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Et si le problème n’était pas la Génération Z, mais notre manière de la comprendre ?

By Coach Mariam Inna Méta-description (SEO) :La Génération Z bouscule le monde du travail. Faut-il les changer, ou changer notre manière de manager ? Découvrez pourquoi cette génération nous pousse à repenser nos valeurs, notre autorité et notre rapport à l’exigence. Une génération qui ne veut pas s’adapter à l’ancien monde On a longtemps cherché les clés pour “améliorer” les jeunes.On a voulu leur inculquer nos codes, nos réflexes professionnels, notre rapport au travail. Mais la vérité s’impose : ce n’est pas eux qu’il faut changer, c’est nous.Changer nos croyances, nos habitudes, notre façon de manager. Car accueillir cette génération, c’est aussi savoir poser des limites — et très rapidement.Ils ne demandent pas qu’on les comprenne, ils testent jusqu’où nous pouvons aller. A lire Aussi : De RH à Coach Le parcours de Coach Louise Traoré Guindo, une femme qui a choisi de remettre l’humain au centre Terrassez-les à l’argumentation La Génération Z ne croit plus à l’autorité hiérarchique.Pour eux, tout se discute, tout se justifie.Ils n’obéissent que s’ils sont convaincus. Le rapport de confiance automatique face à l’autorité n’existe plus.Et la raison est simple : ils sont envahis d’informations, ce qui leur donne facilement l’impression d’être des sachants. Même à la maison, il faut désormais expliquer ses décisions. C’est ainsi qu’on les mobilise. Face à eux, le manager doit être solide intellectuellement et techniquement, et le leur prouver.Les demi-mesures, les « parce que c’est comme ça », les ordres sans sens, ne passent plus. Ils veulent comprendre, sinon ils n’obéissent pas.Alors, tenez la joute. Expliquez vos choix, démontrez, structurez vos arguments. Et quand vous sentez qu’ils s’enferment dans la posture du “je sais tout”, confrontez-les :avec des faits, des conséquences, du réel. Imposez-vous par la clarté, pas par le ton.S’ils vous respectent, ils vous suivront.S’ils sentent du flou, ils vous testeront sans fin. Mettez-les au rendement Beaucoup d’entre eux parlent d’équilibre, de sens, de liberté.Mais derrière ces mots, il y a parfois un grand malentendu : le travail reste une école de responsabilité. Leur défi, c’est d’apprendre que la liberté sans effort devient paresse, et que la quête de sens sans engagement devient fuite. Oui, ils sont connectés, rapides, créatifs.Mais souvent, ils manquent de résilience, de patience et de lucidité sur leurs propres limites. Et c’est à nous, managers, de les aider à se regarder en face.Il faut des contrats à la tâche, au rendement, des objectifs clairs et mesurables. A lire Aussi : L’intelligence émotionnelle la compétence clé des managers leaders inspirants Une manière très claire de leur “mettre le nez dans le cambouis” en cas d’échec.C’est aussi la culture de leur époque : Action / Récompense. Rappelons-leur que tout n’est pas “toxique” dès que cela devient exigeant.Faisons-leur comprendre que le monde professionnel n’est pas un espace thérapeutique, mais un lieu d’apprentissage, de confrontation et de croissance. Soyons des miroirs exigeants, pas des mentors complaisants. Lâchez-les, car ils vous lâcheront — et sans état d’âme On ne retient pas ceux qui refusent l’effort.Et il faut parfois avoir le courage de le dire : certains ne veulent pas apprendre les règles de l’organisation. Si malgré vos explications, vos feedbacks et vos tentatives de sens, rien ne passe… lâchez.Car tôt ou tard, ce sont eux qui vous lâcheront : pour un poste “plus flexible”, un environnement “plus bienveillant”, ou simplement parce qu’ils s’ennuient. Ils n’ont pas le même rapport à la reconnaissance que nous.Alors, ne culpabilisez pas.Le taux de turnover explosera… c’est ainsi.On reverra nos moyennes générales. L’erreur serait de tout réinventer pour les garder.L’organisation doit s’adapter, mais eux aussi.La responsabilité doit être partagée : nous évoluons, mais ils doivent s’élever. Conclusion : l’exigence n’est pas un manque d’amour On peut accueillir la nouveauté sans renoncer à la rigueur.La Génération Z nous oblige à clarifier nos valeurs et à incarner ce que nous demandons. Mais elle doit, elle aussi, apprendre que l’exigence n’est pas un manque d’amour :c’est la condition même du respect mutuel. A lire Aussi : Le Coaching un métier, une science, une mission de vie À retenir À propos de Coach Mariam Inna Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Créer une Société au Mali et dans l’Espace OHADA : Ce qu’il Faut Savoir sur le Capital Social

