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Le TDAH au travail : quand le trouble devient un défi… et une force

Le TDAH (Trouble du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité) est souvent associé à l’enfance, aux salles de classe et aux bulletins scolaires. Pourtant, il ne disparaît pas à l’âge adulte. Il évolue. Et lorsqu’il n’est pas reconnu ni compris, il peut devenir un vrai frein dans la vie professionnelle. Comprendre le TDAH chez l’adulte Le TDAH à l’âge adulte ne se manifeste pas toujours par une agitation physique visible. Chez beaucoup de professionnels, il prend des formes plus discrètes :• difficulté à se concentrer sur une tâche longue,• oubli des échéances ou des rendez-vous,• impulsivité dans la prise de décision,• fatigue mentale due à la surcharge cognitive,• et parfois, un sentiment d’échec permanent, malgré les efforts. Dans un monde du travail exigeant, structuré, et souvent rigide, ces symptômes peuvent être mal compris et interprétés à tort comme un manque de rigueur, de sérieux ou de motivation. Un cerveau différent Il est important de comprendre que les personnes avec un TDAH n’ont pas un déficit d’intelligence ou de compétences. Bien au contraire. Elles ont souvent :• une pensée rapide et intuitive,• une grande créativité,• une capacité à trouver des solutions originales,• et une énergie débordante… quand elles sont motivées. Mais leur difficulté, c’est la régulation de l’attention. Le cerveau ne filtre pas bien les distractions, ce qui complique les tâches répétitives ou les environnements trop bruyants. Le TDAH au bureau : des défis concrets Au quotidien, cela peut se traduire par :• Des projets commencés, mais jamais terminés,• Un bureau toujours en désordre,• Des retards fréquents,• Des réunions pénibles où l’attention s’évapore après 10 minutes,• Une sensation de stress ou d’épuisement constante. Pour la personne concernée, cela crée souvent un cercle vicieux : plus elle essaie de “forcer”, plus elle s’épuise, plus elle culpabilise. Des solutions existent Le premier pas est le diagnostic. Beaucoup d’adultes découvrent leur TDAH à 30, 40 ou même 50 ans. Comprendre ce fonctionnement neurologique différent permet de se libérer de la culpabilité… et d’adapter son environnement. Voici quelques aménagements simples mais efficaces :• Travailler par courtes sessions avec des pauses régulières,• Utiliser des outils de gestion du temps (agendas numériques, minuteurs, rappels),• Prioriser les tâches en les découpant en petites étapes claires,• Travailler dans un espace calme, ou avec un casque anti-bruit,• Être transparent avec ses collègues ou managers (quand le climat le permet). Et surtout : accepter de ne pas fonctionner “comme les autres”. Ce n’est pas un défaut, c’est un fonctionnement différent. Le TDAH, aussi une force au travail Il ne faut pas oublier que le TDAH, bien compris et bien géré, peut être un atout professionnel. De nombreuses personnes concernées excellent dans des métiers créatifs, d’urgence, de terrain ou d’innovation. Là où il faut agir vite, improviser, s’adapter, créer… elles brillent. Parmi les figures célèbres suspectées ou connues pour vivre avec le TDAH : des entrepreneurs, des artistes, des inventeurs, des journalistes… Ce n’est pas une limite, c’est une particularité. Le TDAH dans le milieu professionnel est un sujet sérieux, mais plein d’espoir. Avec les bons outils, la bonne information et un minimum de bienveillance, le travail peut redevenir un lieu d’épanouissement pour toutes les personnes concernées. Parce qu’au fond, la différence ne nuit pas à la performance… à condition de la comprendre.

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Brisé par le feu, élevé par la volonté : du chaos à la lumière, l’incroyable renaissance de W. Mitchell, l’homme qui a tout perdu pour tout gagner.

