Nom de l’auteur/autrice :Wilikijo

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Ère numérique : pourquoi l’écriture manuscrite reste indispensable

À l’heure où nos vies sont rythmées par les écrans, les claviers et les interfaces numériques, l’écriture manuscrite semble perdre du terrain. Pourtant, loin d’être une simple nostalgie analogique, elle demeure un outil puissant pour le cerveau : elle stimule la concentration, renforce la mémoire et active des circuits cognitifs que la frappe au clavier n’égale pas. Alors que de plus en plus d’écoles abandonnent l’écriture cursive et que nos notes quotidiennes migrent vers nos téléphones ou ordinateurs, un nombre croissant de recherches démontre que l’acte d’écrire à la main joue un rôle fondamental dans l’apprentissage et la mémorisation. Pourquoi écrire à la main est si bénéfique L’écriture manuscrite fait intervenir plusieurs sens simultanément : le toucher, la motricité fine, la vision et même l’audition interne lorsque nous prononçons mentalement les mots. Ce travail multisensoriel active de vastes zones du cerveau. Selon Mellissa Prunty, maître de conférences à l’université Brunel de Londres, écrire à la main constitue une compétence motrice complexe : tenir un stylo, tracer des lettres, coordonner les gestes… Ces actions favorisent un traitement profond de l’information. Chez les enfants, ce processus améliore la lecture, l’orthographe et la compréhension. Les adultes ne sont pas en reste. Une étude menée auprès de personnes apprenant l’arabe montre que celles qui écrivaient les nouveaux caractères à la main les reconnaissaient, les épelaient et les prononçaient beaucoup plus facilement que celles utilisant le clavier. Pour Robert W. Wiley, professeur de psychologie, cette différence s’explique par le fait que « l’écriture manuscrite active davantage de voies associant perception, mouvement et langage ». En d’autres termes : plus le cerveau crée de connexions, meilleure est la mémorisation. Le rôle du toucher dans l’apprentissage À travers des enquêtes menées auprès de jeunes adultes en Europe et aux États-Unis, la linguiste Naomi Susan Baron a constaté que l’écriture manuscrite améliore l’attention, la concentration et la fixation des informations. Les étudiants rapportent retenir mieux lorsqu’ils écrivent sur papier plutôt que sur clavier. La professeure Lisa Aziz-Zadeh, de l’Université de Californie du Sud, explique pourquoi : le toucher et le mouvement activent les mêmes régions cérébrales impliquées dans l’apprentissage. Ces zones, essentielles dans l’évolution humaine, restent aujourd’hui au cœur des processus cognitifs complexes. Écrire ou taper : ce que dit le cerveau Pour comprendre ce qui se passe dans le cerveau lorsqu’on écrit, la professeure Audrey van der Meer a mené une étude basée sur l’électroencéphalogramme (EEG) de 36 étudiants. Les participants devaient soit taper un mot au clavier, soit le dessiner ou l’écrire sur écran tactile. Les résultats sont frappants :lorsque les étudiants écrivaient à la main, l’ensemble du cerveau s’activait, alors que seules quelques zones étaient sollicitées lors de la frappe au clavier. Cette activation généralisée favorise la communication entre différentes régions cérébrales via des ondes alpha et thêta, directement liées à l’apprentissage et à la mémoire. Ces oscillations étaient présentes lors de l’écriture manuscrite, mais absentes lors de la saisie numérique. Les adultes, eux aussi, gagneraient à reprendre l’habitude d’écrire sur du papier. Comme l’explique van der Meer, « écrire à la main équivaut à entretenir une route très fréquentée dans le cerveau ». Plus nous écrivons, plus nous renforçons nos connexions neuronales. En conclusion : un geste simple, un impact profond À l’ère du tout-numérique, l’écriture manuscrite reste une pratique essentielle pour notre cerveau. Elle :• stimule la concentration• renforce la mémoire• favorise l’apprentissage• active davantage de zones cérébrales• améliore l’attention et la compréhension Si les outils numériques apportent confort et rapidité, le papier et le stylo continuent d’offrir une profondeur cognitive irremplaçable. Alors, pour réfléchir, mémoriser ou apprendre efficacement, rien ne vaut quelques minutes d’écriture manuscrite.