Beaucoup abandonnent leur rêve d’entreprendre à cause d’un simple malentendu sur… le capital social.Vous souhaitez créer votre société ? Et vous vous demandez :« Combien dois-je bloquer pour pouvoir la créer ? » Stop. Respirez. On vous a mal expliqué les choses. La vérité (que peu de gens savent) Le capital social, ce n’est pas un argent bloqué, ni une somme versée à l’État, ni un « sacrifice » à fonds perdu. C’est votre argent, celui de votre société, que vous déposez temporairement à la banque.Et dès que votre RCCM est délivré, vous pouvez le retirer pour financer vos premières dépenses :• votre local,• votre matériel,• ou encore votre communication. Ce que dit la loi dans l’espace OHADA L’espace OHADA regroupe 17 pays, dont le Mali.Les 5 formes de sociétés reconnues sont : SARL, SAS, SA, SNC et SCS. À l’exception de la SA, le capital minimum est librement fixé par les associés. Autrement dit, vous pouvez créer une société même avec 10 000 F CFA. Mais attention : Un capital trop faible, c’est comme un costume mal taillé — il n’inspire pas confiance. Dans la pratique, il est conseillé de démarrer avec 500 000 à 1 000 000 F CFA.Pas pour faire joli, mais pour être crédible, respecté et attractif aux yeux des partenaires, clients et banques. Le capital social : une frontière entre vous et votre société Lorsque vous créez une société, vous séparez deux patrimoines distincts : Cela signifie que si votre entreprise rencontre des difficultés, vos biens personnels restent protégés (sauf faute de mauvaise gestion). C’est l’un des plus grands avantages juridiques de la création d’une société. Vous n’êtes plus confondu avec votre activité : vous devenez propriétaire d’une entité indépendante, avec sa propre identité légale. À retenir Créer une société, ce n’est pas juste remplir des formalités.C’est poser les bases d’une entreprise solide, crédible et protégée. À propos de l’auteur Je suis Ibrahim MANGASSOUBA, consultant comptable & fiscal.J’accompagne les entrepreneurs et porteurs de projets à :• Choisir la forme juridique adaptée à leurs activités (SARL, SAS, SA, etc.)• Fixer un capital stratégique et crédible• Comprendre les règles OHADA et la séparation patrimoniale pour créer des entreprises durables et performantes. Écrivez-moi dès maintenant pour un accompagnement gratuit et sur mesure :+223 83 77 92 14ibrahimmangassouba2020@gmail.com Ne laissez pas la peur du capital vous bloquer. Ce n’est pas l’argent qui fait l’entreprise, c’est la vision bien structurée. À venir : Société unipersonnelle vs Société pluripersonnelle dans l’espace OHADA — quelles différences ? Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Akim Soul (Ibrahim Guindo) : L’artisan d’une Afrique qui ose, crée et impacte