Une histoire vraie de courage et de renaissance Il roulait à vive allure, à 120 km/h sur l’autoroute, libre comme le vent sur sa moto 🏍️, lorsque tout a basculé. Un instant d’inattention, un simple regard sur le bas-côté, et le destin a frappé. Quand il tourna à nouveau les yeux vers la route, il ne lui restait qu’une seconde pour réagir. Une seconde… presque rien. Et pourtant, c’était presque trop tard. Le poids lourd devant lui avait freiné brutalement, sans prévenir. Dans un réflexe désespéré, il tenta d’esquiver le choc. Sa moto glissa, raclant l’asphalte dans un vacarme effrayant, avant de s’encastrer sous le camion. Puis, le drame s’amplifia : le bouchon du réservoir sauta, l’essence se répandit… et s’enflamma. Il n’eut plus conscience de rien.La scène suivante, c’est un lit d’hôpital. Une douleur insupportable. Un corps figé. Une respiration difficile. Trois quarts de son corps carbonisés, brûlures au troisième degré. Le genre de blessures qui brisent une vie.Mais il n’a pas lâché. Pas lui. Il a refusé d’abandonner. La vie frappe encore… mais il reste debout Contre toute attente, il a recommencé à vivre, à travailler, à se reconstruire. Jusqu’au jour où, de nouveau, le sort s’est acharné : un accident d’avion. Et cette fois, le verdict est encore plus cruel : hémiplégique. Une moitié du corps paralysée. Et pourtant… il est toujours debout. Mentalement. Moralement. Vitalement. W. Mitchell : un nom, une leçon de vie Cet homme, c’est W. Mitchell. Aujourd’hui coach, conférencier motivateur, entrepreneur à succès… et véritable légende vivante.À plus de 80 ans, il vit dans le Colorado, entouré d’amour, de respect, et d’une force intérieure presque surhumaine.Malgré ses cicatrices visibles, malgré la douleur permanente, il a connu plus de succès, de bonheur et d’amour que la plupart d’entre nous oseraient rêver.Il a noué des relations avec les personnalités les plus influentes des États-Unis.Il est devenu millionnaire grâce à ses affaires.Il s’est présenté au Congrès, avec un slogan devenu mythique : « Élisez-moi, ça vous changera de tous ces visages angéliques. » Et ce n’est pas tout. Il a aussi eu une relation profonde et extraordinaire avec une femme formidable. Il a même mené une campagne pour devenir vice-gouverneur du Colorado. Avec le sourire. La grande leçon W. Mitchell aurait pu se considérer comme maudit. Mais il a choisi une autre voie : celle de la résilience, du courage, et de la victoire sur soi.Il est la preuve vivante que même les pires tragédies peuvent devenir le tremplin d’une grandeur inespérée. Alors toi qui lis ces lignes… Peu importe ce que tu traverses. Peu importe à quel point la vie semble injuste.Rappelle-toi cette vérité : tu es plus fort que tu ne le crois.Et parfois, la douleur est le début d’un tout nouveau chapitre. dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikidjo #WILIKIJO WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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La santé menstruelle pour toutes : So’Intim révolutionne l’hygiène féminine avec des solutions innovantes et durables

So’Intim : Une révolution menstruelle Made in MaliUne culotte menstruelle bio, naturelle, et solidaire, née au cœur du Mali. So’Intim, c’est bien plus qu’une simple marque de culottes menstruelles. C’est l’histoire d’une initiative sociale et entrepreneuriale qui a vu le jour après plus de trois années de recherches, de formations et d’engagement passionné. Fondée par Madame Royale Anne KODIO, So’Intim propose des culottes menstruelles bio, naturelles, efficaces et confortables, pensées pour le corps des femmes, mais aussi pour leur dignité et leur bien-être. Tout commence dans le village de Tianfala, non loin de Bamako. Lors d’une initiative communautaire, Royale échange avec des jeunes filles du village. Ces conversations révèlent une réalité bouleversante : beaucoup d’entre elles doivent choisir entre se nourrir et acheter des culottes ou des protections hygiéniques. Certaines n’ont même pas de sous-vêtements au quotidien et utilisent des morceaux de tissu ou de plastique pendant leurs règles, au risque de graves infections. « Pour nous qui habitons en ville, il est difficile d’imaginer une telle situation », confie Royale. Face à cette précarité menstruelle extrême, elle décide d’agir. Elle organise une première campagne de sensibilisation avec distribution de kits menstruels durables. Mais un problème subsiste : les kits contiennent des serviettes lavables… sans culottes pour les maintenir. C’est alors que germe une idée révolutionnaire : concevoir des culottes menstruelles adaptées, accessibles et durables. Une innovation utile, féminine et écologique De cette volonté naît