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12 techniques de vente puissantes pour booster vos performances commerciales

Dans un monde où le digital transforme les habitudes d’achat, les techniques de vente traditionnelles ne suffisent plus. Aujourd’hui, vendre exige méthode, stratégie et compréhension fine du client. Que vous soyez commercial débutant ou expérimenté, ces 12 techniques incontournables vous permettront de structurer vos échanges, d’optimiser votre discours et de conclure plus efficacement vos ventes. Voici les 12 méthodes à connaître et à utiliser sans modération : 1. CAB : des arguments percutants en trois temps La méthode CAB vous permet de construire un pitch efficace, court et convaincant. L’idée est de présenter :• Caractéristiques du produit• Avantages (comparé à la concurrence)• Bénéfices pour le client Objectif : ne pas vendre un produit, mais une solution concrète à un problème réel. Par exemple, un outil RH n’est pas juste “pratique”, il permet de gagner du temps, d’économiser de l’argent et de recruter plus vite. 2. BEBEDC : maîtriser la découverte client La méthode BEBEDC vous aide à qualifier une opportunité :• Besoin• Enjeu• Budget• Echéance• Décideurs• Compétiteurs Objectif : comprendre l’environnement de votre client, son pouvoir de décision, les freins potentiels et les autres offres en concurrence. 3. CAP SONCAS : l’art d’adapter son argumentaire Combinez la méthode CAP (Caractéristiques – Avantages – Preuves) avec SONCAS, une grille psychologique des motivations d’achat :• Sécurité• Orgueil• Nouveauté• Confort• Argent• Sympathie Objectif : découvrir ce qui pousse vraiment votre client à agir, pour personnaliser chaque argument. 4. SPIN Selling : vendre par l’écoute Inspirée par Neil Rackham, cette méthode repose sur le questionnement :• Situation• Problèmes• Implication• Need-Payoff (bénéfices à obtenir) Objectif : aider le client à prendre conscience de ses besoins, pour l’amener naturellement vers votre solution. ###5. SPANCO : transformer les suspects en clients Développée par Xerox, cette méthode guide le cycle de vente :• Suspect• Prospect• Analyse• Négociation• Conclusion• Ordre Objectif : structurer votre processus commercial pour optimiser la transformation. 6. Les 4C : réussir ses entretiens commerciaux Pour chaque rendez-vous :• Contact : soignez la première impression• Connaître : écoute active, questions ouvertes• Convaincre : arguments ciblés• Conclure : rester confiant jusqu’à la signature Objectif : créer une relation de confiance du début à la fin. 7. BATNA / MESORE : négociez avec une issue gagnante Inspirée de la négociation stratégique, cette méthode repose sur la meilleure solution de repli. Préparez toujours une alternative crédible si l’accord échoue. Objectif : négocier sans pression, avec un plan B solide. 8. SNAP Selling : convaincre les clients pressés Le client moderne est occupé et difficile à capter. Le SNAP Selling vous pousse à aller droit au but :• Simple• Noteworthy (inestimable)• Aligné• Prioritaire Objectif : influencer subtilement la décision en valorisant la simplicité et l’utilité. 9. SIMAC : vendre avec logique et clarté Méthode en 5 étapes :• Situation• Idée• Mécanisme• Avantages• Conclusion Objectif : capter l’attention, prouver l’efficacité, et conclure. 10. ABM (Account-Based Marketing) : visez les gros clients Stratégie marketing orientée B2B, l’ABM se concentre sur les comptes à fort potentiel. En ciblant moins de clients, mais avec plus de précision, on améliore le taux de conversion. Objectif : maximiser le ROI en personnalisant le parcours d’achat. 11. Customer Centric Selling : vendre en partant du client Ici, tout part des besoins du client. Posez les bonnes questions, écoutez activement, et construisez une offre adaptée. Objectif : créer une relation durable, plus qu’un simple acte d’achat. 12. Challenger Sale : bousculer pour mieux convaincre Le Challenger n’attend pas que le client sache ce qu’il veut. Il guide, éduque et provoque la réflexion :1. Identifier les besoins2. Révéler un problème caché3. Créer un impact émotionnel4. Proposer une solution claire et applicable Objectif : prendre le contrôle de l’échange pour démontrer votre valeur. Alors, quelle méthode est faite pour vous ? Vendre ne s’improvise plus. Ces 12 techniques ne sont pas à apprendre par cœur, mais à maîtriser, adapter et tester au fil des rendez-vous. Elles vous permettront d’améliorer votre discours commercial, de mieux comprendre vos clients, et surtout, d’atteindre vos objectifs de vente plus rapidement et plus durablement. Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Comprendre la gestion de la paie et des bulletins de salaire au Mali