Dans l’effervescence créative de Bamako, un homme trace son sillon avec une conviction rare : celle que la mode, la culture et la communication peuvent transformer les destins. Ibrahim Guindo, plus connu sous le nom d’Akim Soul, n’est pas seulement un entrepreneur – il est un visionnaire, un rassembleur, et un bâtisseur. Du génie civil à l’ingénierie culturelle Si ses débuts académiques s’ancraient dans le génie civil, c’est dans le génie humain qu’Akim Soul a trouvé sa véritable vocation. Depuis 2017, il dirige AS Agency, une structure agile et audacieuse qu’il a fondée et qui fédère aujourd’hui des projets majeurs dans l’écosystème créatif malien et au-delà. Quand la passion devient legacy En huit ans, Akim Soul a su transformer une aspiration en une véritable architecture d’initiatives structurantes : le Mali Mode Show, le Forum de la mode et du design de Bamako, les Journées de la Création, ou encore Mali Mode Académie. Autant de plateformes qui professionnalisent, valorisent et révèlent les talents émergents. Découvrez également : COMISSMA, Une Étoile Montante de l’Entrepreneuriat Féminin au Mali « Monsieur Communication, Maestro de la Mode, Akim Bamako »… Autant de surnoms qui, s’ils le font sourire, racontent une aventure bien réelle : celle d’un passionné qui a su allier stratégie et créativité pour faire bouger les lignes. Un leadership ancré dans le terrain et les institutions Son parcours impressionnant mêle expériences associatives, collaborations internationales – comme à l’Ambassade de France au Mali – et direction d’événements d’envergure, à l’image de MISS ORTM 2023, qu’il a porté avec engagement malgré un contexte complexe. « Malgré les contraintes diverses, le contexte socio-économique, politique, les contraintes techniques, nous nous sommes engagés à vous offrir une édition de qualité avec les ressources disponibles », écrivait-il en décembre 2022. Une philosophie : avancer, coûte que coûte, avec les moyens du bord, mais avec une ambition sans limite. Découvrez également : DJASTICE DESIGN : L’Excellence du Design et de la Décoration Intérieure Plus qu’un entrepreneur, un inspireur Akim Soul incarne une nouvelle génération de leaders africains : ancrés localement, ouverts sur le monde, et déterminés à allier impact social et innovation. Sa devise ? « Fusionner la communication, la culture et le potentiel humain pour IMPACTER ». Aujourd’hui, avec plus de 52 000 followers, des centaines de relations professionnelles et plusieurs projets en simultané, il continue d’écrire, pas à pas, une success story malienne – une histoire de patience, de résilience, et de foi inébranlable en l’avenir. L’aventure ne fait que commencer. Car derrière chaque réalisation se cache un rêve plus grand : celui d’une Afrique créative, entrepreneurale et durable, où chaque talent a sa place, sa voix, et son tremplin. Merci, Akim Soul, de nous rappeler que la plus belle mode est celle qui se vit avec âme. Inspiré par le parcours d’Ibrahim Guindo, septembre 2024. Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Le Coaching : un métier, une science, une mission de vie

Par Coach Mariam Inna Je suis toujours étonnée de voir, après tant d’années, que le débat autour du coaching reste encore d’actualité.On se pose encore les mêmes questions :• Est-ce un véritable métier ?• Faut-il une formation pour devenir coach ?• Est-ce que cela demande un diplôme ? Et pourtant, depuis plus de dix ans, j’en parle, j’écris, j’explique, je forme, je partage. J’ai parfois cessé de donner des précisions, pensant que le message était déjà bien compris. Mais visiblement, il reste encore du chemin à parcourir… Le coaching n’est pas du bavardage motivant Beaucoup confondent encore le coaching avec le simple partage d’expérience ou le conseil inspirant.Certains pensent que le coach est juste une personne qui a réussi et qui raconte son parcours. D’autres l’associent à un grand orateur capable de galvaniser les foules avec de belles paroles. Mais la réalité est toute autre. « Quand tu donnes un conseil, tu n’es plus dans le coaching. »C’est la première phrase que tout élève apprend à l’école de coaching. Le conseil part de l’expérience personnelle de celui qui parle : son vécu, son environnement, ses ressources, ses défis. Or, chaque être humain est unique. Ce qui a fonctionné pour l’un peut être totalement inefficace pour l’autre. Celui qui conseille, c’est un mentor — pas un coach. Le cœur du coaching : l’écoute et l’accompagnement Le coaching, c’est avant tout l’écoute profonde.Le coach écoute non seulement avec ses oreilles, mais aussi avec ses yeux, son intuition et toute son attention. Il n’a pas besoin d’être un excellent orateur ni un animateur de scène.Ce qui compte, c’est sa capacité à créer un espace de confiance, d’exploration et de transformation. Le coaching est une méthode d’accompagnement personnalisé visant à améliorer les performances, les résultats et le bien-être d’un individu, d’un groupe ou d’une organisation. Il agit sur :• le développement des connaissances et des ressources,• l’optimisation des processus internes,• l’amélioration de la performance globale. Il s’appuie sur deux sciences fondamentales :• La psychologie, pour comprendre l’humain et les organisations,• Les neurosciences, pour ancrer les comportements durables. Son lien avec le développement personnel n’est pas d’identité mais de conséquence. Le coaching, une science de l’humain Le vrai coach construit son accompagnement non pas sur sa propre histoire, mais sur la personne accompagnée :son environnement, ses croyances, ses compétences, ses valeurs, son identité et le sens qu’elle donne à sa vie. Parce que la vie est précieuse et la science humaine complexe, il est essentiel de faire appel à un professionnel formé.Un accompagnement amateur peut créer des biais cognitifs dangereux, entretenir des illusions ou renforcer des mécanismes de défense inconscients hérités du passé. C’est pour éviter cela que le coaching repose sur :• une formation solide,• une posture bienveillante,• un engagement à la neutralité,• et une obligation absolue de confidentialité. Le vrai coach, au-delà du mot Je ne suis pas choquée d’entendre certaines personnes se faire appeler « coach ».Le mot est aujourd’hui galvaudé, au point que certains de mes collègues refusent même de s’en revendiquer.Mais sur le terrain, nous savons faire la différence. Je suis coach, parce que c’est ma formation, mon métier, ma compétence et ma mission de vie.Et quand il s’agit de résultats concrets, les gens savent à qui s’adresser. Entre show et transformation Bien sûr, il y aura toujours des personnes qui préfèrent le show, la distraction ou les belles phrases qui flattent l’ego.D’autres chercheront une motivation ponctuelle sans réelle intention d’agir. Mais pour celles et ceux qui veulent se transformer, évoluer, se dépasser,nous, les coachs professionnels, nous sommes là. À mes collègues : faisons du bruit, car notre métier change des vies. À propos de Coach Mariam Inna Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Ensemble contre le cancer : Octobre Rose, un mois de mobilisation et d’espoir au Mali avec la COMISSMA