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À la Découverte de l’Auteur du Livre Le Plus Grand Voyageur du Monde

Certaines personnes naissent avec une flamme intérieure qui refuse de s’éteindre. Une vision, une curiosité insatiable, un courage qui pousse à avancer malgré les doutes. C’est dans cette catégorie rare que se classe l’auteur du livre Le Plus Grand Voyageur du Monde, dont le mantra guide chacun de ses pas : « Savoir où l’on va, c’est commencer avec la fin en tête. » Une personnalité façonnée par la vision et l’héritage Lorsqu’il parle de lui, trois mots reviennent constamment : Vision, Curiosité, Courage.Ce qui le motive au quotidien est simple et puissant : impacter des vies et laisser un héritage à travers ce qu’il crée. Découvrez également : Créer sa Structure Hospitalière : Du Projet à la Rentabilité Un parcours académique riche, marqué par la persévérance Il répond au nom de Boubacar HAIDARA, originaire de Nyamina, dans la région de Koulikoro, il effectue son parcours primaire et secondaire à l’école Lassana SACKO, jusqu’à l’obtention de son DEF en 2017.Son aventure se poursuit à Bamako, au lycée Fily Dabo Sissoko, puis en 2019, il réussit le concours de langue allemande qui lui ouvre les portes d’un séjour en Allemagne.En 2020, il décroche son Bac TLL (Langues et Lettres) avec la mention Assez Bien.Il intègre ensuite l’Université de Kabala en Lettres Modernes, avant de poursuivre en Gestion des Ressources Humaines à l’IUG, tout en nourrissant une autre passion : le marketing relationnel. Monsieur Boubacar Haïdara, surnommé “Coach Boub le Curieux”, est l’auteur du livre. La naissance d’une idée : écrire pour voyager autrement Pour lui, l’être humain est un véhicule :• le corps en est la structure,• l’esprit, le moteur,• les émotions, le carburant. Il est convaincu que la lecture est l’une des formes les plus nobles du voyage intérieur. Lire, c’est nourrir son moteur. C’est de cette conviction qu’est née l’idée d’écrire Le Plus Grand Voyageur du Monde. L’étincelle du projet : écrire pour laisser une trace Depuis l’enfance, il rêve de laisser quelque chose à la postérité.Un événement précis va pourtant déclencher le début de son aventure littéraire : un camarade lui demande un jour d’écrire pour lui un texte sur la paix. Le résultat est impeccable. Le déclic est là.Dès lors, il enchaîne poèmes et réflexions sur l’amour, la délinquance et d’autres thèmes qui touchent le cœur humain. A lire Aussi : Découvrez l’Inspiration Spirituelle : « Ousmane Madani Haïdara, un Modèle de Vie » par Mamoudou Kanambaye Un rêve mûri sur plusieurs années S’il commence son manuscrit début 2024, un moment clé va accélérer le processus : une conférence du Dr Claudel Noubissie, en octobre 2024.Ce dernier demande au public de faire la promesse d’écrire un livre avant octobre 2025.Il se fait cette promesse… et la tient.Dès janvier, son livre est finalisé. Les défis derrière l’écriture Le plus grand obstacle ? Choisir le bon thème.Le second ? La perfection, cette quête sans fin qui freine souvent les créateurs. Une discipline qui transforme un projet en réalité Au départ, il écrit uniquement lorsque l’inspiration se présente.Mais après la rencontre avec le Dr Claudel, il adopte une routine : écrire chaque jour, même une ligne, même un mot.C’est cette constance qui donne vie au livre. Pourquoi ce titre ? Le Plus Grand Voyageur du Monde est un hommage à un auteur qui l’inspire profondément : Og Mandino, célèbre pour ses ouvrages « Le Plus Grand Vendeur du Monde », « Le Plus Grand Miracle » ou encore « Le Plus Grand Secret ».Le livre rappelle que les livres sont les gardiens du savoir, ceux qui éduquent lorsque le village nous élève. Ce qu’il veut que le lecteur vive Beaucoup lisent… sans vraiment savoir lire.Son objectif : réconcilier le lecteur avec la lecture, lui montrer qu’elle est un art, une arme, une compétence.À travers ce livre, il souhaite que chacun découvre une nouvelle manière d’apprendre, de comprendre et de se transformer. Un message à la population Son message est clair, profond, essentiel : La première richesse d’un pays, c’est l’Homme.Le véritable développement commence par la qualité de ses ressources humaines, non par ses infrastructures.L’information est la marchandise des rois, et les livres sont les porteurs de cette richesse. Il conclut par cette citation puissante de Valère Bélias : « Une personne qui ne lit pas est un cadavre, et une maison sans livre est une morgue ou un cimetière. » « Savoir où l’on va, c’est commencer avec la fin en tête. » Coach BOUB LE CURIEUX Apimali #dépassementdesoi #Livres #Lecture #courage #Auteurs #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie #OrangeMoney #MobileMoney #Billetrieenligne WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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La 7ème Édition du Salon de l’Entrepreneuriat Féminin de Bamako : Collaborer pour Réussir Alliances Stratégiques et Entrepreneuriat Féminin

