notamment le réseau, les challenges, l’inspiration, les compétences, la bonne communication, compréhension du marché et du secteur, le temps et l’énergie au profit du business, qui sont au-delà du financement, les autres ressources capitales pour assurer l’atteinte des objectifs cibles, l’argent ne fait point le tout. 3- Juridique : l’approvisionnement en matière, le problème qui persiste depuis quelques mois après la mise en opération de l’usine, est établi sur un partenariat tripartite entre l’État, l’usine et les producteurs. Il n’y a rien de plus complexe que la gestion des acteurs du monde rural afin d’instaurer un climat de confiance et un modèle économique viable, cela se passe dans le temps, souvent dans la formation et l’encadrement des acteurs (trices). Il faut tout un siècle de recherche et d’engagement continue afin d’améliorer son circuit d’approvisionnement avec les coopératives de femmes, les partenaires techniques et financiers. Il s’agit évidemment d’un ensemble de facteurs liés aux coûts des intrants et à l’eau, climat, semences, coûts d’exploitation et transport, les modalités rapport qualité, quantité, prix, délai de livraison, entre autres, comme une famille que nous constituons avec soin. Au-delà, face aux opportunités existantes, les producteurs ne seront être maintenus dans n’importe quel cadre, qu’il émane de l’Etat ou d’un millionnaire, s’ils n’y trouvent pas leurs comptes, de passage, épouser la vision, et par là, le business prime. Je mets ses défis dans une enveloppe d’apprentissage pour Seydou, et c’est dans ces moments qu’on apprend les meilleures leçons pour se positionner finalement sur du concret, au profit de tous, selon les réalités locales. Si le développement durable repose sur la valorisation du secteur primaire et secondaire, il ne serait inutile de se demander quelles pistes concrètes faudrait mettre en avant, au-delà de l’argent, pour l’aboutissement des initiatives et investissements locaux, à méditer. By Moussa DOUMBIA PDG DE BUGUNI  WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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LA FONDATION TONY ELUMELU OUVRE LES CANDIDATURES POUR LES PROGRAMMES D’ENTREPRENEURIAT 2025

Lagos, Nigeria – 1er janvier 2025 – La Fondation Tony Elumelu (TEF), le principal champion africain de l’entrepreneuriat, a le plaisir d’annoncer que les candidatures pour ses programmes d’entrepreneuriat 2025 sont désormais ouvertes. Les entrepreneurs en herbe et existants de toute l’Afrique sont invités à postuler pour avoir la chance de recevoir une formation de classe mondiale, un mentorat d’experts et un financement de démarrage non remboursable pour développer leurs entreprises. Anglais, Portugais, arabe Programmes ouverts aux candidatures : 1. Programme d’entrepreneuriat de la Fondation Tony Elumelu (TEF) : le programme phare d’entrepreneuriat TEF est ouvert à tous les entrepreneurs à travers l’Afrique ayant des idées d’affaires innovantes ou des entreprises existantes datant de moins de cinq ans. Cette année, l’accent est mis sur les entreprises qui tirent parti de l’intelligence artificielle (IA) et des initiatives vertes. Les candidats doivent être âgés d’au moins 18 ans. 2. Programme d’entrepreneuriat IYBA-WE4A : Lancé par la Fondation Tony Elumelu en partenariat avec l’Union européenne (UE) et la Deutsche Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), IYBA-WE4A soutient l’investissement en faveur des Jeunes Entreprises en Afrique – Entrepreneuriat Féminin pour l’Afrique et s’adresse exclusivement aux femmes entrepreneurs ayant des idées d’entreprises vertes ou des entreprises vertes existantes au Sénégal, en Tanzanie, en Ouganda, au Cameroun, au Kenya,  le Mozambique, le Malawi et le Togo. Les candidats doivent être âgés d’au moins 18 ans et les entreprises n’excédant pas cinq ans d’activité. Tendance The Tony Elumelu Foundation Opens Applications for 2025 Entrepreneurship Programmes 3. Programme d’entrepreneuriat Aguka : Le programme d’entrepreneuriat Aguka Ideation est un partenariat avec la Fondation Tony Elumelu, le PNUD Rwanda et le ministère rwandais de la Jeunesse et des Arts pour soutenir les jeunes entrepreneurs rwandais âgés de 18 à 30 ans avec des idées d’affaires avec un capital de démarrage de 3000 dollars, dans le but de nourrir et de développer des concepts innovants en entreprises viables. Détails de l’application: • Plateforme : Les candidatures doivent être soumises au travers du hub numérique exclusif de TEF, TEFConnect. • Période de présentation des candidatures : du 1er janvier 2025 au 1er mars 2025. Les candidats sont encouragés à remplir et à soumettre leur candidature bien avant la date limite. • Éligibilité : Ouvert aux entrepreneurs africains ayant des idées d’affaires évolutives ou aux entreprises existantes datant de moins de cinq ans. Les candidats doivent être âgés d’au moins 18 ans. Pour en savoir plus sur le travail de transformation de la Fondation Tony Elumelu et le succès de nos entrepreneurs africains. Explorez notre : – Rapport d’impact, qui met en lumière les réalisations et les contributions de la Fondation Tony Elumelu à la croissance économique de l’Afrique. – Histoires de réussite d’entrepreneurs africains, mettant en valeur les parcours inspirants de Tony Elumelu Entrepreneurs.  – Rapports annuels, offrant un aperçu des stratégies et des résultats de la Fondation Tony Elumelu. À PROPOS DE LA FONDATION TONY ELUMELU: La Fondation Tony Elumelu est la principale organisation philanthropique qui autonomise une nouvelle génération d’entrepreneurs africains, favorise l’éradication de la pauvreté, catalyse la création d’emplois dans les 54 pays africains et renforce l’autonomisation économique des femmes. Fondée en 2010, la Fondation Tony Elumelu s’engage à donner aux entrepreneurs africains les moyens d’agir en tant que catalyseur de la transformation économique du continent. By Tef Connect