En ce mois d’octobre, le rose n’est pas seulement une couleur. Il est le symbole d’un combat, d’une solidarité et d’un engagement sans faille en faveur de la santé des femmes. Sous l’impulsion de Kandia Dembélé promotrice de COMISSMA (Comité des Miss du Mali) et avec le soutien précieux de la Ministre de la Santé et du Développement Social, le Médecin Colonel Major Assa Badiallo Touré, la deuxième édition du tournoi « Octobre Rose » bat son plein. L’objectif est clair et fédérateur : « Tous engagés pour un Mali sans cancer du sein et du col de l’utérus ». Une campagne qui rassemble et qui sensibilise Du 1er au 31 octobre, les initiatives se multiplient pour toucher un large public. Au programme de cette édition : des séances de dépistage gratuit, un tournoi de football et même un bras de fer, organisés sur le terrain Appolo de Badalabougou. Autant d’occasions de rassembler la communauté autour d’un enjeu de santé publique majeur, dans une ambiance à la fois sportive et solidaire. Ces activités, soigneusement planifiées et portées par des responsables dévoués, visent à briser les tabous, informer sur l’importance du dépistage précoce et faciliter l’accès aux soins. Car derrière chaque chiffre, chaque match et chaque consultation, il y a des vies qui peuvent être sauvées. Un engagement au plus haut niveau Le haut patronage de la Ministre de la Santé, le Médecin Colonel Assa Badiallo Touré, est un signal fort. Il témoigne de la priorité accordée à ce combat par les plus hautes instances et rappelle que la lutte contre le cancer est une responsabilité collective. Sa présence honore cette campagne et renforce son impact. Un message d’espoir et un appel à l’action Ces affiches, vibrantes et informatives, sont bien plus que de simples annonces. Elles sont une invitation à ne pas rester spectateur. Elles rappellent que le cancer du sein et du col de l’utérus peuvent être vaincus si l’on agit à temps. Elles appellent chaque femme, chaque fille, chaque homme et chaque enfant à devenir un relais d’information et de soutien. Le numéro Infoline (+223 71 78 27 80 / 73 39 51 96) est un lien direct vers l’aide et l’information, un filet de sécurité pour celles qui hésitent ou qui ont des questions. Octobre Rose au Mali, c’est donc bien plus qu’un mois de sensibilisation. C’est un mouvement populaire et institutionnel qui donne de l’espoir. C’est la preuve que, main dans la main, il est possible de construire un avenir où la santé des femmes n’est plus une fatalité, mais une priorité nationale partagée. Rejoignons le mouvement. Parlons-en. Faisons-nous dépister. Soutenons les femmes. Parce que chaque vie compte. Ensemble, unissons nos forces pour faire de cette édition 2025 un événement inclusif, inspirant et porteur de changement, au service de la santé des femmes et de l’éveil citoyen. octobre #Comissma #Sirasurun #Wilikijo #octobrerose #octobrerosetoutelannée #Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali

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L’analyse financière : Pourquoi ? Comment ? Et Quand ?