So’Intim, une marque qui allie innovation, responsabilité écologique et engagement social. Les culottes menstruelles So’Intim sont ultra fines, discrètes, doublées en coton bio tout doux, sans odeur ni fuite. Elles offrent jusqu’à 8 à 12 heures de protection, et sont adaptées aussi bien pour les menstruations que pour les fuites urinaires. Confortables, lavables et réutilisables, elles s’inscrivent dans une démarche zéro déchet. Et surtout, elles sont fabriquées localement au Mali, créant de l’emploi et valorisant le savoir-faire local. Une mission sociale au cœur de l’entreprise Chez So’Intim, on croit que chaque femme mérite une hygiène menstruelle de qualité, respectueuse de son corps et de l’environnement. La mission de l’entreprise va bien au-delà de la vente de produits : elle vise à briser les tabous, éduquer et offrir des solutions accessibles à toutes les femmes, quel que soit leur milieu. Chaque culotte vendue permet de financer la confection d’une autre, qui sera offerte à une femme ou une jeune fille en situation précaire. Un modèle solidaire et circulaire, où chaque cliente devient actrice du changement. Pourquoi l’hygiène menstruelle est-elle un enjeu fondamental ? Les règles concernent près de la moitié de l’humanité, mais restent encore taboues dans de nombreuses cultures. Trop souvent, les femmes sont confrontées à des douleurs, du rejet, du silence, voire de l’exclusion sociale, simplement parce qu’elles ont leurs règles. So’Intim milite pour une meilleure éducation menstruelle. L’entreprise organise des ateliers de sensibilisation, des campagnes éducatives et des rencontres communautaires pour expliquer le cycle menstruel, parler du corps féminin sans honte, et offrir des solutions pratiques et durables. Les engagements de So’Intim Témoignages de changement « Grâce à So’Intim, j’ai découvert une nouvelle façon de vivre mes règles. Plus de gêne, plus de déchets, juste du confort et de la liberté. » – Aïcha, 28 ans « Les ateliers de sensibilisation de So’Intim ont changé ma vie. J’ai enfin compris mon corps et je me sens plus forte. » – Fatoumata, 19 ans So’Intim aujourd’hui : une marque, un mouvement So’Intim ne se contente pas de créer des produits, elle porte une vision. Une vision d’un monde où les règles ne sont plus un fardeau, mais simplement une part de la vie. Où les jeunes filles peuvent aller à l’école même pendant leurs menstruations. Où les femmes, peu importe leur situation, peuvent vivre cette période en toute sécurité, dignité et confiance. Rejoignez la révolution menstruelle au Mali et au-delà. Découvrez la collection, informez-vous, et soutenez une initiative 100 % MADE IN MALI, engagée pour les femmes, pour l’environnement et pour l’avenir. www.sointim.ml HygièneMenstruelle #MadeInMali #RévolutionFéminine #BienÊtre #Wilikijo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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La longévité : un plan bien établi ou le fruit du hasard ? Certaines personnes, selon leur groupe sanguin, vieilliraient plus lentement que d’autres ???

Le groupe sanguin peut-il influencer notre longévité ? Une récente étude japonaise relance le débat sur le lien entre biologie et vieillissement. Alors que la génétique et l’hygiène de vie sont largement reconnues comme des piliers de la longévité, certains chercheurs s’intéressent désormais à une variable souvent négligée : le groupe sanguin. Un indicateur de compatibilité… mais pas seulement Le groupe sanguin est déterminé par la présence ou l’absence de certains antigènes à la surface des globules rouges. Bien connu pour son rôle dans les transfusions sanguines, les greffes d’organes ou encore le suivi de grossesse, ce marqueur biologique pourrait bien cacher d’autres secrets. Depuis quelques années, les scientifiques s’intéressent à l’éventuelle influence des groupes sanguins sur divers aspects de la santé : susceptibilité aux infections, risques cardiovasculaires, digestion, et même espérance de vie. Une étude japonaise apporte aujourd’hui un nouvel éclairage sur cette dernière hypothèse. Le groupe B : un facteur de longévité ? Des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université Keio à Tokyo ont analysé les groupes sanguins de 269 centenaires âgés de 100 à 109 ans, comparés à plus de 7 000 témoins de tous âges résidant également dans la région de Tokyo. Leur conclusion : les individus du groupe sanguin B sont proportionnellement plus nombreux parmi les centenaires. Ce constat statistique a de quoi intriguer. Pourquoi les personnes du groupe B vivraient-elles plus longtemps ? L’étude ne tranche pas. Elle n’établit pas de lien de causalité, mais soulève une corrélation intéressante, potentiellement