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Agriculture technologiques au Mali : enjeux, défis et opportunités

L’agriculture occupe une place prépondérante dans l’économie malienne. Elle mobilise environ 80 % de la population et contribue à hauteur de 33 % du PIB. Cependant, ce secteur reste largement extensif, se limitant à une agriculture de subsistance. Celle-ci repose sur des outils traditionnels, notamment la traction animale et la force physique humaine. De plus, l’utilisation inefficace et anarchique des pesticides, ainsi que des méthodes d’irrigation rudimentaires, souvent peu exploitées, freinent considérablement son développement.  Avec plus de 43 millions d’hectares de Surface Agricole Utile (SAU), le Mali dispose d’un potentiel considérable. Cependant, pour exploiter pleinement ces ressources, il est indispensable d’engager une restructuration profonde du tissu économique et social, en investissant massivement dans les nouvelles technologies agricoles. Pour moderniser ce secteur vital, une véritable révolution verte à la malienne est nécessaire. Cela passe par l’introduction d’outils technologiques modernes tels que : La mécanisation : l’utilisation de machines performantes et adaptées aux spécificités des terres cultivées pour réduire le temps de travail et améliorer les rendements. L’irrigation localisée : Comme la micro-irrigation, pour une gestion optimisée des ressources en eau. L’agriculture de précision : basée sur l’analyse des données issues des capteurs installés sur les parcelles, afin d’ajuster les apports en nutriments en fonction des besoins réels des plantes, limitant ainsi le gaspillage et les perturbations écologiques. Les biotechnologies : la sélection et l’amélioration génétique des plantes contribuent à développer des variétés plus résistantes aux maladies, aux ravageurs ou aux conditions climatiques extrêmes, améliorant ainsi la productivité et la qualité des produits obtenus. La technologie agricole La technologie agricole, aussi appelée agtech, englobe une vaste gamme de disciplines et d’outils qui contribuent à améliorer la production agricole. La technologie inclut les véhicules, la robotique, les ordinateurs, les satellites, les drones, les appareils mobiles et les logiciels. L’usage de l’analyse des big data et de l’intelligence artificielle (IA) dans l’agriculture avancée illustre également comment le secteur agricole adopte les avancées technologiques. Avantages de la technologie dans l’agriculture L’intégration de technologies agricoles intelligentes offre de nombreux avantages pour l’ensemble des acteurs de la chaîne agroalimentaire. Grâce à l’automatisation et à l’optimisation des activités agricoles, les agriculteurs et les propriétaires fonciers peuvent économiser du temps et des efforts tout en augmentant leur productivité. Voici quelques exemples des bénéfices apportés par les avancées technologiques dans l’agriculture : Réduction des coûts de production : utilisation réduite d’eau, d’engrais, de pesticides et d’autres intrants, permettant de préserver une part plus importante des bénéfices pour les agriculteurs. Impact environnemental réduit : limitation du ruissellement des produits chimiques dans les cours d’eau, favorisant une agriculture durable. Augmentation des rendements : amélioration de la productivité tout en réduisant la dépendance à la main-d’œuvre. Meilleure communication et coordination : utilisation d’applications, d’appareils mobiles et de ressources en ligne pour connecter les agriculteurs, les agronomes et autres professionnels du secteur. Accès facilité aux services financiers : assurances agricoles, données commerciales et solutions technologiques à portée de main. Atténuation des risques agricoles : systèmes de surveillance permettant de prévenir les dommages causés par les parasites, les catastrophes naturelles ou les intempéries. Amélioration de la qualité des produits : renforcement des contrôles de qualité et augmentation des revenus. Détection précoce des carences nutritives : recommandations précises sur le type et la quantité d’engrais nécessaires. Anticipation des problèmes de production : visualisation des tendances grâce à l’analyse des données agricoles actuelles et historiques, permettant d’estimer les rendements, de mieux préparer les budgets et de faire face aux situations d’urgence. By Amadou SANOGO

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