L’analyse financière est un outil essentiel pour comprendre la santé économique et la pérennité d’une entreprise. Elle permet d’évaluer sa performance, sa solidité et sa capacité à affronter l’avenir. Mais concrètement, pourquoi la réaliser, comment la mener et à quel moment s’y consacrer ? Pourquoi faire une analyse financière ? L’analyse financière consiste à étudier en profondeur la situation d’une entreprise afin de porter un jugement sur plusieurs aspects clés :• La rentabilité : sa capacité à générer un résultat supérieur aux ressources consommées.• La solvabilité : son aptitude à rembourser ses dettes sur le long terme.• La liquidité : sa faculté à transformer rapidement ses actifs en trésorerie pour faire face aux dettes exigibles.• La structure financière : l’équilibre entre les fonds propres, les dettes et le financement des investissements. Découvrez également : La Comptabilité des Entreprises : Un Pilier Indispensable pour une gestion rigoureuse et optimale de vos ressources (financières, humaines ou matérielles). Comment se fait l’analyse financière ? Il n’existe pas une méthode unique : chaque entreprise doit adapter son analyse à ses besoins et à ses spécificités. Parmi les principales approches, on retrouve :• L’analyse par le bilan• L’analyse par le compte de résultat• L’analyse par les ratios financiers• L’analyse par le tableau des flux de trésorerie Ici, concentrons-nous sur l’analyse par les ratios, qui permet d’obtenir des indicateurs concrets et comparables. Découvrez également : Retenue TVA & Fournisseurs Étrangers au Mali : Ce que dit l’Article 116 du LPF L’analyse par les ratios Les ratios financiers permettent d’évaluer différents aspects de la performance :• Ratios de rentabilité• Ratios de profitabilité• Ratios de structure• Ratios de liquidité Ratio de rentabilité financière Il mesure la capacité de l’entreprise à générer un résultat pour ses associés. Formule :Rentabilité financière = Résultat net / Capitaux propres Exemple :Si les associés investissent 100 F et que la rentabilité financière est de 10 %, ils obtiennent 10 F de plus que leur mise initiale. Définitions :• Résultat net = Produits – Charges• Capitaux propres = Capital + Réserves + Résultats + Report à nouveau Ratio de rentabilité économique Il mesure la capacité de l’entreprise à dégager un résultat supérieur aux ressources économiques utilisées. Formule :Rentabilité économique = Résultat d’exploitation / Actif économique Avec :• Actif économique = Immobilisations + Besoin en Fonds de Roulement (BFR) Découvrez également : Comprendre la gestion de la paie et des bulletins de salaire au Mali L’analyse financière est indispensable pour juger la performance et la pérennité d’une entreprise.• La rentabilité financière intéresse principalement les associés, car elle mesure le retour sur leur investissement.• La rentabilité économique, quant à elle, évalue la capacité globale de l’entreprise à valoriser ses ressources. Quand faire l’analyse financière ? L’analyse peut être réalisée :• Après la clôture de l’exercice, pour évaluer les résultats de l’année écoulée.• De façon prévisionnelle, afin d’anticiper les performances futures et orienter les décisions stratégiques. Découvrez également : IS ou IBIC : Quelle différence ? Auteur : Ibrahim MANGASSOUBA – Consultant formateur en comptabilitéContact : +223 83 77 92 14Email : ibrahimmangassouba2020@gmail.com Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali

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Leadership à l’américaine : inspiration, pression ou révolution managériale ?