révélatrice d’un facteur biologique encore mal compris. Le groupe B serait-il le secret d’une vie longue et en bonne santé ? Pas si vite. Une interprétation prudente Pour le Dr Christophe de Jaeger, gérontologue et spécialiste du vieillissement, il faut faire preuve de prudence. “Les chercheurs japonais ont simplement observé qu’il y avait une surreprésentation du groupe sanguin B parmi les centenaires”, explique-t-il. Cela ne signifie pas que ce groupe ralentit le vieillissement. Il pourrait tout aussi bien s’agir d’un épiphénomène, autrement dit d’un hasard statistique sans signification biologique profonde. Il rappelle également que de nombreux autres facteurs — environnement, alimentation, activité physique, prédispositions génétiques — ont un impact bien plus démontré sur la longévité. Et si le vrai candidat était le groupe O ? Paradoxalement, le groupe sanguin O attire aussi l’attention des scientifiques. Ce groupe présente une particularité génétique liée au facteur de Von Willebrand, un composant essentiel de la coagulation sanguine. Certaines personnes du groupe O souffrent d’un déficit important de ce facteur, les exposant à des risques hémorragiques. Mais chez d’autres, le déficit est minime et produit un léger effet anticoagulant naturel. Ce détail n’est pas anodin : les maladies cardiovasculaires étant la première cause de mortalité dans le monde, cet effet antiagrégant pourrait avoir un rôle protecteur, prolongeant la vie en limitant les risques d’accidents cardiovasculaires. Ce que dit (et ne dit pas) la science Pour l’instant, aucune étude ne permet d’affirmer avec certitude que tel ou tel groupe sanguin influence directement le processus de vieillissement. Les données disponibles suggèrent des pistes de recherche, mais en aucun cas des certitudes. Ce que l’on peut affirmer en revanche, c’est que la longévité ne dépend jamais d’un seul facteur. Être du groupe B n’est pas un passeport pour vivre centenaire. Il s’agit d’une pièce de plus dans le vaste puzzle de la biologie humaine, et certainement pas de la clé unique de la longévité. Votre groupe sanguin pourrait, dans une certaine mesure, influencer votre espérance de vie, mais il reste loin derrière les piliers éprouvés que sont une alimentation équilibrée, l’activité physique, une bonne hygiène de vie, et un environnement sain. La génétique a son mot à dire, bien sûr — mais le vieillissement est un phénomène complexe, multifactoriel, et encore largement mystérieux. Quant au groupe B, il n’est peut-être pas le secret de la jeunesse éternelle… mais il mérite d’être étudié de plus près. #Santé #Génétique #Wilikijo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Grandir avec un parent rabaissant : Ces 8 habitudes que l’on traîne souvent à l’âge adulte

L’enfance façonne bien plus que nos souvenirs. Elle façonne aussi notre estime, nos comportements, notre manière de penser… et surtout, la relation que l’on entretient avec soi-même. Grandir avec un parent rabaissant, c’est évoluer dans un environnement où l’amour est conditionnel, les compliments rares, et les critiques constantes. C’est apprendre, dès le plus jeune âge, à douter de soi, à marcher sur des œufs, et à tenter, encore et encore, de mériter une approbation qui semble toujours hors de portée. Les mots répétés deviennent des croyances. Les regards dédaigneux s’impriment comme des vérités. Et même une fois adulte, loin de ce foyer toxique, ces traces du passé continuent de guider nos choix, nos réactions, nos émotions. Beaucoup de personnes ayant grandi dans un tel contexte développent, sans même s’en rendre compte, des mécanismes d’adaptation profondément enracinés. Certains peuvent sembler anodins. D’autres sont douloureusement limitants. Voici huit habitudes que l’on retrouve fréquemment chez les adultes qui ont été rabaissés par un parent durant leur enfance. 1. Le doute de soi permanent : se remettre en question sans cesse Quand un parent critique plus qu’il n’encourage, l’enfant finit par douter de sa propre valeur. Les phrases comme « Ce n’est pas assez » ou « Pourquoi tu n’es pas comme… » s’ancrent profondément. Résultat : même adulte, chaque décision devient un terrain miné. On réfléchit trop, on anticipe l’échec, on cherche l’approbation des autres comme un phare dans le brouillard. Ce n’est pas qu’on ne sait pas quoi faire, c’est juste qu’on n’a jamais appris à faire confiance à son propre jugement. 2. S’excuser constamment, même sans raison C’est un automatisme presque invisible, jusqu’à ce qu’un proche vous le fasse remarquer. On s’excuse quand on dérange, quand on pose une question, même quand quelqu’un nous bouscule. Pourquoi ? Parce que, enfant, on vous a peut-être fait sentir que votre simple présence était une gêne. Alors on s’excuse, pour prévenir le conflit, pour éviter de déranger, pour tenter de mériter sa place. Mais poser la simple question : « Ai-je vraiment fait quelque chose de mal ? » peut déjà enclencher le processus de guérison. 