La gestion de la paie est un processus fondamental dans la relation employeur-employé. Elle regroupe l’ensemble des techniques et procédures mises en place pour calculer et traiter les éléments de rémunération des travailleurs, tout en respectant les obligations légales en vigueur. Qu’est-ce que la paie ? La paie couvre non seulement la rémunération versée à un employé, mais aussi les cotisations sociales, fiscales et autres obligations réglementaires qui y sont liées. Le document central de ce processus est le bulletin de paie, qui sert de justificatif des sommes perçues par l’employé après déduction des charges sociales et fiscales. Le bulletin de paie : structure et contenu Bien qu’il n’existe pas de modèle unique, le bulletin de paie doit comporter des mentions obligatoires pour garantir la transparence et la légalité du traitement salarial. 1. Informations sur l’employeur• Raison sociale ou nom de l’entreprise• Adresse ou siège social 2. Informations sur l’employé• Nom et adresse• Numéro de sécurité sociale• Poste occupé et catégorie socio-professionnelle• Date d’embauche• Période de rémunération 3. Détail de la rémunération brute• Salaire de base• Heures supplémentaires : au Mali, les heures légales sont fixées à 40 heures par semaine, soit 173,33 heures par mois. Les heures effectuées au-delà sont rémunérées avec une majoration allant de 10 % à 100 %, selon le jour et le nombre d’heures.• Primes et gratifications (en lien avec la performance ou d’autres critères)• Indemnités diverses• Avantages en nature : logement, transport, repas, gardiennage, etc. 4. Détail des déductions a. Cotisations sociales Au Mali, deux régimes principaux s’appliquent :• INPS (Institut National de Prévoyance Sociale) : couvre les retraites, arrêts maladie, invalidité, accidents de travail.• AMO (Assurance Maladie Obligatoire) : gérée par la CANAM, elle couvre les frais de santé. Répartition des cotisations :• Employeur : INPS (de 16,4 % à 20,4 % selon le secteur) + AMO (3,5 %)• Employé : INPS (3,6 %) + AMO (3,06 %) Base de calcul sociale :Salaire brut – éléments non soumis à l’INPS (ex. indemnités de transport, de risque, de déménagement, etc.) b. Cotisation fiscale (Impôt sur les traitements et salaires – ITS) L’ITS est la seule charge fiscale supportée directement par l’employé. Calcul de la base ITS :Salaire brut total – (cotisation INPS de l’employé + éléments exonérés) Éléments exonérés : indemnités de monture, de déménagement, de dépaysement, de risque, etc. Indemnité de dépaysement :Calculée sur une base de 15 % du salaire brut total après exonérations. c. Charges fiscales de l’employeur• CFE (Contribution Forfaitaire de l’Employeur) : 3,5 % du salaire brut total• TL (Taxe Logement) : 1 % du salaire brut total Ces contributions sont exclusivement à la charge de l’employeur. À noter que les stagiaires et certains employés licenciés pour motifs économiques sont exonérés de la CFE. Congés payés et indemnités Au Mali, tout salarié acquiert 2,5 jours ouvrables de congés payés par mois, soit 30 jours par an. En cas de départ de l’entreprise, les congés non pris sont indemnisés conformément aux dispositions du Code du travail ou des conventions collectives. Cadre juridique du bulletin de salaire au Mali Références légales• Code du travail• Textes réglementaires et circulaires en vigueur Obligations de l’employeur• Fournir un bulletin de paie clair, détaillé et compréhensible• Respecter les délais de paiement• Informer l’employé sur ses droits et obligations Mentions obligatoires sur le bulletin• Identité de l’employeur et de l’employé• Date de paiement et période concernée• Salaire brut, primes, heures supplémentaires• Cotisations sociales et fiscales• Net à payer Conclusion La gestion de la paie est une mission sensible qui demande rigueur, précision et connaissance des obligations légales. Au-delà de la simple rémunération, elle reflète la transparence, la conformité et la responsabilité de l’employeur vis-à-vis de ses collaborateurs et des administrations. Un bulletin de paie bien élaboré garantit non seulement les droits des salariés, mais protège également l’employeur en cas de contrôle. Auteur : MANGASSOUBA Ibrahim – Consultant Formateur en Fiscalité d’EntrepriseContact : ibrahimmangassouba2020@gmail.com Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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6. Les Obligations Comptables Selon le Système Fiscal Malien

Au Mali, la tenue d’une comptabilité est une obligation légale pour toute entreprise imposable. Cette exigence est encadrée par le système fiscal national et les normes comptables de l’OHADA (Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires), qui régissent les pratiques comptables dans les États membres. Les régimes fiscaux en vigueur Le système fiscal malien distingue principalement deux régimes d’imposition :1. Le régime synthétique2. Le régime réel d’imposition Selon le régime applicable, les obligations comptables varient, mais toutes les entreprises doivent se conformer aux dispositions de l’Acte Uniforme relatif au Droit Comptable et à l’Information Financière (AUDCIF) de l’OHADA. Les obligations communes Toutes les entreprises assujetties à une obligation de comptabilité doivent tenir leurs comptes conformément aux règles définies dans l’AUDCIF. L’article 19 de cet acte énumère les livres et documents comptables obligatoires :• Le journal• Le grand livre• La balance des comptes• Le livre d’inventaire, incluant le résumé d’inventaire et les états financiers Ces documents doivent être appuyés de pièces justificatives, et conservés pendant au moins 10 ans, afin de permettre tout contrôle fiscal. Obligations spécifiques