Le leadership américain intrigue et fascine à travers le monde. Tantôt admiré pour son énergie, son optimisme et son orientation vers les résultats, tantôt critiqué pour sa brutalité et sa franchise directe, il oscille entre deux réalités : un moteur puissant de motivation et un modèle parfois déroutant. Alors, est-il plus stimulant ou plus directif ? Et surtout, que peut en tirer le Mali pour réinventer l’engagement de ses collaborateurs ? Une philosophie marquée par le « Hire & Fire » L’un des aspects les plus connus — et les plus redoutés — du management américain reste la stratégie du « Hire & Fire » : recruter rapidement, licencier tout aussi vite.Cette méthode, très répandue dans les start-up technologiques ou les entreprises de services en hypercroissance, permet une adaptation express aux fluctuations du marché. Mais cette agilité a un coût :• La performance immédiate prime sur la fidélisation.• La formation et le développement à long terme sont souvent relégués au second plan.• Les collaborateurs évoluent dans un climat de pression permanente, où leur avenir dépend exclusivement de leurs résultats du moment. Découvrez également: Les dirigeants doivent cesser de gérer le changement et commencer à le créer En Afrique de l’Ouest , et particulièrement au Mali, un tel modèle reste marginal. Les protections sociales fortes et une culture du travail axée sur la stabilité rendent cette approche difficilement transposable. Au-delà de la dureté : un leadership inspirant Pourtant, réduire le leadership américain à cette brutalité serait une erreur. Car derrière la sévérité se cache une autre facette : une capacité unique à inspirer, mobiliser et valoriser. Les leaders américains savent transformer la pression en moteur de progression. Ils cultivent des pratiques qui renforcent la motivation :• Reconnaissance des réussites.• Communication claire et directe.• Encouragement à l’innovation et à la prise d’initiative.• Hiérarchie souple où la parole circule librement. C’est ce mélange d’exigence et de confiance qui explique pourquoi ce modèle reste attractif, notamment pour les profils ambitieux. Découvrez également: Pourquoi les transformations organisationnelles échouent-elles ? Comment réussir le changement en entreprise ? Exemples emblématiques• Satya Nadella (Microsoft) : En 2014, il redonne à l’entreprise une mission claire, casse les silos et insuffle une culture de l’apprentissage permanent. Résultat : Microsoft retrouve son dynamisme et redevient un géant innovant et respecté.« We are making the shift from a know-it-all culture to a learn-it-all culture. »• Jeff Bezos (Amazon) ou Sam Altman (OpenAI) : incarnent cette vision où la prise de risque, l’innovation et la quête d’excellence permettent de transformer des industries entières. En quoi est-il différent de l’Afrique ? Comparé au modèle Africain :• Les Américains sont plus directs, moins hiérarchisés.• Ils privilégient l’action rapide quitte à corriger ensuite, tandis que l’Afrique préfère l’analyse et la prudence.• Le mérite et la performance individuelle y sont hautement valorisés, nourrissant une culture de la compétition saine et de l’innovation. Découvrez également: Le stress en milieu professionnel Pourquoi s’en inspirer ? Le leadership américain ne se copie pas tel quel. Mais certains leviers peuvent inspirer le Mali :• Reconnaissance régulière : féliciter les réussites individuelles et collectives.• Clarté des objectifs : aligner les équipes autour d’une vision partagée.• Feedback continu : remplacer les entretiens annuels par des échanges fréquents et constructifs.• Culture de l’expérimentation : permettre aux collaborateurs d’essayer, d’échouer et d’apprendre.• Bien-être et équilibre : intégrer le stress management et des outils de santé mentale.• Agilité décisionnelle : raccourcir les circuits de validation et responsabiliser les équipes.• Outils numériques : fluidifier la communication et le suivi grâce aux plateformes collaboratives. Découvrez également: La régulation émotionnelle : le superpouvoir des managers modernes Le vrai leadership commence par soi Comme le rappelle McKinsey :« The best leaders lead themselves before they lead others. » Le Mali n’a pas besoin de copier le modèle américain, mais de s’inspirer de son énergie, de son pragmatisme et de sa culture de la reconnaissance pour réinventer son management. Le leadership du futur sera celui qui sait écouter, inspirer et évoluer, en conciliant performance et humanité. Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali Découvrez également: Voici ce que m’a appris la construction d’une entreprise à un milliard de dollars : Tom Bilyeu

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IS ou IBIC : Quelle différence ?