Sous le haut patronage de Madame Oumou SALL SECK, Ministre de l’Entrepreneuriat National, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle, et de Madame DIARRA Djénéba SANOGO, Ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille, Bamako accueillera la 7ème édition du Salon de l’Entrepreneuriat Féminin.Un rendez-vous d’envergure, prévu du 19 au 22 novembre 2025 au CICB, placé sous le thème puissant : « Collaborer pour Réussir : Alliances Stratégiques et Entrepreneuriat Féminin » Un espace de rencontres, d’inspiration et de transformation Véritable carrefour d’opportunités, le Salon de l’Entrepreneuriat Féminin de Bamako se positionne aujourd’hui comme une plateforme essentielle pour toutes les femmes entrepreneures — qu’elles soient en création d’activité, en développement ou déjà confirmées. L’objectif est clair : stimuler les échanges, encourager le partage d’expériences et créer des synergies durables.Cette édition mettra particulièrement en lumière les alliances stratégiques, véritables moteurs de croissance capables de propulser les entreprises féminines vers un impact économique et social plus fort. Un programme riche, varié et taillé sur mesure Durant quatre jours, les participantes auront accès à un ensemble d’activités pensées pour nourrir leurs compétences et élargir leur réseau :• Expos-ventes : Pour présenter produits et services, conquérir de nouveaux clients et tester de nouveaux marchés.• Panels et ateliers : Des interventions d’expertes autour des enjeux majeurs de l’entrepreneuriat féminin, avec des solutions concrètes et applicables.• Masterclass : Des sessions intensives animées par des mentors reconnus, pour renforcer ses compétences en gestion, finance, marketing ou leadership.• Rencontres B2B : Un cadre idéal pour créer des partenariats solides, échanger avec des institutions, investisseurs et futurs collaborateurs.• Mentoring personnalisé : Pour bénéficier d’un accompagnement sur mesure et accélérer sa croissance.• Animations et jeux concours : Dont une grande tombola, pour allier apprentissage, plaisir et convivialité. Une ouverture à l’international Cette 7ème édition accueillera des délégations de Côte d’Ivoire et du Ghana, renforçant la dimension régionale du Salon.Une opportunité exceptionnelle pour les entrepreneures maliennes de s’inspirer d’autres modèles, d’échanger avec leurs homologues étrangères et de découvrir de nouvelles pratiques innovantes. Pourquoi participer ? Parce que le Salon de l’Entrepreneuriat Féminin de Bamako est plus qu’un événement :C’est un accélérateur d’opportunités, un lieu où naissent les collaborations, où se débloquent les idées, où se construit la réussite. Il symbolise la volonté commune des institutions, des partenaires et de la société civile de soutenir l’autonomisation économique des femmes — un pilier essentiel du développement inclusif et durable. Rendez-vous du 19 au 22 novembre 2025 au CICB Une expérience unique vous y attend : inspiration, réseautage, apprentissage et croissance. Ensemble, collaborons pour réussir !

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EWAATI classée parmi le Top 4 des Innovateurs IA d’Afrique