selon le régime fiscal 1. Les entreprises au régime synthétique Les entreprises relevant du régime synthétique sont tenues de tenir une comptabilité simplifiée, basée sur le Système Minimal de Trésorerie (SMT) défini par l’AUDCIF. Elles doivent ainsi disposer de :• Un registre ou tableau de ventes et de dépenses, soutenu par les pièces justificatives• Des états financiers simplifiés, comprenant :• Un bilan simplifié• Un compte de résultat simplifié• Quatre notes annexes 2. Les entreprises au régime du bénéfice réel Les entreprises soumises au régime réel d’imposition doivent tenir une comptabilité d’engagement, c’est-à-dire une comptabilité qui prend en compte non seulement les règlements effectués mais aussi les engagements pris. Elles doivent produire :• Les états financiers du système normal de l’AUDCIF :• Le bilan• Le compte de résultat• Le tableau des flux de trésorerie• Les notes annexes• Un état des prestataires et salariés ayant travaillé durant l’année• Un état des clients et fournisseurs• La liste des bénéficiaires effectifs des fonds propres (généralement les associés ou actionnaires) A Retenir Le respect des obligations comptables est étroitement lié au régime fiscal choisi. Que l’entreprise soit soumise au régime synthétique ou au régime réel, la rigueur dans la tenue comptable est essentielle pour garantir la conformité fiscale et éviter les sanctions. Les pièces justificatives et documents comptables doivent être conservés durant une période minimale de dix ans pour répondre aux éventuelles vérifications de l’administration fiscale. Auteur : MANGASSOUBA Ibrahim – Consultant Formateur en Fiscalité d’EntrepriseContact : ibrahimmangassouba2020@gmail.com Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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5. Entrepreneur débutant ou aspirant entrepreneur : Les premiers pas administratifs et comptables des entreprises maliennes

Créer une entreprise au Mali nécessite le respect d’un certain nombre de formalités administratives, fiscales et comptables. Ces démarches sont essentielles pour assurer une gestion saine et légale de l’activité. Voici les principales étapes à suivre pour bien démarrer. 1. Immatriculation, fiscalité de départ et ouverture de compte bancaire Immatriculation au RCCM Toute entreprise souhaitant exercer légalement une activité au Mali doit être inscrite au Registre du Commerce et du Crédit Mobilier (RCCM). Cette immatriculation constitue l’acte de naissance juridique de l’entreprise, lui conférant une personnalité morale distincte de celle de ses fondateurs. La démarche peut être effectuée :• Auprès du Guichet Unique de l’Agence pour la Promotion des Investissements (API-Mali),• Ou directement au Tribunal de Commerce, par l’intermédiaire d’un notaire. Les documents généralement requis :• Statuts de la société (pour les formes sociétaires),• Pièces d’identité des fondateurs,• Adresse du siège social,• Capital social (pour les sociétés),• Certificat de résidence,• Casier judiciaire ou déclaration sur l’honneur,• Certificat de nationalité (pour les entreprises individuelles),• Autorisation d’exercice (pour les secteurs réglementés comme les BTP ou l’enseignement). Remarque : Le certificat d’immatriculation au NINA (Numéro d’Identification Nationale) est automatiquement délivré après l’insertion au RCCM. Obtention du NIF (Numéro d’Identification Fiscale) Dans les 10 jours suivant l’immatriculation au RCCM, l’entreprise doit effectuer une déclaration d’existence auprès de la Direction Générale des Impôts (DGI), en vue d’obtenir son Certificat d’Immatriculation Fiscale et son NIF. Ce numéro fiscal est obligatoire pour :• Accomplir ses obligations fiscales,• Émettre des documents légaux (factures, contrats…),• Être reconnu par l’administration. Important : La déclaration fiscale devient obligatoire dès la délivrance du NIF. Choix du régime fiscal de départ Le régime fiscal dépend du chiffre d’affaires estimé et de la nature de l’activité. On distingue principalement deux régimes :• Régime réel : destiné aux PME et grandes entreprises bien structurées.• Régime synthétique : adapté aux Très Petites Entreprises (TPE) dont le chiffre d’affaires annuel est inférieur à 50 millions FCFA, hors professions libérales. Le choix du régime fiscal est stratégique car il détermine :• Le mode d’imposition,• Le niveau de formalisation requis,• Les relations avec les clients, fournisseurs, et l’administration fiscale. Ouverture d’un compte bancaire professionnel L’ouverture d’un compte bancaire au nom de l’entreprise est fortement recommandée, voire indispensable, pour toute entreprise légalement constituée. Avantages :• Séparation claire entre finances personnelles et professionnelles,• Crédibilité vis-à-vis des partenaires,• Base indispensable pour toute recherche de financement futur. Une entreprise sans compte bancaire fonctionne à l’aveugle et compromet sa pérennité. 