Dans la pratique, beaucoup confondent IS (Impôt sur les Sociétés) et IBIC (Impôt sur les Bénéfices Industriels et Commerciaux). Pourtant, la distinction est simple : elle dépend essentiellement de qui paie l’impôt. IS (Impôt sur les Sociétés) IBIC (Impôt sur les Bénéfices Industriels et Commerciaux) Cas particulier : la SCS Points communs entre IS et IBIC À retenir Vous souhaitez apprendre à remplir correctement votre déclaration IS/IBIC ?Contactez ibrahim MANGASSOUBA pour un accompagnement spécialisé et adapté à vos besoins. Découvrez également : Retenue TVA & Fournisseurs Étrangers au Mali : Ce que dit l’Article 116 du LPF Formes juridiques autorisées par le législateur :• SARL• SA• SAS• SNC• SCS• EI (Entreprise Individuelle) Contact : +223 83 77 92 14E-mail : ibrahimmangassouba2020@gmail.comIbrahim MANGASSOUBA – Consultant formateur en stratégie fiscale Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali. Découvrez également : La Comptabilité des Entreprises : Un Pilier Indispensable pour une gestion rigoureuse et optimale de vos ressources (financières, humaines ou matérielles).

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Les dirigeants doivent cesser de gérer le changement et commencer à le créer

Dans un monde bouleversé par l’intelligence artificielle et des mutations accélérées, une vérité s’impose : les gagnants de demain ne seront pas ceux qui savent gérer le changement, mais ceux qui savent le créer. Les entreprises figées dans des approches réactives, qui attendent que les vagues les frappent avant de bouger, se condamnent à l’obsolescence. À l’inverse, celles qui osent provoquer le changement façonnent l’avenir, contrôlent leur destin et transforment les perturbations en opportunités. Quand le déni retarde l’inévitable Une étude récente, Leadership IQ AI Readiness, menée auprès de 1 251 dirigeants, révèle un paradoxe inquiétant :• 79,5 % des cadres utilisent déjà l’IA dans leur quotidien.• Mais 46,2 % pensent encore que cette technologie n’affectera pas leur rôle.• Pire : 56,4 % ne croient pas qu’elle remplacera des emplois dans les trois prochaines années. Cette cécité volontaire illustre le danger des approches réactives. Les dirigeants adoptent l’IA personnellement, mais n’en anticipent pas l’impact stratégique. Résultat : ils intègrent le changement au présent tout en restant aveugles à l’avenir. Découvrez également : Comment l’IA Redonne du Sens au Travail et Ravive la Motivation Si les leaders ne voient pas venir les bouleversements alors qu’ils les tiennent littéralement entre leurs mains, comment espérer qu’ils préparent leurs entreprises à prospérer ? De la réaction à la création du changement Être licencié pour « mauvaise gestion du changement » est devenu l’un des motifs principaux de rupture pour les PDG. Mais le problème n’est pas seulement l’exécution du changement, il est dans la posture même : subir ou anticiper. Les entreprises qui réussissent ne se demandent pas :• « Comment gérer ce changement ? »Elles posent plutôt la question :• « Quel changement devons-nous créer ensuite ? » Ce glissement est décisif. Être proactif face au changement permet de :• maîtriser le timing et le rythme,• orienter le discours auprès des parties prenantes,• renforcer la capacité d’adaptation par la pratique et non sous la contrainte,• attirer les talents qui veulent innover,• et saisir les opportunités avant que les concurrents ne réagissent. Les stratégies clés pour devenir proactif 1. Créer une transparence intellectuelle Seulement 15 % des employés comprennent vraiment la stratégie de leur entreprise.Les dirigeants proactifs ne gardent pas leurs réflexions pour eux. Ils partagent leurs observations, leurs découvertes et leurs doutes en temps réel. Ainsi, quand un changement survient, il paraît logique, pas brutal. 2. Renforcer la confiance par l’apprentissage continu Un salarié qui apprend en permanence est 10 fois plus inspiré qu’un autre.Les entreprises proactives institutionnalisent l’apprentissage avant même que le changement ne l’impose. Des questions simples posées chaque semaine — « Qu’as-tu appris ? », « En quoi es-tu meilleur qu’hier ? » — nourrissent la confiance collective face à l’inconnu. 3. Miser sur les champions Chaque organisation a ses influenceurs naturels. Les impliquer en amont multiplie les chances de réussite. Mieux encore : dans les entreprises proactives, ces champions deviennent des capteurs d’opportunités et des éclaireurs de marché. 4. Intégrer le facteur personnalité Près de la moitié des salariés sont motivés par la sécurité et la stabilité. Pour eux, le changement est une menace. Les leaders proactifs l’intègrent dans leurs stratégies : ils transforment l’incertitude en processus prévisibles et font percevoir le changement comme un moyen de stabilité durable. Découvrez également : Ce que révèle une très mauvaise écriture sur votre personnalité, selon les psychologues Les pièges qui guettent Passer d’une culture réactive à une culture proactive n’est pas sans embûches. Trois signaux d’alerte méritent vigilance :• Le fossé cadres-employés : les dirigeants aiment prendre des risques, pas toujours leurs équipes. Le rôle du leader est de renforcer progressivement cette capacité collective.• Le piège de la zone de confort : seulement 38 % aiment en sortir. Le dirigeant doit transformer l’inconfort en levier de croissance.• La conscience sans action : utiliser l’IA sans en tirer de stratégie est une impasse. Les entreprises gagnantes convertissent la réflexion en scénarios et en actions concrètes. Le choix est existentiel Les données sont claires :• Les entreprises réactives subissent plus de résistance, des délais plus longs, des départs massifs et des occasions ratées.• Les entreprises proactives, elles, cultivent l’agilité : leurs employés proposent des idées, cherchent de nouveaux défis et voient dans le changement une chance de grandir. Découvrez également : La ponctualité en déclin ? Quand la génération Z bouscule les codes du temps de travail Le futur appartient aux créateurs de changement La prochaine décennie ne récompensera pas les entreprises qui savent gérer le changement, mais celles qui savent l’orchestrer. Dans un monde où l’IA redéfinit chaque secteur du jour au lendemain, la réaction est trop lente. L’avenir appartient aux organisations qui font du changement non pas une menace, mais leur moteur. Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali Découvrez également : Les 3 stratégies de Bill Gates pour réduire le stress et vivre plus heureux