3. Être mal à l’aise face aux compliments Recevoir un compliment devrait être agréable. Mais pour ceux qui ont grandi dans la critique, cela peut déclencher de la méfiance, de l’inconfort, voire un rejet. On minimise : « Oh, ce n’est rien. »On doute : « Il/elle ne le pense pas vraiment. »On détourne l’attention. Pourquoi ? Parce qu’on a rarement entendu de paroles valorisantes. Le cerveau, entraîné à retenir le négatif, peine à intégrer la gentillesse. Mais bonne nouvelle : ce réflexe peut se désapprendre. 4. Se sentir responsable des émotions des autres Un parent instable ou accusateur peut faire croire à un enfant que les émotions des adultes sont de sa faute. Un froncement de sourcil devient une alarme. Une remarque acerbe devient une condamnation. En grandissant, cela se traduit par un besoin irrépressible de plaire, une peur panique de décevoir, et une culpabilité constante quand l’autre va mal — même sans lien direct. Ce n’est pas une faiblesse : c’est une stratégie de survie apprise trop tôt. 5. Une voix intérieure implacable Le parent rabaissant ne disparaît jamais tout à fait : il s’installe dans la tête de l’enfant devenu adulte. Il devient cette voix intérieure qui juge, critique, rabaisse… en continu. « Tu es nul. »« Tu as encore tout gâché. »« C’est sûrement de ta faute. » Ce dialogue intérieur n’est pas inné. Il est transmis, appris, intégré. Et il peut être désappris. La première étape ? En prendre conscience. Et se demander : « Dirais-je cela à mon meilleur ami ? » Si la réponse est non, alors il est temps de rééduquer cette voix. 6. Refuser l’aide, même quand on en a besoin Demander de l’aide, pour certains, est synonyme de faiblesse ou d’humiliation. Parce que, dans leur enfance, les rares fois où ils ont demandé du soutien, ils ont reçu des reproches en retour. Ou pire : un rappel de leur incompétence. Alors ils apprennent à se débrouiller seuls. À ne rien demander. À porter tout, tout le temps. Jusqu’à l’épuisement. Mais l’indépendance n’est pas incompatible avec la vulnérabilité. Accepter l’aide, ce n’est pas se soumettre : c’est s’autoriser à respirer. 7. Trop s’expliquer, tout justifier Dire non, poser une limite, faire un choix simple ? Pas si simple quand on a grandi dans un climat de jugement constant. Alors on explique. On justifie. On se justifie encore. « Je ne peux pas venir parce que… »« Je sais que ça peut paraître bête mais… »« C’est juste que… » Tout cela découle de l’idée qu’on doit toujours prouver qu’on a le droit d’exister, de décider, d’avoir ses besoins. Pourtant, un simple non est une réponse complète. Vous n’avez pas besoin d’un dossier pour légitimer vos choix. 8. Croire que sa valeur dépend de ses réussites Lorsque l’amour parental n’est accordé qu’en échange de performances, l’enfant apprend que pour être aimé, il faut réussir. Avoir de bonnes notes, être utile, se dépasser… toujours. Cette mentalité suit à l’âge adulte : on court après les objectifs, on cherche à être productif, on enchaîne les victoires… sans jamais se sentir suffisant. Parce que, dans le fond, on a associé valeur personnelle et accomplissements. Mais vous n’êtes pas vos succès. Vous n’êtes pas ce que vous produisez. Vous avez de la valeur, même dans l’échec, même dans le repos. Reprendre le pouvoir sur son histoire Reconnaître ces habitudes n’est pas un aveu de faiblesse. C’est un acte de lucidité. Et c’est le premier pas vers la guérison. Il n’est jamais trop tard pour se libérer des chaînes invisibles de l’enfance. Il n’est jamais trop tard pour remettre en question une croyance, pour se parler avec douceur, pour accepter un compliment sans crainte, pour poser ses limites sans culpabilité. La psychologue Lisa Firestone l’exprime avec justesse :« Nous n’avons peut-être pas eu le choix de la manière dont nous avons été blessés, mais

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7 façons simples de renforcer votre système immunitaire