Une entreprise malienne brille aux AI Rising Star Awards 2025 à Lagos (Nigéria) Le Mali vient d’inscrire une nouvelle page dans l’histoire de l’innovation africaine.L’entreprise EWAATI, cofondée et dirigée par Fousseyni DEMBÉLÉ, s’est hissée parmi les quatre meilleures innovations en intelligence artificielle d’Afrique lors du prestigieux AI Rising Star Awards 2025, organisé par la Society for Artificial Intelligence (Society for AI), le 6 novembre 2025 à Lagos (Nigéria). Sélectionnée parmi des dizaines de projets venus de plusieurs pays africains, EWAATI s’est distinguée dans la catégorie AI Innovators & Solution Developers, devenant la seule startup francophone à atteindre la grande finale. Cette distinction symbolise non seulement une réussite technologique, mais aussi une victoire culturelle et linguistique, prouvant que l’excellence en IA n’a ni frontière ni accent. Une innovation au service de la santé africaine Le projet présenté par EWAATI, “eCare”, utilise la puissance de l’intelligence artificielle (OCR & NLP multilingue) pour faciliter l’accès aux médicaments à travers l’Afrique de l’Ouest. Grâce à cette technologie, EWAATI ambitionne de réduire de plus de 70 % le temps de recherche de médicaments, tout en améliorant la fiabilité, la traçabilité et l’équité d’accès aux soins pour les patients. Une reconnaissance pour le Mali et ses partenaires Cette performance remarquable positionne le Mali comme un acteur émergent de l’intelligence artificielle sur le continent. EWAATI dédie cette distinction à ses partenaires institutionnels et régionaux, dont :• APDP Mali – garant du cadre légal et de la conformité des données,• SONEC Africa (Côte d’Ivoire) – partenaire de représentation sous-régionale,• Africa AI Network (Nigeria) – partenaire de coopération technique et stratégique. Une vision panafricaine portée depuis Bamako Pour Fousseyni DEMBÉLÉ, cofondateur et CEO d’EWAATI : « Cette reconnaissance n’est pas seulement celle d’une entreprise, mais celle de toute une génération d’innovateurs africains convaincus que l’intelligence artificielle peut changer des vies. Nous avons prouvé qu’avec la vision, la passion et la foi, le Mali peut être un phare de l’innovation sur le continent. » Les organisateurs du concours ont également annoncé un financement global de 100 000 USD, destiné à accompagner les finalistes de la catégorie AI Innovators & Solution Developers dans leurs phases de développement et de déploiement. À propos d’EWAATI Fondée à Bamako (Mali), EWAATI est une entreprise technologique spécialisée dans la conception de solutions d’intelligence artificielle appliquées à la santé, à la sécurité et à la donnée intelligente.Son objectif : démocratiser l’accès aux services essentiels en Afrique grâce à l’IA. EWAATI développe plusieurs produits phares :• eFace : Système intelligent de pointage et de contrôle d’accès par reconnaissance faciale, certifié par l’APDP Mali, déjà utilisé dans le secteur énergétique national.• eMoment : Plateforme automatisée de diffusion et de gestion intelligente de photos lors d’événements, utilisée dans les grandes conférences et mariages haut de gamme.• eCare : Solution IA en santé, facilitant la disponibilité et la traçabilité des médicaments à l’échelle régionale. Présente au Mali, en Côte d’Ivoire et au Nigeria, EWAATI prépare actuellement son expansion vers la Guinée et le Bénin à l’horizon 2026, dans une logique de croissance panafricaine éthique et durable. Contact 📧 infos@ewaati.com🌍 www.ewaati.com📞 +223 71 94 94 19📍 Bamako, Mali

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FUTURE OF LEADERSHIP

Organigramme vs Sociogramme : qui dirige vraiment ? Les entreprises adorent les schémas clairs. Des lignes, des cases, des flèches.Tout semble ordonné : au sommet, ceux qui décident ; en bas, ceux qui exécutent.Mais la réalité du pouvoir est tout autre. Car derrière chaque organisation formelle se cache une autre carte — invisible, mouvante, mais bien plus puissante : le sociogramme.C’est lui qui raconte les vraies connexions, les flux de confiance, d’influence et de coopération. Là où l’organigramme montre la structure, le sociogramme révèle la vie. L’illusion du contrôle Le modèle hiérarchique, hérité du taylorisme, a longtemps servi de boussole : découper, standardiser, mesurer.Mais dans un monde complexe et incertain, ce modèle mécanique atteint ses limites.Les structures verticales freinent l’information, étouffent les initiatives et empêchent les signaux faibles de remonter. On confond souvent ordre et efficacité.Or, les équipes les plus performantes ne sont pas celles où tout est carré, mais celles où les liens informels circulent librement.Ce sont ces liens, invisibles sur le papier, qui font la différence entre une équipe rigide et une équipe vivante. Dès les années 1930, le psychiatre Jacob L. Moreno l’avait compris : les véritables dynamiques d’un groupe ne se trouvent pas dans la colonne des postes, mais dans le maillage des relations humaines. Et le MIT Center for Collective Intelligence l’a confirmé : la performance d’un groupe dépend moins de son QI moyen que de sa qualité d’interaction — écoute, empathie, équité. Lire le réseau invisible Le sociogramme est cette carte du pouvoir réel.Il montre qui influence qui, qui relie les silos, qui reste isolé.Des travaux comme ceux de Wayne W. Zachary ont prouvé que les scissions, les tensions, les alliances suivent souvent ces réseaux affectifs plutôt que les lignes hiérarchiques. Trois lois simples expliquent cette architecture invisible :1. L’homophilie : on se rapproche de ceux qui nous ressemblent.2. La fermeture triadique : les amis de nos amis deviennent nos amis.3. L’attachement préférentiel : plus on est connecté, plus on attire de connexions. Ces forces créent naturellement des hubs d’influence — ces personnes-clés qui n’ont peut-être aucun titre officiel, mais dont la parole, le soutien ou la présence façonnent la culture d’un collectif. Du pouvoir hiérarchique au pouvoir relationnel En 1999, Albert-László Barabási et Réka Albert ont montré que les réseaux réels — sociaux, biologiques, numériques — obéissent à une loi de puissance : quelques nœuds concentrent la majorité des liens.C’est la preuve que le pouvoir relationnel est un phénomène naturel. Dans une organisation, celui qui relie, inspire et fluidifie devient un centre de gravité — parfois sans statut officiel.Le leadership moderne ne se mesure donc plus au nombre de subordonnés, mais à la capacité à connecter les autres. Le leader d’aujourd’hui n’est plus un chef de rang, mais un chef d’orchestre des flux.Il capte les signaux faibles, relie les isolés, entretient la confiance. Le vrai leadership est invisible Les véritables leaders ne dominent pas : ils relient.Ils ne sont pas toujours visibles dans l’organigramme, mais ils sont essentiels dans le sociogramme.Ce sont eux qui maintiennent la cohésion, qui donnent du sens, qui créent le climat émotionnel propice à la performance collective. Comme le dit Simon Sinek : “Le leadership, ce n’est pas occuper une place. C’est relier les autres.” L’organigramme indique qui commande.Le sociogramme, lui, révèle qui compte vraiment.