2. Tenue de la comptabilité selon le SYSCOHADA La comptabilité est bien plus qu’une obligation légale. C’est un outil de pilotage essentiel pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Systèmes comptables recommandés Au Mali, deux régimes comptables sont prévus selon la taille de l’entreprise :• Régime normal : pour les entreprises structurées,• Régime minimal : pour les TPE et certaines PME. Documents comptables à tenir L’entreprise doit produire et conserver :• Le livre-journal,• Le grand livre,• Le livre d’inventaire,• Les états financiers annuels : bilan, compte de résultat, tableau de flux de trésorerie, et annexes. Outils de gestion comptable• Tableurs Excel adaptés,• Logiciels comptables,• Ou recours à un expert-comptable ou un cabinet externe. 3. Conseils pratiques pour rester en conformité Voici quelques bonnes pratiques pour une gestion efficace et conforme aux exigences légales :• Conserver toutes les pièces justificatives : factures, reçus, relevés bancaires (pendant au moins 10 ans).• Suivre quotidiennement la trésorerie : encaissements et décaissements.• Respecter le calendrier fiscal : déclarer les taxes et impôts comme la TVA, ITS, CFE, TL, retenues à la source, patente, IS/IBIC…• Réaliser un inventaire annuel : pour connaître l’état réel des actifs et des dettes.• Maintenir un dossier administratif à jour : RCCM, NIF, statuts, contrats, décisions d’assemblée, dossiers du personnel, etc. En conclusion Lancer une entreprise au Mali demande rigueur et anticipation. La maîtrise des obligations administratives, fiscales et comptables dès le départ permet d’éviter de nombreux pièges.Et surtout, une idée d’entreprise bien structurée est la clé pour atteindre ses objectifs à moyen et long terme. Auteur : MANGASSOUBA Ibrahim – Consultant Formateur en Fiscalité d’EntrepriseContact : ibrahimmangassouba2020@gmail.com #Apimali #dépassementdesoi, #courage, #résilience #Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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100 Millions de Chiffre d’Affaires ne font pas de toi un entrepreneur solide

Ce n’est pas parce que ton entreprise a encaissé 100 millions de F CFA de chiffre d’affaires que tu peux te permettre de puiser dedans sans réfléchir.La réalité des chiffres est tout autre, et elle peut être brutale si tu ne la maîtrises pas. Laisse-moi te montrer concrètement ce que signifie réellement ce fameux chiffre d’affaires. Les apparences sont trompeuses Tu as vendu pour 100.000.000 F CFA. Bravo, c’est ton Chiffre d’Affaires (C.A.). Mais attention : rien n’a encore été gagné. Pour atteindre ce chiffre, tu as dû acheter des marchandises, payer des fournisseurs, des matières premières, etc. Coût total des achats : 65.000.000 F CFA. Ce qui te laisse une marge commerciale de : 100M – 65M = 35.000.000 F CFA, soit 35 % de ton chiffre d’affaires.Pas mal, mais ce n’est toujours pas ton bénéfice. Les charges fixes ne pardonnent pas Ensuite, viennent les frais généraux : loyer, électricité, abonnements, transport, etc.Même sans vendre, tu dois les assumer. Disons que tes charges fixes s’élèvent à 5.000.000 F CFA. 35M – 5M = 30.000.000 F CFA.C’est ta Valeur Ajoutée, c’est-à-dire ce que tu as vraiment injecté dans l’économie du pays. Les charges sociales et fiscales entrent en jeu Tu dois encore payer les salaires, impôts, CNSS, patente, etc.On estime ces charges à 10.000.000 F CFA. 30M – 10M = 20.000.000 F CFA.C’est ton Excédent Brut d’Exploitation (EBE), ton résultat brut d’exploitation. Et l’usure de ton matériel ? Ton entreprise fonctionne grâce à des équipements, des véhicules, des machines…Et ces biens perdent de la valeur : c’est ce qu’on appelle l’amortissement. Prévoir un remplacement, c’est une nécessité : disons 5.000.000 F CFA par an. 20M – 5M = 15.000.000 F CFA.C’est ton Résultat d’Exploitation (REX). Et les dettes ? Tu as contracté un crédit ou fait entrer un investisseur ? Il y a des intérêts à rembourser, évalués à 2.000.000 F CFA. 15M – 2M = 13.000.000 F CFA.C’est ton Résultat avant impôts. L’État prend sa part L’impôt sur les sociétés est de 33 %, soit 4.290.000 F CFA. 13M – 4.29M = 8.710.000 F CFA.C’est ton Résultat Net, ton vrai bénéfice disponible. Mais souviens-toi : l’amortissement de 5M n’est pas une sortie d’argent, c’est une forme d’épargne. Donc, ta Capacité d’Autofinancement (CAF) est : 8.71M + 5M = 13.710.000 F CFA RÉSUMÉ DES CHIFFRES : Et maintenant, le piège… Tu vois que “le compte est plein” et tu décides de te faire plaisir. Tu retires 3 fois 5.000.000 F CFA, soit 15M F CFA, de la caisse pour “vivre un peu”… Tu viens de retirer plus que ton bénéfice réel.Tu as dépouillé ton entreprise. Et tu t’étonnes ensuite qu’elle n’avance pas ?En vérité, tu ne pouvais retirer que 5 millions dans les 8 millions de bénéfice net, pour rester viable. Le pire ?Souvent, tu ne fais même pas ces calculs.Tu encaisses 100 millions, tu enlèves les achats, salaires, fournisseurs, et ce qui reste, tu crois que c’est ton bénéfice… C’est naïf. Et après, tu cries : “Les banques ne soutiennent pas les jeunes”,“Les gens ne croient pas en nous”… Non, frère.Tu as juste confondu ta poche avec celle de ton entreprise. MORALITÉ ENTREPRENEURIALE #Wilikijo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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La Comptabilité des Entreprises : Un Pilier Indispensable pour une gestion rigoureuse et optimale de vos ressources (financières, humaines ou matérielles).