L’exposition quotidienne aux germes est aussi naturelle que les changements qui nous entourent. De la COVID-19 au rhume, tout est complexe, que vous attrapiez ou échappiez à un microbe. Des actions apparemment ordinaires peuvent contribuer à votre immunité ou à son absence, et passent souvent inaperçues. Cela inclut le rythme naturel du jour et de la nuit. « Se réveiller avec la lumière du soleil, rester actif, manger pendant la journée et dormir quand il fait sombre sont autant de facteurs qui soutiennent vos cellules immunitaires », explique le médecin spécialiste en médecine intégrative, Malathi Acharya . Elle note que des activités comme « rester éveillé tard dans la nuit, manger de gros repas après la tombée de la nuit et dormir tard le matin » peuvent perturber votre système immunitaire et vous rendre plus vulnérable aux infections. Voici sept façons de préserver la résilience de votre système immunitaire pendant la saison du rhume et de la grippe, et à tout autre moment de l’année : Remarque : ceci ne constitue pas un avis médical. Consultez toujours votre médecin pour vous assurer que tous les remèdes et exercices naturels sont sans danger pour vous. Les aliments ultra-transformés et le sucre sont des déclencheurs d’inflammation, dit-elle. Les aliments ultra-transformés ont généralement des listes d’ingrédients exhaustives sur leurs étiquettes, dont la plupart sont des produits chimiques. Gardez à l’esprit qu’être transformé ne signifie pas automatiquement être mauvais pour la santé. Tout aliment qui n’est pas dans son état d’origine est transformé, y compris les choix sains comme l’huile d’olive, le lait d’avoine et le pain complet. Ceux-ci sont peu transformés et ne contiennent que quelques ingrédients répertoriés. Tenez-vous-en aux aliments entiers et à autant d’options peu transformées que possible. Offre d’abonnement SUCCESS+ Même les petits mouvements physiques se complètent les uns les autres, ce qui fait une différence notable pour votre santé. Dans Quench , Cohen écrit que les micro-mouvements permettent à vos cellules de bouger efficacement plutôt que de vous endormir. Des mouvements simples comme étirer votre menton au-dessus de votre épaule lorsque vous êtes au téléphone, ou des cercles doux autour de la cheville, sont des exemples tirés du livre. Cohen suggère également de faire des torsions pour hydrater les tissus. « Au réveil, commencez par les orteils et remontez progressivement, pliez et fléchissez toutes les articulations et faites tourner ce qui peut l’être : la colonne vertébrale, les chevilles, les poignets. » Elle suggère également de consommer 30 plantes différentes chaque semaine. « Les plantes contiennent des substances puissantes (les polyphénols) qui peuvent réellement aider notre corps à guérir et à s’épanouir », dit-elle. L’autohypnose peut être un moyen d’améliorer votre fonction immunitaire, explique Acharya. « C’est une expérience intérieure de conscience focalisée qui permet à votre esprit et à votre corps d’accepter et de partager vos intentions, vos croyances et vos attentes comme étant vraies. Combiner l’autohypnose avec des affirmations positives la rend encore plus puissante », note-t-elle. Pour pratiquer, asseyez-vous ou allongez-vous dans un endroit calme et fermez les yeux. Prenez ensuite de profondes respirations apaisantes pour guider votre esprit vers un état de concentration plus profond . Une fois que vous avez atteint un état détendu et suggestif, Acharya vous conseille de « répéter des affirmations positives telles que : « Chaque cellule de mon corps travaille pour me protéger et me guérir », « Mon système immunitaire se renforce chaque jour » ou « Mon corps a la capacité et la sagesse innées de se protéger et de se guérir lui-même ». Elle suggère de s’exposer au soleil 10 à 15 minutes par jour. Le port d’une crème solaire n’inhibe pas la production de vitamine D. Vous pouvez également consommer des aliments riches en vitamine D, comme le saumon, les sardines, les jaunes d’œufs, les viandes (surtout le foie) et les champignons. « Les champignons font partie du règne fongique et, comme les humains, lorsqu’ils sont exposés au soleil ou aux rayons ultraviolets, ils génèrent de la vitamine D », explique-t-elle. Pour se protéger du rhume et de la grippe, Melamed préfère le bouillon d’os. « Le bouillon d’os est riche en minéraux et en acides aminés… Il est riche en gélatine et en collagène qui aident à restaurer la muqueuse intestinale et à réduire les fuites intestinales », dit-elle. L’herbe préférée d’Acharya pendant la saison du rhume et de la grippe est le sureau noir. « Il a des propriétés antivirales et antioxydantes et aide à réduire la durée et la gravité de la grippe et d’autres infections virales des voies respiratoires supérieures », dit-elle. « Vous pouvez le déguster en infusion (thé) ou en sirop. » Si vous préférez le thé, elle suggère d’ajouter de la racine de gingembre pour sa chaleur et son effet anti-inflammatoire. En cas de rhume, elle recommande d’ajouter de l’eucalyptus pour ses effets décongestionnants. Aider votre système immunitaire à rester en bonne santé n’est pas une solution miracle. Il faut être conscient de la façon dont les différentes