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Et si le problème n’était pas la Génération Z, mais notre manière de la comprendre ?

By Coach Mariam Inna Méta-description (SEO) :La Génération Z bouscule le monde du travail. Faut-il les changer, ou changer notre manière de manager ? Découvrez pourquoi cette génération nous pousse à repenser nos valeurs, notre autorité et notre rapport à l’exigence. Une génération qui ne veut pas s’adapter à l’ancien monde On a longtemps cherché les clés pour “améliorer” les jeunes.On a voulu leur inculquer nos codes, nos réflexes professionnels, notre rapport au travail. Mais la vérité s’impose : ce n’est pas eux qu’il faut changer, c’est nous.Changer nos croyances, nos habitudes, notre façon de manager. Car accueillir cette génération, c’est aussi savoir poser des limites — et très rapidement.Ils ne demandent pas qu’on les comprenne, ils testent jusqu’où nous pouvons aller. A lire Aussi : De RH à Coach Le parcours de Coach Louise Traoré Guindo, une femme qui a choisi de remettre l’humain au centre Terrassez-les à l’argumentation La Génération Z ne croit plus à l’autorité hiérarchique.Pour eux, tout se discute, tout se justifie.Ils n’obéissent que s’ils sont convaincus. Le rapport de confiance automatique face à l’autorité n’existe plus.Et la raison est simple : ils sont envahis d’informations, ce qui leur donne facilement l’impression d’être des sachants. Même à la maison, il faut désormais expliquer ses décisions. C’est ainsi qu’on les mobilise. Face à eux, le manager doit être solide intellectuellement et techniquement, et le leur prouver.Les demi-mesures, les « parce que c’est comme ça », les ordres sans sens, ne passent plus. Ils veulent comprendre, sinon ils n’obéissent pas.Alors, tenez la joute. Expliquez vos choix, démontrez, structurez vos arguments. Et quand vous sentez qu’ils s’enferment dans la posture du “je sais tout”, confrontez-les :avec des faits, des conséquences, du réel. Imposez-vous par la clarté, pas par le ton.S’ils vous respectent, ils vous suivront.S’ils sentent du flou, ils vous testeront sans fin. Mettez-les au rendement Beaucoup d’entre eux parlent d’équilibre, de sens, de liberté.Mais derrière ces mots, il y a parfois un grand malentendu : le travail reste une école de responsabilité. Leur défi, c’est d’apprendre que la liberté sans effort devient paresse, et que la quête de sens sans engagement devient fuite. Oui, ils sont connectés, rapides, créatifs.Mais souvent, ils manquent de résilience, de patience et de lucidité sur leurs propres limites. Et c’est à nous, managers, de les aider à se regarder en face.Il faut des contrats à la tâche, au rendement, des objectifs clairs et mesurables. A lire Aussi : L’intelligence émotionnelle la compétence clé des managers leaders inspirants Une manière très claire de leur “mettre le nez dans le cambouis” en cas d’échec.C’est aussi la culture de leur époque : Action / Récompense. Rappelons-leur que tout n’est pas “toxique” dès que cela devient exigeant.Faisons-leur comprendre que le monde professionnel n’est pas un espace thérapeutique, mais un lieu d’apprentissage, de confrontation et de croissance. Soyons des miroirs exigeants, pas des mentors complaisants. Lâchez-les, car ils vous lâcheront — et sans état d’âme On ne retient pas ceux qui refusent l’effort.Et il faut parfois avoir le courage de le dire : certains ne veulent pas apprendre les règles de l’organisation. Si malgré vos explications, vos feedbacks et vos tentatives de sens, rien ne passe… lâchez.Car tôt ou tard, ce sont eux qui vous lâcheront : pour un poste “plus flexible”, un environnement “plus bienveillant”, ou simplement parce qu’ils s’ennuient. Ils n’ont pas le même rapport à la reconnaissance que nous.Alors, ne culpabilisez pas.Le taux de turnover explosera… c’est ainsi.On reverra nos moyennes générales. L’erreur serait de tout réinventer pour les garder.L’organisation doit s’adapter, mais eux aussi.La responsabilité doit être partagée : nous évoluons, mais ils doivent s’élever. Conclusion : l’exigence n’est pas un manque d’amour On peut accueillir la nouveauté sans renoncer à la rigueur.La Génération Z nous oblige à clarifier nos valeurs et à incarner ce que nous demandons. Mais elle doit, elle aussi, apprendre que l’exigence n’est pas un manque d’amour :c’est la condition même du respect mutuel. A lire Aussi : Le Coaching un métier, une science, une mission de vie À retenir À propos de Coach Mariam Inna Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Créer une Société au Mali et dans l’Espace OHADA : Ce qu’il Faut Savoir sur le Capital Social