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Retenue TVA & Fournisseurs Étrangers au Mali : Ce que dit l’Article 116 du LPF

L’Article 116 du Livre des Procédures Fiscales au Mali est clair : lorsqu’une entreprise ou un professionnel assujetti à la TVA est établi ou domicilié hors du Mali, il doit désigner un représentant fiscal sur le territoire malien. Rôle du représentant fiscal Le représentant fiscal agit au nom du fournisseur étranger pour :• Remplir toutes les formalités déclaratives.• Payer la TVA due, conformément au mécanisme fiscal en vigueur. En cas d’absence de représentant A lire Aussi : Comprendre la gestion de la paie et des bulletins de salaire au Mali Si aucun représentant n’est désigné, la TVA — ainsi que d’éventuelles pénalités — devra être payée directement par le client malien, pour le compte du fournisseur étranger. À retenir Pour éviter toute complication et protéger la relation commerciale, toute entreprise étrangère travaillant avec des clients au Mali doit se conformer à cette obligation.À défaut, le client malien devra retenir la TVA sur le montant HT de la facture. A lire Aussi : Les Obligations Comptables Selon le Système Fiscal Malien Mécanisme de la retenue TVA sur les fournisseurs étrangers Le client résident au Mali doit appliquer la retenue TVA selon le calcul suivant : Montant HT × 18% La retenue doit être déclarée et reversée avant le 15 du mois suivant, conformément aux modalités de la TVA au Mali. Objectifs de cette règle En pratique Avant toute collaboration avec un fournisseur étranger, les entreprises maliennes doivent :1. Vérifier qu’il dispose d’un représentant fiscal agréé au Mali.2. Sinon, procéder à la retenue TVA sur la facture. À noter : cette retenue TVA est indépendante de la retenue IBIC appliquée aux prestataires non immatriculés au Mali. A lire Aussi : Entrepreneur débutant ou aspirant entrepreneur : Les premiers pas administratifs et comptables des entreprises maliennes Besoin d’accompagnement ? Pour mieux comprendre et appliquer ces obligations fiscales : Contactez Ibrahim MANGASSOUBA, consultant formateur en fiscalité, comptabilité, gestion de la paie, analyse financière et création d’entreprise. Contact : +223 83 77 92 14Email : ibrahimmangassouba2020@gmail.com Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali A lire Aussi : Entrepreneur débutant ou aspirant entrepreneur : Comprendre la différence entre Chiffre d’Affaires, Marge et Rentabilité – les clés de la performance financière

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