Introduction La comptabilité des entreprises, connue sous différents types, reste un pilier indispensable pour une gestion rigoureuse et optimale des ressources (financières, humaines ou matérielles). Comme le dit si bien l’adage : « Rien ne s’améliore, s’il ne se mesure pas ». Qu’est-ce que la Comptabilité ? La comptabilité est un système d’organisation et de traitement des flux, permettant d’obtenir un rapport de synthèse (états financiers, états budgétaires ou états analytiques). De cette définition, nous pouvons lister plusieurs types de comptabilité : La Comptabilité Financière : La Vitrine de l’Entreprise La comptabilité financière est la plus importante, car elle est obligatoire et rigoureuse. Contrairement à d’autres types de comptabilité ou fonctions de l’entreprise (comme le service commercial), elle est régie par des normes et règles bien définies. Ainsi, il faut retenir que la comptabilité générale est un système normalisé, variant selon les pays ou zones économiques. Le Rôle de l’OHADA dans la Comptabilité des Entreprises En matière de droit des affaires, l’OHADA (Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires) est l’organe chargé d’assurer la sécurité juridique et judiciaire dans les espaces UEMOA et CEMAC. L’OHADA a mis en place son propre système comptable, indépendant des autres normes internationales. Toute entreprise exerçant dans ses 17 pays membres (dont le Mali) doit se conformer à ses règles. Actuellement, deux normes principales régissent la comptabilité dans cet espace : Les Deux Systèmes Comptables de l’AUDCIF L’AUDCIF a défini deux systèmes comptables adaptés aux différentes tailles d’entreprises : 1. Comptabilité de Trésorerie 2. Comptabilité d’Engagement La comptabilité est un outil indispensable, aussi bien en interne (pour la gestion) qu’en externe (État, banques, clients). Sa finalité principale est la production des états de synthèse : États de synthèse ou états financiers ? C’est là l’une des finalités de la comptabilité financière ! Auteur : MANGASSOUBA Ibrahim – Consultant Formateur en Fiscalité d’EntrepriseContact : ibrahimmangassouba2020@gmail.com

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Tim Cook – Chef d’entreprise | Biographie, parcours…

Un parcours exemplaire, de l’Alabama à la Silicon Valley. Né le 1er novembre 1960 à Mobile, en Alabama, Timothy D. Cook a grandi dans la petite ville de Robertsdale, où son père travaillait dans un chantier naval et sa mère dans une pharmacie. Aujourd’hui, il est le PDG d’Apple, une entreprise qu’il a contribué à transformer en un géant mondial de la technologie. Études et ascension professionnelle Diplômé en ingénierie industrielle de l’Université Auburn en 1982, puis titulaire d’un MBA de la Fuqua School of Business (Duke University) en 1988, Cook a d’abord fait ses armes chez IBM, où il a gravi les échelons pendant 12 ans. Il y a occupé des postes clés, dont celui de directeur de la gestion des opérations en Amérique du Nord. En 1994, il rejoint Intelligent Electronics en tant que COO, puis devient vice-président des matériaux d’entreprise chez Compaq en 1997. Malgré le succès de Compaq, il fait un choix audacieux : quitter l’entreprise après seulement six mois pour rejoindre Apple, alors en difficulté. Le sauveur silencieux d’Apple La renaissance sous Steve Jobs En 1998, Tim Cook entre chez Apple en tant que Senior Vice President des opérations mondiales, sous la direction de Steve Jobs. Sa mission ? Restructurer une entreprise au bord de la faillite. Grâce à lui, Apple devient ultra-rentable, posant les bases de son succès futur. L’ère Cook : stabilité et expansion Nommé CEO en 2011 après la mort de Steve Jobs, Cook stabilise Apple tout en l’amenant vers de nouveaux horizons : Contrairement à Jobs, connu pour son leadership visionnaire et autoritaire, Cook privilégie une gestion collaborative et méthodique, alliant rigueur opérationnelle et expansion stratégique. Un dirigeant engagé Tim Cook ne se contente pas de diriger Apple : il s’exprime régulièrement sur des enjeux sociétaux majeurs : Héritage et défis futurs Sous Cook, Apple a consolidé son empire tout en se réinventant. Les défis restent nombreux : Une chose est sûre : Tim Cook a marqué l’histoire d’Apple en transformant une entreprise en crise en un géant pérenne et innovant. Wilikijo #Wilikidjo WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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Comment accéder aux ressources gratuites pour les propriétaires de petites entreprises

