Titre Acc Sec1

Le pagne soninké, connu sous le nom de Misseli yiramé, est bien plus qu’un simple tissu. Il incarne l’identité, les traditions et la transmission culturelle du peuple soninké, une communauté riche en histoire et en valeurs. Porté avec fierté, ce pagne raconte des histoires, célèbre des rites et affirme une appartenance. Un symbole de statut et d’identité Chez les Soninkés, le Misseli yiramé est bien plus qu’un vêtement. Il est étroitement lié au statut social, aux mariages et aux cérémonies importantes. Les motifs et les couleurs choisis ne sont pas anodins : ils reflètent la maturité, la féminité et l’appartenance à une lignée spécifique. Chaque détail a une signification, faisant du pagne un véritable langage visuel. Un héritage précieux transmis de génération en génération Le Misseli yiramé est souvent offert lors de mariages ou d’autres rites de passage, symbolisant la transmission des valeurs familiales et culturelles. De mère en fille, ce pagne se charge d’histoires et de souvenirs, devenant un trésor familial. Il n’est pas rare de voir des pagnes conservés pendant des décennies, témoins silencieux des joies et des épreuves traversées par les générations précédentes. Une expression de féminité et de puissance Porter le Misseli yiramé, c’est afficher une élégance naturelle et une fierté ancestrale. Ce pagne met en valeur la beauté et la grâce des femmes soninkées, tout en symbolisant leur force intérieure. La manière dont il est drapé, les couleurs choisies et la posture qu’il inspire renforcent la dignité et la confiance en soi de celles qui le portent. Un pont entre tradition et modernité Aujourd’hui, le Misseli yiramé inspire également les artistes contemporains, comme en témoignent les créations mêlant techniques modernes et motifs traditionnels. Ces œuvres, partagées sous les hashtags #artcontemporainafricain et #culturemalienne, montrent comment ce patrimoine culturel continue d’évoluer tout en restant ancré dans ses racines. En somme, le Misseli yiramé est bien plus qu’un tissu : c’est un emblème de résistance culturelle, un héritage vivant et une célébration de la femme soninkée. À travers lui, c’est toute une histoire qui se déploie, riche de sens et de beauté. #MisseliYiramé #CultureSoninké #PatrimoineAfricain #TraditionsVivantes

Alors que Steve Jobs voyait chaque minute comme un trésor à ne pas gaspiller, une nouvelle mentalité émerge parmi les plus jeunes : près de la moitié d’entre eux estiment qu’arriver avec dix minutes de retard n’en est même pas un. Une évolution qui aurait sans doute fait bondir le légendaire cofondateur d’Apple, lui qui n’hésitait pas à démarrer une réunion sans attendre les retardataires. Le temps, une notion relative selon les générations La perception du temps n’est pas universelle : elle évolue avec les époques et les cultures. Aujourd’hui, la génération Z remet en question les standards traditionnels de ponctualité. Une étude relayée par Fortune et reprise par Jeuxvideo.com révèle que 46 % des travailleurs de moins de 30 ans ne considèrent pas dix minutes de retard comme un véritable manquement. Une approche diamétralement opposée à celle de Steve Jobs, pour qui la ponctualité était sacrée. L’ancien PDG d’Apple, réputé pour son intransigeance en matière de gestion du temps, refusait catégoriquement d’attendre les retardataires en réunion. Pour lui, chaque minute perdue était une opportunité manquée. Il avait même instauré une journée sans réunions (sauf urgence absolue) et banni les présentations PowerPoint, jugées inefficaces. Steve Jobs vs. la flexibilité moderne : un clash des mentalités Un épisode raconté par Ed Catmull, ancien président de Pixar et Disney, illustre parfaitement cette philosophie. Lors des négociations avec Lucasfilm, le directeur financier de l’époque arrivait systématiquement en retard pour marquer son autorité. Mais Steve Jobs, inflexible, commençait les discussions sans lui, refusant toute concession sur le respect des horaires. Un comportement qui tranche radicalement avec la tendance actuelle. Selon l’étude de Fortune, seuls 39 % des millennials (31-44 ans) jugent inacceptable un retard de dix minutes, contre 20 % de la génération X (45-60 ans) et 70 % des baby-boomers, bien plus stricts sur le sujet. Flexibilité vs. productivité : quel équilibre ? Cette évolution reflète une tendance plus large : la recherche d’un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle. Les jeunes travailleurs privilégient désormais la flexibilité, quitte à bousculer les normes établies. Certains pourraient d’ailleurs rétorquer que l’extrême rigueur de Steve Jobs a eu un prix. Le visionnaire d’Apple est décédé en 2011 d’un cancer du pancréas, une maladie potentiellement aggravée par son mode de vie stressant et ses habitudes alimentaires strictes. Le temps a-t-il changé de valeur ? Si pour certains, la ponctualité reste une marque de respect et d’efficacité, pour d’autres, elle cède le pas devant la quête de bien-être et d’autonomie. Une chose est sûre : le débat entre rigueur et flexibilité est loin d’être clos, et chaque génération continuera de redéfinir sa relation avec le temps. Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.