parties de votre corps travaillent ensemble pour créer un équilibre. Gardez à l’esprit l’image globale du bien-être, y compris l’alimentation, l’exercice et les niveaux de stress par rapport à l’immunité. Choisissez une nouvelle habitude à cultiver dans chaque domaine et observez comment vous vous sentez. Amusez-vous à expérimenter en ajoutant de nouvelles habitudes dans le but d’améliorer la capacité de votre corps à se sentir bien. Photographie de My Ocean Production/Shutterstock.com By succes WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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La FDA interdit l’utilisation du colorant rouge 3 dans les aliments, les boissons et les médicaments

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a annoncé l’ interdiction nationale du Red 3 , un colorant synthétique lié au cancer dans les études animales. Cette décision marque une étape importante pour les groupes de défense des consommateurs et les législateurs qui réclament depuis longtemps une réglementation plus stricte sur les additifs alimentaires. Qu’est-ce que Red 3 ? Le rouge 3, également connu sous le nom de FD&C Red No. 3 ou érythrosine, est un colorant synthétique dérivé du pétrole approuvé pour une utilisation dans les produits alimentaires depuis 1907. Il est largement reconnu pour sa teinte rouge cerise vive et se trouve le plus souvent dans des articles comme les bonbons et les glaçages. Le colorant est un élément essentiel de l’industrie alimentaire et des boissons depuis plus d’un siècle, grâce à sa capacité à améliorer l’ attrait visuel de divers produits. Malgré son utilisation de longue date dans l’industrie, le colorant Red 3 fait l’objet d’une attention particulière depuis les années 1980, lorsque des chercheurs ont établi un lien entre ce colorant et le cancer chez les animaux de laboratoire. En réponse à leurs découvertes, le colorant a été interdit ou fortement restreint dans plusieurs pays, dont l’Union européenne, l’Australie et le Japon, selon NBC News . Quels produits alimentaires contiennent du Rouge 3 ? Le colorant Red 3 est un ingrédient répandu dans des milliers de produits de consommation aux États-Unis. Le Center for Science in the Public Interest (CSPI) a demandé à la FDA en 2022 d’interdire le colorant, qui, selon l’ USDA FoodData Central, est utilisé dans plus de 9 000 produits alimentaires de marque aux États-Unis. Il s’agit notamment de certains produits de marques de bonbons populaires comme Jelly Belly, Pez et Trolli, ainsi que de boissons telles que Hawaiian Punch et Kool-Aid . D’autres produits alimentaires contiendraient également ce colorant, notamment des desserts avec des paillettes rouges, comme les cupcakes de la Saint-Valentin de Target , et certains types de glaçage, comme les biscuits au sucre en forme de cœur à fraîcheur garantie de Walmart . D’autres exemples incluent l’enveloppe des bâtonnets de bœuf dans les snacks au bœuf et au cheddar de Jack Link et le riz jaune de Vigo, entre autres. De plus, le colorant est utilisé dans certaines cerises au marasquin et dans des friandises à base de produits laitiers comme la boisson à la fraise Yoo-hoo et des desserts glacés comme les Nerds Bomb Pops. Il peut également être un composant de certains médicaments et compléments alimentaires, comme certaines vitamines gélifiées et des sirops contre la toux. Pourquoi la FDA a-t-elle interdit le colorant ? La décision de la FDA d’interdire le Red 3 est le fruit de preuves de longue date de ses risques potentiels pour la santé. En vertu de la clause Delaney de la loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques, la FDA est tenue d’interdire tout additif reconnu comme cancérigène chez l’homme ou l’animal. Au moins une étude a révélé que des doses élevées du composé contenu dans le Red 3 provoquaient des tumeurs chez des rats de laboratoire mâles, ce qui a motivé son interdiction précédente dans l’industrie cosmétique en 1990. Malgré cela, le colorant est resté légal dans les aliments et les médicaments aux États-Unis, une incohérence réglementaire qui a longtemps suscité des critiques de la part des défenseurs de la santé. Par conséquent, la récente décision de la FDA d’interdire complètement le colorant est un grand triomphe pour les groupes alimentaires et de santé qui ont plaidé en faveur de son interdiction. « La FDA met enfin fin au paradoxe réglementaire selon lequel le Red 3 est illégal dans le rouge à lèvres mais parfaitement légal dans l’alimentation des enfants sous forme de bonbons », a déclaré le président du CSPI, Peter Lurie, MD, via NBC News après l’annonce de la FDA. Existe-t-il des preuves que le colorant provoque le cancer chez l’homme ? Bien