Beaucoup abandonnent leur rêve d’entreprendre à cause d’un simple malentendu sur… le capital social.Vous souhaitez créer votre société ? Et vous vous demandez :« Combien dois-je bloquer pour pouvoir la créer ? » Stop. Respirez. On vous a mal expliqué les choses. La vérité (que peu de gens savent) Le capital social, ce n’est pas un argent bloqué, ni une somme versée à l’État, ni un « sacrifice » à fonds perdu. C’est votre argent, celui de votre société, que vous déposez temporairement à la banque.Et dès que votre RCCM est délivré, vous pouvez le retirer pour financer vos premières dépenses :• votre local,• votre matériel,• ou encore votre communication. Ce que dit la loi dans l’espace OHADA L’espace OHADA regroupe 17 pays, dont le Mali.Les 5 formes de sociétés reconnues sont : SARL, SAS, SA, SNC et SCS. À l’exception de la SA, le capital minimum est librement fixé par les associés. Autrement dit, vous pouvez créer une société même avec 10 000 F CFA. Mais attention : Un capital trop faible, c’est comme un costume mal taillé — il n’inspire pas confiance. Dans la pratique, il est conseillé de démarrer avec 500 000 à 1 000 000 F CFA.Pas pour faire joli, mais pour être crédible, respecté et attractif aux yeux des partenaires, clients et banques. Le capital social : une frontière entre vous et votre société Lorsque vous créez une société, vous séparez deux patrimoines distincts : Cela signifie que si votre entreprise rencontre des difficultés, vos biens personnels restent protégés (sauf faute de mauvaise gestion). C’est l’un des plus grands avantages juridiques de la création d’une société. Vous n’êtes plus confondu avec votre activité : vous devenez propriétaire d’une entité indépendante, avec sa propre identité légale. À retenir Créer une société, ce n’est pas juste remplir des formalités.C’est poser les bases d’une entreprise solide, crédible et protégée. À propos de l’auteur Je suis Ibrahim MANGASSOUBA, consultant comptable & fiscal.J’accompagne les entrepreneurs et porteurs de projets à :• Choisir la forme juridique adaptée à leurs activités (SARL, SAS, SA, etc.)• Fixer un capital stratégique et crédible• Comprendre les règles OHADA et la séparation patrimoniale pour créer des entreprises durables et performantes. Écrivez-moi dès maintenant pour un accompagnement gratuit et sur mesure :+223 83 77 92 14ibrahimmangassouba2020@gmail.com Ne laissez pas la peur du capital vous bloquer. Ce n’est pas l’argent qui fait l’entreprise, c’est la vision bien structurée. À venir : Société unipersonnelle vs Société pluripersonnelle dans l’espace OHADA — quelles différences ? Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Akim Soul (Ibrahim Guindo) : L’artisan d’une Afrique qui ose, crée et impacte