Des ressources gratuites et peu coûteuses sont disponibles dans votre communauté et peuvent aider votre entreprise à réussir. Créer une nouvelle entreprise peut être très stimulant, surtout lorsqu’on est passionné par ce qu’on fait. Mais la dure réalité est la suivante : la passion seule ne suffira pas à maintenir votre entreprise en vie. Elle ne suffira pas à alimenter votre foyer, à payer votre loyer ou à faire la queue devant votre porte. La passion est comme un feu de camp : elle brûle au début, mais si on n’y ajoute pas de bois ou le bon combustible, elle s’éteint. Alors, que faut-il pour empêcher la flamme de s’éteindre et maintenir votre entreprise en vie ? Il vous faut de la formation, du mentorat et un soutien stratégique. C’est le carburant qui entretient la flamme sur le long terme. Malheureusement, en matière de soutien, trop de propriétaires de petites entreprises rencontrent des difficultés, car ils ne savent pas vers qui se tourner pour obtenir une aide à la fois abordable et précieuse. Au fil du temps, ces entreprises dynamiques ferment leurs portes. Selon les données 2024 du Bureau of Labor Statistics des États-Unis, 20,4 % des entreprises font faillite au cours de leur première année d’ouverture, 49,4 % au cours de leurs cinq premières années et 65,3 % au cours de leurs dix premières années. CB Insights rapporte que les principales raisons pour lesquelles les startups échouent sont : Votre entreprise est-elle confrontée à l’un de ces défis ? Si oui, j’ai une bonne nouvelle pour vous : il existe des ressources gratuites et peu coûteuses disponibles dans votre communauté pour contribuer à la réussite de votre entreprise. Cet article vous explique comment exploiter ces ressources. Où trouver des ressources gratuites pour votre petite entreprise 1. Le secret le mieux gardé : le conseil aux petites entreprises des SBDC Beaucoup d’entrepreneurs ignorent que les Centres de développement des petites entreprises (CDE) existent spécifiquement pour les aider, et ce, gratuitement. La plupart d’entre eux sont situés sur les campus des universités et collèges communautaires du pays, mais ne vous laissez pas effrayer. Nul besoin d’être étudiant ni d’avoir un diplôme prestigieux. Il suffit d’être chef d’entreprise (ou de vouloir créer une entreprise). La mission d’un SBDC est d’aider les petites entreprises à se développer, à maintenir leur conformité et à accroître leurs chances de réussite à long terme. Ayant travaillé dans un SBDC au Nebraska, j’ai pu constater par moi-même comment ces centres apportent un soutien pertinent aux entrepreneurs qui, autrement, pourraient se retrouver seuls en difficulté. Dans un SBDC, vous pouvez bénéficier d’un coaching d’affaires personnalisé dispensé par des conseillers expérimentés (gratuit) ; d’une aide à la rédaction de business plans pour éviter d’improviser ; de conseils en gestion financière, tarification et comptabilité (car une bonne gestion financière est synonyme de réussite à long terme) ; de conseils en marketing et stratégie commerciale pour vous aider à atteindre les bons clients ; et d’un accompagnement pour accéder aux prêts, subventions et contrats gouvernementaux destinés aux petites entreprises. Vous aurez également accès à des ateliers, des programmes de formation et des événements de réseautage pour rester informé et connecté. 2. Écoles de commerce : conseils gratuits d’étudiants Une autre ressource souvent négligée ? Les écoles de commerce. Les universités et les community colleges regorgent d’étudiants brillants et enthousiastes en quête d’expérience concrète. De nombreux programmes de commerce exigent des étudiants, notamment en MBA ou en cursus de fin d’études, qu’ils travaillent sur des projets de conseil concrets. Votre petite entreprise pourrait être leur prochaine étude de cas. Lors de mon MBA, mes camarades de classe et moi avons travaillé sur un projet de conseil pour une petite entreprise. La propriétaire souhaitait développer son activité, mais n’avait pas le budget pour engager un consultant professionnel. Notre équipe d’étudiants a réalisé une étude de marché, analysé les finances de l’entreprise et élaboré une stratégie de croissance concrète. Recourir à un consultant professionnel aurait coûté des milliers de dollars, mais la propriétaire est repartie avec une feuille de route personnalisée vers le succès sans débourser un centime. Pour trouver des étudiants qui peuvent travailler pour vous : C’est l’un des moyens les plus simples d’obtenir des conseils commerciaux gratuits et de qualité. De plus, vous aiderez les étudiants à acquérir une expérience précieuse. 