que des études sur les animaux aient montré un lien entre le colorant Red 3 et le cancer, les preuves de sa cancérogénicité chez l’homme sont moins concluantes. Les études qui ont motivé la décision de la FDA impliquaient l’exposition de rats de laboratoire mâles à de fortes doses de colorant, ce qui a conduit au développement de tumeurs. Cependant, il est difficile de traduire ces résultats en risques pour l’homme en raison des différences de métabolisme et de niveaux d’exposition. L’absence de preuves concrètes sur les humains a alimenté le débat sur l’interdiction, certains groupes industriels remettant en question sa nécessité. Malgré cela, de nombreux experts de la santé et groupes de défense considèrent l’interdiction comme une mesure de précaution visant à protéger la santé publique. Même si les fabricants de produits alimentaires peuvent encore contester la légalité de leurs produits, cette interdiction signale une évolution croissante vers des pratiques alimentaires plus sûres et plus transparentes aux États-Unis. Comment la FDA va-t-elle mettre en œuvre l’interdiction ? La FDA a donné aux fabricants de produits alimentaires jusqu’en janvier 2027 pour éliminer progressivement le colorant de leurs produits. En revanche, les fabricants de médicaments ont une année supplémentaire pour se conformer à l’interdiction. Dernièrement, plusieurs entreprises ont commencé à se tourner vers des alternatives naturelles. Par exemple, Abbott, le fabricant de PediaSure, a déjà retiré le composé de ses produits, tandis que Dole l’a éliminé de ses coupes de fruits en 2023. Au lieu du Red 3, les fabricants se sont tournés vers des substituts plus naturels comme le jus de betterave, les pigments de chou rouge et le carmin, une substance colorante dérivée des insectes. Photo reproduite avec l’aimable autorisation de Karynf/Shutterstock By Succes  #Wilikijo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Le sport dans la vie d’un entrepreneur

Le sport joue un rôle essentiel dans la vie d’un entrepreneur, et son importance ne peut être sous-estimée. Dans un monde où la compétitivité et le stress sont omniprésents, intégrer une routine sportive peut transformer non seulement la santé physique, mais aussi la performance professionnelle. Tout d’abord, l’activité physique est un excellent moyen de gérer le stress. Les entrepreneurs sont souvent confrontés à des défis quotidiens qui peuvent engendrer une pression considérable. Pratiquer un sport permet d’évacuer les tensions accumulées, de libérer des endorphines, souvent appelées les hormones du bonheur, et d’améliorer l’humeur. Cela conduit à une meilleure clarté mentale, essentielle pour prendre des décisions stratégiques et créatives. Ensuite, le sport favorise la discipline et la persévérance, deux qualités indispensables pour réussir en affaires. S’engager dans une activité sportive nécessite une routine, une planification et un engagement à long terme. Ces mêmes principes s’appliquent à l’entrepreneuriat. Les entrepreneurs qui adoptent une mentalité sportive apprennent à fixer des objectifs, à surmonter des obstacles et à célébrer leurs succès, qu’ils soient petits ou grands. Cette mentalité peut être extrêmement motivante et inspirante, tant pour soi que pour les équipes qu’ils dirigent. De plus, le sport offre des opportunités de réseautage. Participer à des événements sportifs ou à des clubs de fitness permet de rencontrer d’autres professionnels, d’échanger des idées et de créer des partenariats. Le réseautage est un aspect crucial de l’entrepreneuriat, et le sport peut servir de plateforme pour établir des connexions authentiques dans un cadre moins formel. Enfin, maintenir une bonne condition physique contribue à une meilleure santé globale, ce qui est vital pour un entrepreneur. Une santé optimale se traduit par plus d’énergie, une meilleure concentration et une résistance accrue aux maladies. Cela permet de rester productif et de faire face aux exigences d’une vie professionnelle intense. En somme, le sport est bien plus qu’une simple activité physique pour un entrepreneur. C’est un outil puissant qui favorise la gestion du stress, développe la discipline, crée des opportunités de réseautage et soutient la santé globale. En intégrant le sport dans leur quotidien, les entrepreneurs peuvent non seulement améliorer leur bien-être personnel, mais aussi renforcer leur capacité à réussir dans le monde des affaires. La clé réside dans la constance et l’engagement, et chaque pas sur le chemin sportif est un pas vers une vie entrepreneuriale plus épanouissante et réussie. WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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