Dans l’effervescence créative de Bamako, un homme trace son sillon avec une conviction rare : celle que la mode, la culture et la communication peuvent transformer les destins. Ibrahim Guindo, plus connu sous le nom d’Akim Soul, n’est pas seulement un entrepreneur – il est un visionnaire, un rassembleur, et un bâtisseur. Du génie civil à l’ingénierie culturelle Si ses débuts académiques s’ancraient dans le génie civil, c’est dans le génie humain qu’Akim Soul a trouvé sa véritable vocation. Depuis 2017, il dirige AS Agency, une structure agile et audacieuse qu’il a fondée et qui fédère aujourd’hui des projets majeurs dans l’écosystème créatif malien et au-delà. Quand la passion devient legacy En huit ans, Akim Soul a su transformer une aspiration en une véritable architecture d’initiatives structurantes : le Mali Mode Show, le Forum de la mode et du design de Bamako, les Journées de la Création, ou encore Mali Mode Académie. Autant de plateformes qui professionnalisent, valorisent et révèlent les talents émergents. Découvrez également : COMISSMA, Une Étoile Montante de l’Entrepreneuriat Féminin au Mali « Monsieur Communication, Maestro de la Mode, Akim Bamako »… Autant de surnoms qui, s’ils le font sourire, racontent une aventure bien réelle : celle d’un passionné qui a su allier stratégie et créativité pour faire bouger les lignes. Un leadership ancré dans le terrain et les institutions Son parcours impressionnant mêle expériences associatives, collaborations internationales – comme à l’Ambassade de France au Mali – et direction d’événements d’envergure, à l’image de MISS ORTM 2023, qu’il a porté avec engagement malgré un contexte complexe. « Malgré les contraintes diverses, le contexte socio-économique, politique, les contraintes techniques, nous nous sommes engagés à vous offrir une édition de qualité avec les ressources disponibles », écrivait-il en décembre 2022. Une philosophie : avancer, coûte que coûte, avec les moyens du bord, mais avec une ambition sans limite. Découvrez également : DJASTICE DESIGN : L’Excellence du Design et de la Décoration Intérieure Plus qu’un entrepreneur, un inspireur Akim Soul incarne une nouvelle génération de leaders africains : ancrés localement, ouverts sur le monde, et déterminés à allier impact social et innovation. Sa devise ? « Fusionner la communication, la culture et le potentiel humain pour IMPACTER ». Aujourd’hui, avec plus de 52 000 followers, des centaines de relations professionnelles et plusieurs projets en simultané, il continue d’écrire, pas à pas, une success story malienne – une histoire de patience, de résilience, et de foi inébranlable en l’avenir. L’aventure ne fait que commencer. Car derrière chaque réalisation se cache un rêve plus grand : celui d’une Afrique créative, entrepreneurale et durable, où chaque talent a sa place, sa voix, et son tremplin. Merci, Akim Soul, de nous rappeler que la plus belle mode est celle qui se vit avec âme. Inspiré par le parcours d’Ibrahim Guindo, septembre 2024. Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Le Coaching : un métier, une science, une mission de vie

Par Coach Mariam Inna Je suis toujours étonnée de voir, après tant d’années, que le débat autour du coaching reste encore d’actualité.On se pose encore les mêmes questions :• Est-ce un véritable métier ?• Faut-il une formation pour devenir coach ?• Est-ce que cela demande un diplôme ? Et pourtant, depuis plus de dix ans, j’en parle, j’écris, j’explique, je forme, je partage. J’ai parfois cessé de donner des précisions, pensant que le message était déjà bien compris. Mais visiblement, il reste encore du chemin à parcourir… Le coaching n’est pas du bavardage motivant Beaucoup confondent encore le coaching avec le simple partage d’expérience ou le conseil inspirant.Certains pensent que le coach est juste une personne qui a réussi et qui raconte son parcours. D’autres l’associent à un grand orateur capable de galvaniser les foules avec de belles paroles. Mais la réalité est toute autre. « Quand tu donnes un conseil, tu n’es plus dans le coaching. »C’est la première phrase que tout élève apprend à l’école de coaching. Le conseil part de l’expérience personnelle de celui qui parle : son vécu, son environnement, ses ressources, ses défis. Or, chaque être humain est unique. Ce qui a fonctionné pour l’un peut être totalement inefficace pour l’autre. Celui qui conseille, c’est un mentor — pas un coach. Le cœur du coaching : l’écoute et l’accompagnement Le coaching, c’est avant tout l’écoute profonde.Le coach écoute non seulement avec ses oreilles, mais aussi avec ses yeux, son intuition et toute son attention. Il n’a pas besoin d’être un excellent orateur ni un animateur de scène.Ce qui compte, c’est sa capacité à créer un espace de confiance, d’exploration et de transformation. Le coaching est une méthode d’accompagnement personnalisé visant à améliorer les performances, les résultats et le bien-être d’un individu, d’un groupe ou d’une organisation. Il agit sur :• le développement des connaissances et des ressources,• l’optimisation des processus internes,• l’amélioration de la performance globale. Il s’appuie sur deux sciences fondamentales :• La psychologie, pour comprendre l’humain et les organisations,• Les neurosciences, pour ancrer les comportements durables. Son lien avec le développement personnel n’est pas d’identité mais de conséquence. Le coaching, une science de l’humain Le vrai coach construit son accompagnement non pas sur sa propre histoire, mais sur la personne accompagnée :son environnement, ses croyances, ses compétences, ses valeurs, son identité et le sens qu’elle donne à sa vie. Parce que la vie est précieuse et la science humaine complexe, il est essentiel de faire appel à un professionnel formé.Un accompagnement amateur peut créer des biais cognitifs dangereux, entretenir des illusions ou renforcer des mécanismes de défense inconscients hérités du passé. C’est pour éviter cela que le coaching repose sur :• une formation solide,• une posture bienveillante,• un engagement à la neutralité,• et une obligation absolue de confidentialité. Le vrai coach, au-delà du mot Je ne suis pas choquée d’entendre certaines personnes se faire appeler « coach ».Le mot est aujourd’hui galvaudé, au point que certains de mes collègues refusent même de s’en revendiquer.Mais sur le terrain, nous savons faire la différence. Je suis coach, parce que c’est ma formation, mon métier, ma compétence et ma mission de vie.Et quand il s’agit de résultats concrets, les gens savent à qui s’adresser. Entre show et transformation Bien sûr, il y aura toujours des personnes qui préfèrent le show, la distraction ou les belles phrases qui flattent l’ego.D’autres chercheront une motivation ponctuelle sans réelle intention d’agir. Mais pour celles et ceux qui veulent se transformer, évoluer, se dépasser,nous, les coachs professionnels, nous sommes là. À mes collègues : faisons du bruit, car notre métier change des vies. À propos de Coach Mariam Inna Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo #Sirasurun #Billeterie WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Ensemble contre le cancer : Octobre Rose, un mois de mobilisation et d’espoir au Mali avec la COMISSMA