3. Votre communauté d’affaires locale : une mine d’or de ressources Au-delà des SBDC et des établissements d’enseignement supérieur, votre écosystème d’affaires local regorge de personnes et d’organisations qui souhaitent vous aider à réussir : Chambres de commerce : Votre ville ou village compte probablement une chambre de commerce, un groupe de chefs d’entreprise, de dirigeants locaux et de professionnels qui œuvrent ensemble pour soutenir les entreprises locales. Les chambres proposent des événements de réseautage où vous pouvez rencontrer des clients, des partenaires et des mentors potentiels ; des ateliers de formation commerciale sur des sujets tels que le marketing, la comptabilité et le e-commerce ; des actions de défense et de représentation des petites entreprises auprès des collectivités locales ; et des opportunités de promotion pour faire connaître votre entreprise à un plus grand nombre. Agences locales de développement économique : De nombreuses villes et comtés disposent de bureaux de développement économique dédiés à la croissance des petites entreprises. Ces agences proposent souvent des subventions (argent gratuit pour votre entreprise), des prêts à faible taux d’intérêt pour les petites entreprises, des incitations fiscales et des crédits pour réduire les coûts, ainsi que des programmes de formation et des incubateurs pour les nouveaux entrepreneurs. Associations à but non lucratif : Dans de nombreuses communautés, les associations offrent mentorat, coaching et financement aux petites entreprises, en particulier celles appartenant à des minorités, à des femmes et à des vétérans. Des organisations comme SCORE , les Women’s Business Centers et les incubateurs locaux proposent gratuitement du mentorat et des formations au développement d’entreprise. Bénéficiez d’une aide gratuite pour les petites entreprises J’adore la passion. C’est ce qui pousse un entrepreneur à se lever chaque matin et à se battre pour ses rêves. Mais la passion seule ne sauvera pas votre entreprise. Elle ne servira à rien si vous ne savez pas

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Comment élaborer une stratégie marketing qui ne dépend pas des médias sociaux

L’avenir de TikTok aux États-Unis reste incertain , alors que le président Trump a décidé de prolonger le délai de vente de ByteDance. Un accord sera-t-il trouvé à temps ? Le géant social chinois tiendra-t-il le coup ? L’avenir de l’application aux États-Unis est incertain. Mais ce n’est pas le seul problème de TikTok : l’Australie a récemment relevé à 16 ans l’âge minimum pour utiliser les réseaux sociaux. Ces changements ont sonné l’alarme pour les entreprises qui s’appuient uniquement sur les médias sociaux pour générer des ventes. Si une plateforme sociale tombe en panne, toute entreprise qui dépend fortement de cette plateforme en fait de même. Avec la réalité changeante des médias sociaux, développer une stratégie marketing qui ne repose pas sur les médias sociaux est l’option la plus sûre. Le risque du marketing exclusivement socialDillon Hill, fondateur de l’agence de marketing et de création de compte Cosmoforge , a vu venir le moment il y a dix ans. Son parcours dans le marketing a commencé par une crise personnelle. « L’un de mes meilleurs amis d’enfance a reçu un diagnostic de cancer en phase terminale et j’ai abandonné mes études… Nous avons monté une série documentaire… Ironiquement, elle est devenue très virale sur les réseaux sociaux », dit-il. Le documentaire a rencontré un énorme succès, a attiré l’attention de la presse et a donné lieu à une campagne de don de moelle osseuse sur les réseaux sociaux. « Nous avons même battu le record du monde de la plus grande campagne de don de moelle osseuse », ajoute-t-il. Mais réitérer ce succès n’a pas été si facile. « Nous nous sommes dit : « Hé, nous avons beaucoup d’attention. Essayons d’aider d’autres personnes atteintes du cancer », explique Hill. « Cela n’a pas vraiment fonctionné. » La deuxième campagne n’a pas eu le même élan que l’enthousiasme initial. Cette expérience a permis à Hill de tirer une leçon précieuse. « Les réseaux sociaux sont une bête très capricieuse. Ce n’est pas un outil sur lequel on peut bâtir une entreprise… car les tendances changent [et] les attentes des gens évoluent. » Si les réseaux sociaux peuvent être une bonne stratégie pour atteindre des prospects gratuitement, ce n’est pas le modèle qui convient à toutes les entreprises. Briser votre dépendance aux médias sociauxLa plupart des clients de Hill ne dépendent pas des médias sociaux, et son agence non plus. « Nos clients sont dans une situation où si quelqu’un soumet un formulaire [pour se renseigner sur leurs services ou acheter leurs produits] sur leur site Web… cela leur vaut généralement environ 500 $. Leur public cible n’est généralement pas composé de personnes prêtes à acheter ou à s’engager sur les médias sociaux », dit-il. Les clients de Hill sont des professionnels de l’entretien des pelouses, des nettoyeurs haute pression ou des entreprises de commerce électronique qui vendent des produits hautement spécialisés comme des couvertures d’abris pour camping-cars. « Nous