En ce mois d’octobre, le rose n’est pas seulement une couleur. Il est le symbole d’un combat, d’une solidarité et d’un engagement sans faille en faveur de la santé des femmes. Sous l’impulsion de Kandia Dembélé promotrice de COMISSMA (Comité des Miss du Mali) et avec le soutien précieux de la Ministre de la Santé et du Développement Social, le Médecin Colonel Major Assa Badiallo Touré, la deuxième édition du tournoi « Octobre Rose » bat son plein. L’objectif est clair et fédérateur : « Tous engagés pour un Mali sans cancer du sein et du col de l’utérus ». Une campagne qui rassemble et qui sensibilise Du 1er au 31 octobre, les initiatives se multiplient pour toucher un large public. Au programme de cette édition : des séances de dépistage gratuit, un tournoi de football et même un bras de fer, organisés sur le terrain Appolo de Badalabougou. Autant d’occasions de rassembler la communauté autour d’un enjeu de santé publique majeur, dans une ambiance à la fois sportive et solidaire. Ces activités, soigneusement planifiées et portées par des responsables dévoués, visent à briser les tabous, informer sur l’importance du dépistage précoce et faciliter l’accès aux soins. Car derrière chaque chiffre, chaque match et chaque consultation, il y a des vies qui peuvent être sauvées. Un engagement au plus haut niveau Le haut patronage de la Ministre de la Santé, le Médecin Colonel Assa Badiallo Touré, est un signal fort. Il témoigne de la priorité accordée à ce combat par les plus hautes instances et rappelle que la lutte contre le cancer est une responsabilité collective. Sa présence honore cette campagne et renforce son impact. Un message d’espoir et un appel à l’action Ces affiches, vibrantes et informatives, sont bien plus que de simples annonces. Elles sont une invitation à ne pas rester spectateur. Elles rappellent que le cancer du sein et du col de l’utérus peuvent être vaincus si l’on agit à temps. Elles appellent chaque femme, chaque fille, chaque homme et chaque enfant à devenir un relais d’information et de soutien. Le numéro Infoline (+223 71 78 27 80 / 73 39 51 96) est un lien direct vers l’aide et l’information, un filet de sécurité pour celles qui hésitent ou qui ont des questions. Octobre Rose au Mali, c’est donc bien plus qu’un mois de sensibilisation. C’est un mouvement populaire et institutionnel qui donne de l’espoir. C’est la preuve que, main dans la main, il est possible de construire un avenir où la santé des femmes n’est plus une fatalité, mais une priorité nationale partagée. Rejoignons le mouvement. Parlons-en. Faisons-nous dépister. Soutenons les femmes. Parce que chaque vie compte. Ensemble, unissons nos forces pour faire de cette édition 2025 un événement inclusif, inspirant et porteur de changement, au service de la santé des femmes et de l’éveil citoyen. octobre #Comissma #Sirasurun #Wilikijo #octobrerose #octobrerosetoutelannée #Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali

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