leur recommandons donc très souvent de ne pas utiliser les médias sociaux, certainement pas de manière organique, mais très probablement aussi de ne pas utiliser les médias sociaux payants. » Le délai nécessaire pour convertir l’attention des médias sociaux en revenus pose un autre défi. « Si vous obtenez une certaine notoriété, disons que vous gérez une page Facebook comme le ferait une entreprise normale », explique Hill, le retour sur investissement n’est pas immédiat. « Quelqu’un… qui découvre votre entreprise par hasard peut ne pas en tirer profit avant six mois ou un an. » Ce retard de conversion crée des problèmes de mesure. « Il est très difficile d’attribuer vos efforts aux revenus dans ce cas. » Canaux marketing à forte valeur ajoutée à prendre en compteAu lieu de se fier uniquement aux médias sociaux, il existe d’autres pistes à explorer. La publicité au paiement par clic (PPC) offre un accès immédiat aux clients intéressés. « L’intention est là », explique Hill. « Vous pouvez généralement vous adresser directement aux personnes qui recherchent un service. » Si vous avez déjà vu une publicité sponsorisée en haut de Google, il s’agit d’une publicité PPC. Cette approche peut accélérer considérablement le cycle de vente. « Nous connaissons leur intention dès le départ », explique Hill, car les publicités PPC peuvent être extrêmement ciblées sur un public spécifique prêt à acheter ou envisageant sérieusement un investissement. « C’est beaucoup plus facile à capturer. » Les clients de Hill dépensent généralement environ 15 000 $ par mois pour un mélange de publicité PPC et Meta, dit-il, la majorité de ce budget étant consacrée aux publicités PPC. Le marketing par e-mail est un autre canal fiable. Hill souligne son importance même lors de l’utilisation des plateformes sociales : « Même si nous faisons quelque chose sur les réseaux sociaux, l’idée est… d’obtenir leur adresse e-mail, car c’est vraiment là que la croissance va se produire. » Contrairement aux réseaux sociaux, où un algorithme peut déclasser une vidéo ou un compte peut être fermé, la liste d’e-mails d’une entreprise leur appartient pendant toute la vie de l’entreprise. Si vous êtes une petite entreprise qui n’a pas la possibilité de diffuser des publicités payantes, alors diriger vos abonnés sur les réseaux sociaux vers votre newsletter est un excellent moyen de tirer le meilleur parti du trafic gratuit. Hill recommande ce pivot stratégique pour les entreprises fortement investies dans les médias sociaux. « Si votre allocation budgétaire sur les médias sociaux est à 100 % axée sur l’idée de générer des revenus, pivotez… au fil du temps », dit-il. Transition vers une stratégie différenteLa transition doit être progressive. « Au cours des six prochains mois, [votre stratégie sociale ne doit plus être axée à 100 % sur la génération de revenus. » Hill recommande plutôt de consacrer 75 % de ses efforts sociaux aux abonnements à la newsletter ou à toute autre donnée first party, le reste étant axé sur les ventes. Les données first party appartiennent directement à une entreprise, ce qui signifie qu’elles ne peuvent

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Savoir dire NON : une force sous-estimée en entreprise

Dans un monde professionnel où la productivité et la réactivité sont souvent valorisées à outrance, dire « oui » à tout semble être la norme. Pourtant, savoir dire « non » est une compétence essentielle, bien que sous-estimée, pour préserver son efficacité, son équilibre et son bien-être. Poser des limites n’est pas un signe de rigidité ou de manque de coopération ; c’est au contraire une marque de professionnalisme et de respect envers soi-même et envers les autres. Alors, pourquoi est-il si difficile de dire « non » ? Et comment le faire de manière constructive et respectueuse ? Pourquoi dire « non » est une compétence clé ? Comment dire « non » de manière constructive ? Les bénéfices d’un « non » bien formulé Et vous, comment gérez-vous les demandes qui dépassent vos limites ? Savoir dire « non » est une compétence qui s’apprend et se perfectionne avec le temps. Cela demande de la pratique, de la confiance en soi et une bonne dose d’intelligence émotionnelle. Mais une fois maîtrisée, cette compétence devient un atout précieux pour naviguer dans le monde professionnel avec sérénité et efficacité. Alors, prêt à faire du « non » une force dans votre quotidien professionnel ? Leadership #SoftSkills #Mindset #IntelligenceÉmotionnelle #ConduireDuChangement #IntelligenceCollective #Proactivité #MaliLinkedIn #OserSexprimerSurLinkedIn Wilikijo #Coach Mariam Inna WILIKIJO une entreprise qui a pour mission de promouvoir L’entrepreneuriat au Mali.

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